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1895 minutes, le temps de retrouver le 7ème art

1895 minutes, le temps de retrouver le 7ème art

Participer à un projet tutoré demande du temps et de la persévérance…Mais en créer un tout nouveau stimule la créativité et la passion de chacun. Le festival 1895 minutes résonne avec plaisir, curiosité, et passion. Une mise en commun d’idées et de valeurs afin de pouvoir concrétiser cet engouement pour le cinéma. C’est là que le festival trouve ses racines : « l’idée vient de ma grande passion pour le cinéma et j’ai trouvé ça dommage qu’il n’y ait aucun projet tutoré en lien avec ce domaine. » évoque Alice, responsable à l’origine du projet. Des passionnés de cinéma ont donc décidé de mettre en avant le 7ème art. Mais un festival ne s’organise pas en un claquement de doigts : « On a commencé à réfléchir sur le type de festival que l’on voulait, les démarches nécessaires pour créer un nouveau festival, les subventions etc. » Une fois l’équipe réunie au complet, il a fallu réfléchir au concept-même du projet : réaliser un court-métrage dans un temps imparti. Il faut savoir qu’un festival ne réside pas uniquement en un simple concept, c’est aussi un nom symbolique auquel on peut facilement s’identifier.

En parlant du nom, le festival de cinéma prouve sa créativité de par son nom atypique et captivant. Si vous avez bien suivi les cours de Monsieur Parisot, vous devez savoir pourquoi. Si l’on vous dit frères Lumière et cinéma, vous l’avez ? En effet, c’est en 1895 que naît le cinéma inspiré alors par les premières représentations visuelles des deux artistes originaires de Besançon : « 1895, c’est la naissance du cinéma avec l’invention du cinématographe des frères Lumière, qui sont nés à Besançon. 1895 minutes transformées en heure équivaut à 31h34 et 48 secondes. C’était dans notre fourchette et c’est donc parfait. » évoque Rémi, vidéo maker du projet. 31 heures et 35 minutes, c’est donc le temps qu’auront les participants pour réaliser leur court-métrage.

https://www.facebook.com/festival1895minutes/videos/307012893356267/?__xts__%5B0%5D=68.ARDf2zu0Y5Xqey55t9aMebPnsnPcQFfNl058Tj32hi6psQN4LV9eqtRlZbC-C9uQT2w0KYEz4yic_wKZA3xuTx7ZmkEuVpzrD5hjtCCHQbFGRVXvSsqHur4juGRyiFO4xTg3W5HIjQ9QtlPEQiTMxFvxzJ3pDIVv5tg414aECYGneGM78lkjaQlWiERwW1r3Q6kLVJYBBcgAKN7QfnAQY8tHroiPNWF13AbTJtUKXyxoPqvdrMJ7Dkj_UEcqgaVi4DHu2JvMR8O23dtO7yt6eMUPktS_ZTHuAUNFYVVK4BZZBr-nYqs-BPmoNDIRM3ry1MZq2G4BDbElnWqkgkx5Wm16g3RZhtnVB2w&__tn__=-R

 

Qui dit nouvel événement dit communication omniprésente afin d’assurer la visibilité d’un festival qui était alors méconnu à Besançon. Pas une minute à perdre pour les membres du projet qui ont participé dès le début d’année à la Color Run pour se faire connaître par les étudiants. Dernièrement, nos cinéphiles infocomiens ont pu faire découvrir 1895 minutes à la presse et aux élus lors de l’inauguration des salles de la MDE le 21 Novembre : « En participant à la crémaillère des salles de co-working de la Maison des étudiants, nous avons pu présenter le projet aux élus de l’université et développer une animation sur fond vert.” se réjouit Malena, chargée de relations publiques du festival.

Ce mois-ci, nos cinéphiles se sont transformés en journalistes en allant interroger les étudiants du campus de la Bouloie. Le but était d’exposer leur énigme sur la signification de ce fameux nom de festival (maintenant vous le savez). Côté digital, 1895 minutes est bien évidemment présent sur les réseaux sociaux afin de cibler davantage d’étudiants, tout en privilégiant la proximité avec le public. Lors de la Color Run par exemple, ils étaient promoteurs de visibilité. « On a pris en photo des coureurs qui étaient sur notre stand avec des accessoires. Ces photos ont été relayées sur Facebook pour qu’ils les récupèrent et, dans un même temps, les aiment et les partagent. » nous explique Rémi. Au niveau médiatique, la presse locale suit le projet avec attention et l’équipe participe une fois par mois à une émission sur Radio Campus afin de suivre l’évolution de leur projet.

Une campagne d’affichage a été établie dans chaque lieu fréquenté par les étudiants afin de, là aussi, se rapprocher au maximum de leur cœur de cible. Créer du contact est un de leurs objectifs principaux. Ils comptent ainsi sur le bouche à oreille afin de susciter un véritable intérêt qui se traduira par une réelle participation des étudiants.

https://www.instagram.com/p/BoV7H2vnkUN/


Cette communication essentielle demande là aussi une rigueur et une organisation optimale.
Ce sont à eux seuls de gérer la totalité de leur projet, une création qui les pousse à sortir de leur zone de confort. Contrairement à des projets encadrés par des professionnels, ils ont à leur charge toutes les responsabilités du festival, ainsi que les imprévus : « Il y a beaucoup d’aspects que je connaissais pas avec les stages, mais là c’est différent. Il n’y a personne derrière moi pour me dire « penses à rappeler cette personne, tu as rendez-vous ici », je le fais toute seule. Et si j’oublie, c’est peut être de l’argent qui nous échappe. » précise la présidente du festival.

Pour les passionnés de cinéma, c’est une opportunité qui leur permet de prendre conscience des bons comme des mauvais côtés que réserve le domaine de l’événementiel. Malena souhaite plus tard « jouer un rôle dans l’organisation d’un festival de cinéma en étant coordinatrice ou chargée événementielle par exemple« . Ce projet tutoré leur permet ainsi de concrétiser leurs envies et d’être convaincu de suivre cette voie. 

C’est donc un travail qui demande de la réflexion en permanence. L’IUT nous apprend à être maître de nos envies et à concrétiser nos passions. C’est avec grand plaisir qu’ils vous invitent à vous inscrire sur le lien juste ici ! Restez connectés pour suivre l’actualité de l’événement qui se rapproche à grand pas !

 


Nos passionnés ajoutent que le festival est ouvert à tous les étudiants de France ! Soyez attentifs durant les prochaines semaines, puisque de nombreuses informations concernant l’événement arriveront sans plus tarder ! N’hésitez pas à les suivre sur leurs réseaux sociaux pour être au courant de toute l’actualité de 1895 minutes. Rendez-vous le Samedi 26 Janvier à la Maison des Étudiants pour le lancement de ce festival plein de promesses…

Publié par Eva Bourgin dans Au coeur d'ICB
Valentine, un DUCIS aux saveurs espagnoles

Valentine, un DUCIS aux saveurs espagnoles

Pourquoi as-tu décidé de faire un DUCIS, et précisément à Alicante ?

Je voulais faire un DUCIS pour améliorer mes capacités en langue. Cela a été mon point faible durant toute ma scolarité et je voulais y remédier ! Surtout qu’en communication et en publicité c’est indispensable… Au départ, je pensais plutôt aller dans un pays anglophone. Mais, après réflexion, l’Espagne, la mer, le soleil et le mode de vie me correspondaient plus. Je me suis lancée en me disant que, dans tout les cas, j’allais aussi améliorer mon anglais en échangeant avec d’autres étudiants Erasmus. 

 

Concrètement, qu’étudies-tu là-bas et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Je suis en Publicité et Relations Publics et j’ai choisi des matières orientées vers la publicité et la créativité. J’ai souvent des travaux de groupes (pour ne pas changer) avec des étudiants Erasmus voire d’autres étudiants espagnols. Et il faut être patient ! Au début, ce n’est pas facile, mais ça m’apporte énormément dans les relations, dans la manière de gérer des conflits dans une autre langue et avec les compétences et les capacités de chacun. Je pense aussi devenir plus indépendante et autonome car nous devons faire des projets vidéos et photos comme à l’IUT. 

 

Trouves-tu des différences entre la France et l’Espagne ?

Je trouve qu’il y a beaucoup de différences. Toutefois, ce qui m’a vraiment sauté aux yeux, c’est la mentalité et le mode de vie. Les espagnols vivent plus tard. Par exemple, les commerces sont fermés de 14h à 17h mais restent ouverts jusqu’à 22h. Et faire du shopping à 21h c’est très bizarre au début ! Ici, il y a également beaucoup de services moins chers… le retour en France va faire mal ! La mentalité est bien plus ouverte, je me rends compte qu’il n’y a que les français pour avoir un sens de la critique si pointu !

 

Penses-tu que ce voyage aura un impact tant sur le plan personnel que professionnel ?

Je pense que cela aura un impact important car ça me donne le goût de découvrir d’autres pays. Mais je considère surtout ce DUCIS comme une expérience et un bagage pour l’après ! Cette expérience m’apporte beaucoup dans l’indépendance, la maturité et le fait de vivre en colocation avec d’autres personnes de nationalités étrangères issues de cultures différentes (je suis avec une slovène, une turque et deux irlandaises). A l’université, les niveaux sont très hétérogènes et les âges aussi car, en Espagne, le lycée peut se faire en une année supplémentaire grâce à une passerelle. Il faut ainsi concilier tous les facteurs dans les travaux de groupe. Il faut également s’adapter à un public différent lors des projets que l’on présente. Les espagnols n’ont pas forcément les mêmes références voire le même humour.

 

Les lieux incontournables d’Alicante pour les futurs partants ?

Alors pour les sorties, il y a Santa Barbara, le château incontournable d’Alicante et Santa Cruz, une petite rue fleurie et colorées avec des maisons typiques qui fait le lien entre le centre-ville et les hauteurs de la ville. Sinon, il y a la Calle de Las Setas (ou la rue des champignons…) avec le sol jaune et vert et des champignons géants, ou encore la Plaza Del Mar située vers le port avec l’esplanade. Pour les bars, ça se partage entre deux quartiers : le Barrio, qui est très Erasmus et international avec les boîtes et les bars ambiance, et le Castaños, situé en face du Barrio, où l’on trouve des bars davantage fréquentés par des espagnols.

 

Qu’est-ce qui te manque le plus en France ?

Hormis notre bonne gastronomie française (ce qui, je pense, est le cas pour tous les étudiants Erasmus), juste le fait d’entendre du français dans le bus ou dans un bar me manque.

 

Quels conseils donnerais-tu aux étudiants qui veulent partir à l’étranger ?

Je pense qu’il faut d’abord abandonner l’idée que le DUCIS ce sont des vacances au soleil ou une année sabbatique, parce que l’adaptation, c’est de l’énergie, tout comme les cours en langues étrangères. Cela demande beaucoup d’effort ! Au niveau professionnel, je ne pense pas qu’il soit nécessaire d’en avoir un en particulier. Néanmoins, il est nécessaire d’avoir une idée d’école ou de licence pour la suite, car il est à la fois difficile d’y penser une fois parti et d’avoir toutes les informations depuis un autre pays.

 

Rédiger des articles, ça te manque un peu quand même…

Au-delà de rédiger des articles, ce sont surtout les réunions hebdomadaires de la Team 2.0 qui me manquent !

 


Merci à Valentine de nous avoir accordé de son temps entre deux tapas. Prenez note de ses conseils qui vous seront essentiels pour la suite. Mais avant de penser au DUCIS, concentrez-vous sur cette fin de semestre rythmée…

Publié par Théo Vigezzi dans La parole aux anciens
[TOP#11] Comment survivre au S3 ?

[TOP#11] Comment survivre au S3 ?

    1. Gérez votre emploi du temps !

Regarder son application pour connaître l’emploi du temps de la semaine ne suffit plus… Il est grand temps de définir vos réelles priorités ! Bien évidemment, nous parlons de priorités tournées vers le travail infocomien (il en existe bien d’autres). Définir vos objectifs de la semaine avant de la commencer vous aidera à réussir ce que vous vous étiez promis de faire. Pensez également au journal régulier avec de simples petites listes qui vous rappelleront vos objectifs de base afin de ne pas perdre du temps ailleurs.

 

    2. Les problèmes naissent d’un manque d’anticipation, prenez de l’avance sur vos projets 

« Il y avait un dossier à rendre pour demain ? », « Le contrôle est cet après-midi ?! », « Il fallait rendre l’exercice ? », vous vous reconnaissez ? (chapeau à ceux qui ne l’ont jamais dit ou pensé). Anticiper est le verbe essentiel, surtout au semestre 3 ! Si vous devez rendre un projet dans les deux semaines qui suivent, ne vous laissez pas avoir par la quinzaine de jours à vous faire ensevelir par les autres travaux à rendre. Faîtes ce que vous avez à faire, commencez à y réfléchir et à vous organiser (créez de suite un drive, votre meilleur collègue de travail). Ce sera des choses à faire en moins lorsque vous travaillerez tous ensemble sur ce travail ! Et soyez également proactifs en cours, cela vous fera gagner du temps précieux !

 

    3. Construisez de bonnes équipes de travail

Choisir une équipe de travail qui vous ressemble avec le même rythme de travail et le même état d’esprit est aussi important que de choisir le goût de sa pizza. La cohésion de groupe compte énormément dans l’avancement des projets. Et devinez quoi ? Au S3, les travaux collectifs ne manquent pas. Apprendre à compter sur les autres autant que sur soi-même demande un engagement annuel. Si vous avez trouvé chaussure à votre pied, vous pourrez tous ensemble aller, dans la joie et dans la bonne humeur, travailler à l’IUT durant tous les jeudis après-midi !

 

    4. Achetez une quantité illimitée de fiches Bristol

Il reste un peu plus d’un mois avant l’arrivée des DS. D’ici là, il vous faudra peaufiner vos connaissances à l’aide des inévitables fiches Bristol. A l’heure des révisions, ces fiches sont de véritables aides pour les partiels ! Grâce à leur petit format et leur rigidité, vous pouvez les transporter partout, ce qui vous permet de réviser n’importe où : à bord de la ligne 3 ou du train, dans un bar ou aux toilettes, aucun lieu ne peut désormais y échapper… Pour réviser efficacement, soyez synthétique dans vos fiches. Faîtes de beaux schémas et mettez-y vos plus belles couleurs pour stimuler votre mémoire visuelle ! Alors faîtes-en un énorme stock pour l’année !

 

    5. Faîtes de la salle co-working, la salle 202 et la BU votre 2ème maison

Votre appartement ne vous convient pas ? L’IUT a ce dont vous avez besoin. Alors ne cherchez plus : tables, livres, chaises, imprimantes et des Macs (quand il en reste), voilà ce qu’il vous faut. Ne vous étonnez pas si, durant le S3, vous apercevez des personnes en plein sommeil en salle de co-working à 8h du matin… Jour et nuit (et tous les jeudis après-midi), notre cœur bat pour ces lieux très fréquentés. Des endroits qui forgent l’esprit d’équipe, créés spécialement pour votre bien-être. Alors, si vous êtes en 1A, commencez déjà à réserver vos salles de travail (ou plutôt vos nouvelles chambres), vous n’êtes pas à l’abri d’amener plaids et tentes… 

 

    6. Commencez à chercher votre stage de deuxième année… en première année

Le stage de deuxième année se fait entendre dès la fin de la première année. Alors petit conseil : une fois votre premier stage acquis, commencez déjà à réfléchir au deuxième… Vous pensez avoir le temps l’année prochaine ? Entre les projets à rendre, les oraux et les deux challenges, la recherche de stage s’annonce bien plus délicate que vous ne le pensez. Pour vous guider dans votre recherche de stage, nous vous conseillons de vous rendre sur la page dédiée aux stages chez ICB !

 

    7. Faire un S3 en Espagne, un moyen d’éviter le grand froid franc-comtois

Durant le S3, le froid et le temps morose de Besançon peuvent nuire à votre moral. Pas de panique. Vous n’étiez peut-être pas au courant, mais éviter le grand froid franc-comtois est possible. Grâce à son réseau de partenaires étrangers, l’IUT vous permet de réaliser votre semestre 3 à l’étranger. Avec ICB, vous avez la possibilité de vivre 4 mois dans le pays de la paella, du flamenco et des tapas : l’Espagne ! À AlicanteMalagaMurcia ou Saint-Jacques-de-Compostelle, vous aurez la chance de devenir un véritable étudiant hispanique. Là-bas, vous suivrez un cursus en adéquation avec vos projets professionnels et les compétences acquises en Info-Com. Pour les 1A éventuellement intéressés par ce semestre espagnol, prenez contact avec le service des Relations Internationales de l’IUT et Madame Gainet afin d’être guidé du mieux possible. C’est une excellente opportunité pour vous d’approfondir vos connaissances en communication tout en découvrant une nouvelle culture et en forgeant votre ouverture d’esprit.

 

    8. Révisez le droit dès la fin du S2

Au lycée, les professeurs vous disaient sûrement de réviser l’histoire-géographie avant même le début de l’année. Avec le droit c’est pareil. Il vous accompagnera tout au long de votre semestre… et surprise : vous n’avez plus seulement à réviser les CM… parce que les cours de TD s’y rajoutent ! Dès la fin du dernier partiel de droit au S2, commencez à préparer vos cours de S3. Vous pouvez commencer par taper « Droit de la propriété intellectuelle » ou encore « Déontologie » sur Google afin d’avoir un avant-goût de la sauce avec laquelle Monsieur Maujean va vous manger…

 

    9. Prendre un cuisinier particulier pour le soir (ou Deliveroo pour les moins motivés)

Pour certains, cuisiner est un plaisir quotidien permettant d’oublier l’espace d’un instant l’IUT. Pour d’autres, cuisiner après une intense journée de cours est une tâche qui demande beaucoup d’efforts. En tant qu’infocomien, il vous faudra aussi travailler le soir. Sauf que nous sommes au S3. Oubliez les soirées Netflix ou les soirées foot. Bonsoir les cours de web marketing, les projets de créa et les nombreux dossiers à rendre qui ne vous lâcheront pas. Vous aurez donc très peu de temps pour remplir sainement votre estomac. Mais une solution existe : recruter un cuisinier. Si vous avez un/une coloc’ qui aime manier les casseroles pour préparer des plats savoureux, c’est pile poil ce qu’il vous faut (les 2A vous l’avez ?). Pour les moins chanceux – et les moins motivés – il existe Deliveroo, un service de livraison de plats cuisinés par les nombreux restaurants bisontins. Mais cela est non sans risque pour votre compte bancaire… Alors à vos fourneaux, car il vous faudra des forces pour aller au bout du semestre !

 

    10. Changez-vous les idées, parce qu’il n’y a pas qu’ICB 

Info-Com est une de vos raisons de vivre, c’est certain. Toutefois, prendre un peu de recul et faire d’autres choses est nécessaire… Chaque jour, grâce à Campus Sport, vous bénéficiez notamment d’activités sportives gratuites proches de notre lieu de travail ! Apprenez aussi à vous relaxer et à penser à autre chose pour revenir en pleine forme et être plus productif que jamais. Le sport, la lecture, la sieste (car dormir est primordial), l’art et la musique sont entre autres des moyens efficaces pour gérer l’intensité du S3. Vous pourriez penser que vous êtes trop fatigués ou que vous n’avez pas le temps de le faire, mais cela vous donnera plus d’énergie que vous n’en avez besoin. Bien sûr, les soirées du jeudi soir vous aident également à vous détendre avec modération (à TROP vous détendre pour certains…). Nouveauté cette année, les ateliers Zen’études qui se dérouleront pendant les mois de Novembre et de Décembre. Vous trouverez le lien pour vous y inscrire juste ici.

 


Même avec tous ces conseils, le S3 s’avérera d’une grande intensité. Mais vous le savez, il n’y a pas de secret pour surmonter cet obstacle. La réussite passera par le travail. Vous avez déjà passé la moitié du semestre, alors ne lâchez rien. Que la créativité soit avec vous.

Publié par Théo Vigezzi dans Com' un top
Les 8 sites indispensables pour réussir en Info-Com (et…gagner le challenge)

Les 8 sites indispensables pour réussir en Info-Com (et…gagner le challenge)

Le blog du modérateur, moderne et non hasbeen 

Avis aux professionnels connectés et aux travailleurs du web, ce site vous propose une sélection quotidienne d’outils et d’actualités pour ne rien rater du digital. Vous pouvez même proposer vos liens et vos informations via leur page contact (nous savons qu’ICB cache de vrais petits génies…) Une liste de métiers du web vous est également proposée, peut-être allez-vous trouver votre job de rêve ! En revanche, on ne vous garantit pas que cela vous aidera à comprendre les formules digitales de Dreamweaver…

L’avis d’Olivier, étudiant en 2COM1 et CM chez Decathlon Montbéliard : « J’ai connu le blog du modérateur en recherchant des sites pour une veille en community management. Cela me permet de développer des idées ou des outils pour mon travail de CM chez Décathlon. Grâce à ce site, je reste à l’affût des nouvelles tendances web et j’ai toujours un œil sur l’actualité du community management. »

 

J’ai un pote dans la com, votre fidèle partenaire 2.0

Non ce n’est pas un site qui vous aide à trouver des amis, mais un outil qui vous apporte de nombreux conseils et des idées inspirantes. Peu importe votre option, il vous informe des nouvelles tendances dans le domaine de la communication et de la publicité. Source de créativité, J’ai un pote dans la com vous sert d’appui si votre imagination décide de vous laisser tomber dans les moments délicats. Comme votre meilleur ami.

L’avis de Siloé, étudiante en 2COM1 et co-responsable de la communication de la Fée Estival : « J’ai un pote dans la com est le média incontournable des étudiants en communication. Je l’ai découvert en allant sur des forums dédiés à ce domaine. Il permet d’informer quant à l’actualité publicitaire jeune, créative et digitale. C’est une véritable source d’information et d’inspiration qui donne toutes les clés de réussite aux étudiants ! »

 

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Vous l’avez ? ✈️

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L’ADN, le génome de l’innovation

Un site atypique dont l’ADN (sans mauvais jeu de mots) est clair, net et précis : créativité dans les mots, sujets et tendances actuels ! De bons thèmes à aborder entre amis comme, par exemple, celui des architectures du futur ! Soyez au courant des derniers mouvements pour vous en inspirer et inventer de nouveaux concepts ! L’ADN vous offre une palette de rubriques attrayantes, en découvrant notamment le vrai sens du terme « entreprises innovantes » ou « les idées du jour ». Maintenant à vos clics !

L’avis de Grégoire, étudiant en 2P2 et ancien chroniqueur au Pedromadaire : « L’ADN est le top en terme de tendances web à suivre et d’innovation technologique, c’est une véritable mine d’information sous forme journalistique. Pour moi, étudiant en Pub, la catégorie ADN Business m’est utile pour avoir des informations à 360° sur l’univers d’une entreprise, sa communication, ses spécificités sur le marché… Très utile pour le challenge… »

 

Un Créatif, un youtubeur qui porte bien son nom !

Ce n’est pas un site, mais une chaîne YouTube. Non vous ne tomberez pas sur un tuto make up de 30 minutes mais sur un homme passionné avec des montages vidéos de qualité. Apprenez à construire des médias d’infodivertissement, ou encore à devenir un réel businessman du web (bon ça, pas sûr que ça marche). Sans rire, vous pouvez y découvrir du contenu humoristique tout en apprenant : ça passe des publicités qui font peur au public au création « de chaîne cancer à succès » ! Ce youtubeur s’inspire du média Konbini et on espère que certaines vidéos vous inspireront à votre tour !

L’avis de Clara, étudiante en 2P2 et artiste à ses heures perdues : « C’est en regardant la vidéo « 77 faits sur la publicité » du youtubeur DocSeven que j’ai découvert la chaîne d’Un créatif il y’a seulement quelques mois. Ancien concepteur-rédacteur en agence, il nous livre aujourd’hui les rouages des publicités clichées dont nous sommes assaillis quotidiennement. Sans filtre, le youtubeur ne prend pas de pincettes pour nous expliquer de quelle façon l’appétit du profit prend souvent le dessus sur la créativité dans certaines pubs. Et c’est cette dimension critique qui m’a plu dans sa démarche. J’ai particulièrement apprécié sa dernière vidéo sur la plateforme Konbini qui m’a permis d’ouvrir les yeux sur le business et la course au buzz que représente ce genre de média… »

 

 

Stratégies, celles qui t’aident à être tendance en com’

Un site qui va sans doute faire plaisir à Madame Spagnul et Monsieur Cornu… Au programme : marketing et média digital ! Des informations quotidiennes sur les créations du jour, les médias actuels, les tendances et bien d’autres domaines ! En plus de ces rubriques, vous pouvez vous appuyer sur des opinions de professionnels. Nous tirons d’ailleurs une petite phrase qui pourrait même faire office de sujet en philosophie de la communication : “Une bonne pub dans un mauvais environnement c’est comme un poisson rouge dans un banc de requins.” Vous avez donc 5h.

L’avis de Valérie Spagnul, professeure de marketing et chef du département : « Stratégies est en quelque sorte la « bible » de l’étudiant en communication, des enseignants et de tous ceux qui se doivent de rester en contact avec l’actualité des marques. Ce que je préfère dans ce magazine/site web : la rubrique « créations » qui me permet de faire de la veille sur les campagnes de pub et qui vous permettra de vous « nourrir » d’idées pour les productions de vos challenges. Je lis prioritairement la rubrique « marques » que j’exploite pour illustrer mes cours de marketing. »

 

Creapills, la pilule qui vous rendra créatif

Média francophone le plus suivi et consulté dans le domaine de la créativité et des idées, Creapills est la pilule créative que vous cherchez et qui vous donnera de nouvelles idées. Ce site permet de tirer parti d’idées créatives, entre marketing, invention technologique et créations artistiques. Chaque idée est analysée pour être présentée de manière simple, avec une vidéo, des visuels mais aussi des informations complémentaires comme son créateur, son contact, son pays, son domaine d’activité, etc… Creapills vous offre là un outil de veille très poussé qui vous accompagne dans cette veille de tendances. Cette data-créative peut donc grandement vous intéresser, notamment les veilleurs créatifs !

L’avis de Jérémy, étudiant en 2P3 et graphiste de la Team JPO : « J’ai découvert Creapills sur Facebook. Je cherchais du contenu sur la publicité mais pas quelque chose d’ennuyant, plutôt des publications drôles ! Et Creapills c’est vraiment top parce qu’il propose pleins de contenus et des publications tournées vers l’humour dans la publicité. On en retrouve des non connues et internationales. Son principal atout est qu’il n’est pas tourné uniquement vers la pub ! Il y a de tout : des images d’art, des créations magnifiques etc… En résumé, ça m’aide beaucoup parce qu’il y a beaucoup de propositions et d’idées créatives que ce soit dans les pubs, les dessins, les affiches, etc. »

 

 

Scoop.it ou comment devenir un professionnel de la veille

Nos étudiants en option Numérique le maîtrisent déjà du bout des doigts (il y a intérêt sinon vous aurez affaire à Françoise Simonot…). Scoop.it est un outil en ligne pratique pour mettre en place et partager une veille d’informations réactive aux mots-clés de votre choix. Connecté à différentes sources d’informations comme Google (blogs, actualités) et Twitter, il permet de vous créer un journal en ligne sur un sujet spécifique. Vous pouvez à la fois découvrir du contenu, mais aussi le conserver et le classer en fonction du sujet choisi. Il vous est également possible de partager les informations rassemblées sur Scoop.it sur les différents grands réseaux sociaux. Un logiciel de veille également utile en complément d’autres supports d’expression (blogs, sites web) pour faire valoir son expertise dans un domaine particulier.

L’avis d’Andy, étudiant en 2Num : « Scoop.it est un assez bon logiciel de veille. J’ai découvert et utilisé cet outil dans le cadre de mon cours de “Veille Stratégique” l’an passé. Il est simple et efficace et nous recevons rapidement les informations de dernière minute. »

 

Behance, une vitrine virtuelle

Il s’agit de la plus grande communauté d’artistes existante sur la Toile, un lieu qui naît comme vitrine, carrefour, point de rencontre, source d’inspiration mutuelle et forum d’échange de pratiques et conseils. Appartenant à votre meilleur ami créatif Adobe (encore lui…), Behance fonctionne de la même manière que n’importe quel autre réseau social : il faut s’inscrire, personnaliser votre profil à votre fantaisie (soignez tout particulièrement votre description !). Ensuite, vous pouvez télécharger et publier vos créations, suivre d’autres utilisateurs et vous pouvez attribuer des mentions J’aime. Un vrai réseau social créatif dont la particularité consiste en ceci qu’il a un mur composé par des images. Ici, ce sont les créations qui parlent pour le compte de leurs auteurs. Pour vous, futurs créatifs, graphistes ou designers, il est très important d’être présent sur ce type de plateforme parce que ce n’est pas seulement l’endroit où l’on étale ses projets pour se faire remarquer, mais aussi – logiquement – le lieu où se rendent ceux qui cherchent des talents comme vous !

L’avis de Noé, étudiant en 2COM1 et rédacteur chez Sport Focus : « Behance est un réseau social particulier. Il propose d’afficher vos projets créatifs à la manière d’un portfolio. Très intuitif, il permet de présenter les créations d’artistes en tout genre et ainsi avoir une présentation claire de son travail. Cet outil met en avant les meilleures créations, c’est donc un bon moyen de se faire connaître. Personnellement, j’ai connu l’application récemment grâce à un designer que je suivais sur Instagram qui mettait ses œuvres sur le site. C’est un moyen très professionnel de mettre ses œuvres à la vue de tous. »

 

 


Bien qu’il en existe pleins d’autres, ces sites vous aideront à compléter votre culture infocomienne et développer vos réflexions ! Petit conseil : ne cherchez pas forcément à imiter ou à vous mettre tout de suite sur Internet lorsque vous recevez un brief. Vous êtes communicants, et avant tout votre propre source d’inspiration… Que la créativité soit avec vous durant cette épreuve de survie ce challenge interne !

Publié par Eva Bourgin dans Actualité 2.0
La JDA, une histoire perpétuelle

La JDA, une histoire perpétuelle

Il était une fois la JDA…

Vendredi 23 Mars. 12h12. Toulouse. Finale nationale du Challenge de la Pub. C’est à 788 km de Besançon que François Parisot annonçait à l’ensemble des 1A la composition des projets tutorés internes, parmi lesquels figure l’organisation de la JDA. Lisa, Floriane, Clara, Thyda, Loïs, Solène et Clara Rognon étaient réjouies à l’idée d’organiser un tel projet. La joie fut cependant de courte durée. « L’ancienne équipe nous avait prévenues qu’on allait avoir beaucoup de boulot et dire au revoir à la liberté des jeudis après-midi » nous explique Thyda, légèrement nerveuse à l’idée de gérer un événement de cette envergure. Intégrer une nouvelle équipe avec laquelle il va falloir travailler très régulièrement peut aussi paraître ardu. Or, nous sommes en Info-Com. Le travail intense et la fatigue qui se faisaient ressentir au fil des semaines n’ont par conséquent pas empêcher les 7 piliers de la JDA de collaborer dans une ambiance qui était au rendez-vous. Notamment grâce aux professeurs, avec qui « il était intéressant de travailler dans un cadre différent des cours. Et non pas seulement pour nous avoir apportées des Tagadas, bien sûr que non… » Après de nombreuses journées de travail les entraînant jusqu’au bout de la nuit (si tu n’as pas la chanson dans la tête tu n’es pas un puriste), l’équipe JDA a su nous proposer un événement placé sous le signe du prolongement. Floriane explique cette idée par la volonté de conserver « ce lien entre étudiants et anciens qui reprend bien cette valeur de la ICB Family. »

JDA ICB 2018

“Prolongement” : le maître mot de la JDA 2018Venez prolonger vos années à l’IUT le temps d’une journée !Rendez-vous le samedi 6 octobre…

Publiée par Les Anciens – ICB Family sur Lundi 17 septembre 2018

 

L’accueil de nos anciens, marqué entre autres par les délicieuses chouquettes prises d’assaut par les plus gourmands, était ainsi le point de départ du lien qui nous unit tous. Car bien manger est universel, surtout pour un infocomien. Mais s’arrêter à cela serait réducteur. Toute la décoration de l’Atelier Artère nous a de suite fait comprendre  que nous allions vivre une splendide JDA. L’entrée colorée par son allée de pétales roses ainsi que la nouvelle et magnifique œuvre de la salle 3 transportaient de nouveau les anciens dans l’univers Info-Com. Comme nous le fait savoir Lisa Molière, bénévole de cette journée, « la Team JDA, Artère et les bénévoles présents depuis le début de semaine ont fait un super boulot. Tout était très professionnel et bien organisé. Rien n’a été laissé au hasard. »

 

…une cession de savoir-faire…

Le cœur de la journée résidait néanmoins dans l’échange entre anciens et actuels étudiants. L’après-midi fut donc lancée par deux conférences. Cette année,  Victor Feillant, chargé du social media et de l’influence chez Frichti, et de Guillaume Bleineau, social media manager chez Proximity BBDO se sont présentés aux 1A. Au programme : « intégration du social media par les marques » et « pouvoir du word of mouth à l’heure du social media » (autrement dit, bouche à oreille, et non « mot de bouche » pour les non anglophones). Leurs interventions ont su attiser la curiosité de l’auditoire, notamment celle de Lisa, « étonnée de voir que, malgré leur jeune âge, leur parcours est déjà bien fourni. » Les deux conférenciers ont ainsi mis en avant l’importance du social media dans notre société. Ravi de revenir à ICB, Victor n’est « jamais vraiment parti de l’IUT. » Un brin nostalgique paraît-il, mais la rigueur totale acquise ici lui a permis de devenir le professionnel qu’il est aujourd’hui. Tout comme Guillaume, aussi nostalgique que son ancien compère de la Team 2.0, qui a eu l’occasion d’exploiter ce qu’il a appris durant ces 2 ans à travers les stages et les projets tutorés. Et cela lui sert encore aujourd’hui : « Les cours de première année m’ont permis d’avoir des bases solides dans la communication. Chose idéale car, à cet âge-là, on ne sait pas vraiment ce que l’on veut faire et on ne se rendait pas encore compte de la multitude de métiers de la communication. »

 

…et de savoir-être

S’en sont suivis des échanges informels au cours desquels les étudiants ont eu l’occasion de partager en profondeur avec les sages de la communication. Ces derniers ont pu transmettre leur expérience, leurs conseils et atténuer les doutes des infocomiens au sujet de l’après ICB. Du graphisme au digital en passant par le journalisme et le marketing, tous les domaines de la communication étaient représentés. Les benjamins de la com’ ont de ce fait pris conscience qu’il n’existe pas de parcours type afin de trouver sa voie professionnelle. La JDA c’est aussi le mini job-dating made in Info-Com qui leur a permis de construire les bases de leur réseau professionnel.

Toutefois, la rédaction a repéré un ancien de l’IUT qui n’était pas seulement là pour faire part de ses conseils sur Excel mais également pour faire des photos avec ses fans infocomiens, dont nous faisions partie… Oui c’est bien lui, le maître du rétroplanning, le seul et unique Pierre Guillemard ! Tout comme Martine Devichi, notre Guigui national était très attendu par ses anciens collègues et ses disciples du tableur. Nos deux jeunes retraités retrouvaient l’osmose de leurs belles années Info-Com autour du traditionnel Tea Time. Entre deux verres de cidre, le Livre d’Or était également à la disposition des participants afin de remercier les organisateurs de cet événement digne de ce nom. Et nous aimions tellement la JDA que nous pouvions même la savourer… 

Parce qu’une après-midi ne suffisait pas pour fêter les retrouvailles à Besançon, la JDA se prolongea le soir au bar du Madigan’s où les anciens et les professeurs ont profité d’une soirée conviviale qui a conclu une journée riche en émotions. Bénéfique pour tous les participants, elle a su raviver la flamme des bons moments passés et a permis aux étudiants de prendre conscience du monde qui les entouraient. Notre fidèle équipe de la JDA, quant à elle, a su tirer le meilleur du projet tutoré. « Les sourires et les compliments que nous avons eu Samedi nous ont faites oublier tous les imprévus et la fatigue accumulée » se réjouit Clara Rognon, satisfaite d’avoir contribué au bon déroulement de cette journée. Toutes vécurent heureuses et fières d’avoir fait de cet événement un moment de partage et d’inspiration pour nos jeunes premières années.

 


Merci aux anciens, aux professeurs, aux bénévoles, à nos artistes d’Artère et à nos étudiants préférés d’avoir participé à cette journée ! Mais surtout un é-no-rme merci à cette équipe JDA 2018 pour ces souvenirs hauts en couleur. Rendez-vous dans 2 ans pour la prochaine Journée des Anciens !

Publié par Théo Vigezzi dans Au coeur d'ICB, La parole aux anciens
Le kit 2.0 made in ICB

Le kit 2.0 made in ICB

Google Drive, le nouveau membre de ta famille

C’est LA plateforme que tu utiliseras durant tes deux ans d’études, l’élément essentiel du kit 2.0 ! Comme vous le savez, qui dit Info-Com dit travaux de groupe et projets. Google Drive est le service gratuit qui vous permettra de travailler en collaboration sur un seul et même support. Finie la perte de temps à envoyer votre partie de travail sur la conversation Messenger de votre groupe. Finis les hurlements lorsque vous éteignez votre ordinateur en oubliant de sauvegarder votre document. Cet outil coopératif sera votre meilleur allié et ne vous laissera jamais tomber, même à 4 h du matin.

 

La suite Adobe, une énigme créative

Dès les premiers cours de PAO de Monsieur Detot, vos yeux s’écarquillent et la bouche des informaticiens débutants commence à pendre face à ces étrangers. Mais au fil des semaines, vous découvrez la solution à cette équation adobienne à trois inconnues. Ce seront les clés qui feront émerger votre créativité et illustreront concrètement vos idées ! Que ce soit à travers les retouches de photos avec Photoshop – non pas pour votre nouvelle photo Instagram -, la création de logos, de flyers et d’affiches ainsi que le dessin vectoriel avec Illustrator et InDesign, la suite Adobe sera votre gant indispensable de la création…

 

Les sites d’actualités, tes nouvelles applis préférées

Il est essentiel pour un infocomien de suivre les actualités au quotidien, et pas seulement celles des Anges ou des Marseillais. Le Monde, L’Etudiant ou Le Figaro mais aussi d’autres médias vous aideront à ne pas être dans le flou lorsque Monsieur Maujean vous présentera un sujet d’actualité précis ! S’informer régulièrement vous aidera à comprendre un monde dans lequel la communication est un enjeu capital. Aujourd’hui, il ne suffit plus de faire défiler son fil d’actualité Twitter ou Facebook pour suivre l’information en continu. En tant que futur communicant, il est aussi de votre devoir d’être au courant des dernières tendances publicitaires, digitales et marketing. Pour cela, nous vous conseillons de consulter régulièrement (cela fera plaisir à Madame Spagnul) des sites de référence proposant le meilleur de la communication, du digital et de la créativité. J’ai un pote dans la com, le Blog du Modérateur, L’ADN ou Creapills seront entre autres vos sources d’inspiration ! De plus, certains sont faciles d’accès car téléchargeables gratuitement depuis votre smartphone. De quoi occuper votre trajet jusqu’à l’IUT !

 

L’ENT, une plateforme multi-fonction

Vous n’aviez pas assez d’adresses mails donc on a décidé de vous en créer une nouvelle. Il est très très très important de consulter vos mails afin de ne rater aucune information primordiale du département : bénévolat pour les événements ICB, dont la JDA qui arrive samedi, date de rendu de dossiers, renseignements concernant la vente de sandwichs (un des plus importants, il faut soutenir le voyage des 2A…) et les stages ! Cependant, l’ENT ne sert pas uniquement à consulter ses mails. Vous aurez aussi accès à Moodle où vous bénéficierez des informations complètes des stages ainsi que des cours de certains professeurs. Encore faut-il trouver la clé d’inscription du module…

 

Ton pack Office de la réussite

Encore des instruments incontournables pour vos deux ans de DUT… Rien de mieux que Word pour prendre les cours bien organisés et structurés de Monsieur Cornu ou, pour ceux qui commencent à chercher un stage, écrire votre lettre de motivation. La formation vous réserve également d’innombrables exposés collectifs. C’est alors que débarque PowerPoint et ses fabuleuses animations (n’en abusez pas non plus…) pour illustrer vos superbes présentations orales. Pour finir, intervient Excel, « un outil qui vous permet de construire vos rétroplannings, il suffit aussi de connaître quelques formules d’usage ». Merci Monsieur Guillemard, figure emblématique d’ICB partie trop tôt et grand expert d’Excel (vous aurez la chance de le voir à la JDA…), pour ces paroles résumant parfaitement l’intérêt de ce logiciel.

 

Messenger, l’envahisseur 2.0

A première vue, ce n’est juste qu’un simple système de messagerie instantanée. Mais rappelez-vous, Info-Com est synonyme de projet. C’est donc sur Messenger que vous allez retrouver toutes vos conversations pour vos travaux. Cela vous permettra d’être organisé dans l’avancement de votre dossier et de présenter ensemble le meilleur projet possible. De « Projet Créa » à « Challenge Interne » en passant par « Exposé événementiel », « Oral Socio Suicide » et les conversations d’amis, vous serez vite envahis par les notifications incessantes des nombreux groupes Messenger, au point de vous y perdre. Car oui, envoyer « On va à la Fontaine ce soir? » sur la conversation « Oral Socio Suicide » sera une erreur fréquente !

 

Evernote, le petit dernier de la famille

Déjà maîtrisé par les 1A mais méconnu des 2A. Evernote c’est quoi ? Il s’agit d’une plateforme sur laquelle chacun d’entre vous a la possibilité de stocker les connaissances et les compétences que vous allez acquérir au cours de ses années passées à l’IUT. Pas d’inquiétude les 2A, vous découvrirez cet outil au cours de l’année avec Monsieur Kapala. On espère que vous saurez le remercier, car cet outil vous sera d’une grande aide pour construire votre projet professionnel !

 


Avec ce kit 2.0, vous serez maintenant de vrais infocomiens au courant de toute l’actualité et prêts à réaliser des projets de qualité. Mais pas si vite, vous serez définitivement adoptés après avoir été présents à l’événement incontournable d’Octobre, la JDA. Alors à Samedi !

Publié par Eva Bourgin dans Au coeur d'ICB
Lympes : au cœur du projet musical de Baptiste

Lympes : au cœur du projet musical de Baptiste

Comment s’est crée ton projet et de quelles manières as-tu découvert cette passion pour la musique ?

J’ai commencé à faire de la musique quand j’étais en 5e. Ce n’était pas hyper concluant, voire pas du tout. A l’époque, avec un ami nous avions créé un groupe du nom de Bwd Alwix, on faisait des sons dans un style bien différent. Ça ressemblait à de l’électro brut, voire de la techno. La passion est venue toute seule, je n’ai jamais su vraiment pourquoi. Mais j’ai eu envie de faire de la musique, de faire passer des messages, des idées… Après ce groupe, j’ai continué à en faire mais uniquement pour moi-même, sans avoir de réel projet stable. Puis, en arrivant en classe de première au lycée, je me suis dit que j’avais deux ans devant moi pour tenter de refaire un projet. Alors j’ai travaillé dur, j’ai tenté de nouvelles choses jusqu’à aimer davantage la musique électro chill avec des concepts plus acoustiques, des chanteurs, etc… La passion est venue encore plus naturellement par la suite, parce que j’avais des messages à faire passer dans ces morceaux, des sentiments et des émotions que je pouvais ressentir. C’est donc pour ça que j’ai lancé Lympes, jusqu’au moment où ça se développe petit à petit.

 

Des artistes t’ont-ils servi d’inspiration lorsque tu as lancé ton projet ?

Je m’inspirais vraiment des artistes en tout genre. Avant, c’était des inspirations vraiment électro du type KSHMR, Daft Punk, Hardwell, Swedish House Mafia… Ensuite, en voulant me diversifier, il y a beaucoup d’autres chanteurs qui m’ont inspirés ! Aujourd’hui, je dirai des artistes comme Holy Two, M83, Her & Black Atlas !

 

Depuis sa création, comment évolue Lympes ?

J’avais réellement envie de lancer le projet donc j’ai cherché à sortir les morceaux sur Spotify, iTunes etc… J’ai donc fait des démarches auprès d’un distributeur digital qui se charge de publier nos musiques sur les plateformes de streaming. Au départ, j’étais chez Tunecore, qui appartient à Believe Digital (qui travaille entre autres avec plusieurs artistes connus) puis Landr. Aujourd’hui, je suis chez Spinnup. La différence avec mes précédents distributeurs est qu’il appartient à Universal Music Group. Ce n’est pas une très grande différence, mais ça me permet d’avoir davantage d’opportunités. Par exemple, jeudi dernier j’étais à Paris pour assister à une session live rap du label. Disons que, par rapport à un simple distributeur, il est plus simple de se faire des contacts.

 

De quelle façon gères-tu ton projet en même temps que les cours d’ICB ?

Cette année, je prépare Cured, mon premier EP (Extended Play) de 5 titres pour Novembre, mais cette date de sortie dépendra de mes cours. Donc je bosse quand j’ai du temps, à savoir les week-ends et la nuit… sinon je risque de ne jamais finir un seul morceau !

Cela fait maintenant 3 semaines que tu es en Info-Com, comment se passe ton intégration ?

J’appréhendais énormément la rentrée car je ne connaissais pas du tout la vie étudiante à Besançon. Donc je suis allé à l’apéro de pré-rentrée à la Gare d’eau. J’ai pu y rencontrer quelques étudiants, ça m’a assez détendu pour la réunion de rentrée le lendemain. Au final, les infocomiens sont sympas, notamment ma marraine Pauline, enfin Gwendo, je ne sais jamais comment vous l’appelez (il sait comment amadouer sa marraine…) ! Ceux que j’ai rencontrés à la Gare d’eau sont depuis restés mes amis, ces liens se sont encore renforcés avec la journée d’intégration et se renforceront davantage avec le WEI qui arrive prochainement.

 

En quoi Info-Com pourrait t’aider dans la musique et vice versa ?

D’une part, Info-Com m’aidera surtout au sujet de la communication en amont d’un projet ! Je suis au départ quelqu’un qui fait de la musique, je ne fais pas de communication digitale. Alors oui, avec Info-Com ça m’aidera forcément ! D’autre part, je serai très motivé à l’idée d’organiser un live ou un DJ set infocomien, de faire un don au département ou pourquoi pas quelque chose d’intéressant ! Honnêtement, je pense que vous aurez bien plus d’idées que moi… (c’est maintenant entre les mains de Madame Spagnul d’organiser un DJ set dans le hall Info-Com/GEA le temps de midi…)

 

Quels sont tes projets pour l’année à venir et sur le long terme ?

Cette année, je rajoute un clip en vue de la sortie de CuredÀ moyen et long terme, je ne sais pas vraiment. L’EP qui sort en Novembre représente énormément pour moi par rapport à tout ce que j’ai vécu ! Donc hormis espérer le jouer et faire quelques dates, je ne sais pas tellement ce que je souhaite pour la suite. Mais l’EP représente déjà mon plus grand projet depuis la création de Lympes !

 

Découvrez Cure, le dernier morceau de Lympes :

 


Rendez-vous en Novembre pour la sortie de l’EP de Lympes. Pour patienter, nous vous invitons à suivre son actualité sur Instagram ! Si, vous aussi, vous souhaitez partager votre projet, n’hésitez pas à faire comme Baptiste !

Publié par Théo Vigezzi dans La parole aux étudiants
[TOP#10] des raisons d’aimer Info-Com

[TOP#10] des raisons d’aimer Info-Com

    1. L’esprit Info-Com : partage & convivialité !

Bienvenue à Info-Com Besançon là où positivité et création de liens rayonnent. ICB en trois lettres se résume également en un mot : famille. Notre IUT réunit toutes les conditions pour se sentir comme chez soi. Même si vous habitez à des milliers de kilomètres, ne vous en faîtes pas. Mais ICB c’est avant tout, une bonne humeur quotidienne qui ne nous quitte jamais (sauf pendant la semaine de challenge et la semaine de DS) ! Ici, vous vous forgerez cet esprit collectif et créatif qui pourra aussi bien se retrouver durant une semaine de travail intense qu’autour d’un verre à la Fontaine.

 

    2. Le WEI :  THE événement !

C’est LE moment fort de ce début d’année, voire même de vos 2 ans d’études ici… le week-end d’intégration ! Durant 3 jours, vous aurez l’occasion de connaître davantage vos camarades de première année ainsi que les étudiants de deuxième année. Ils se chargeront de bien vous intégrer autour de soirées et d’activités des plus amusantes ! À ne pas rater, sous peine de recevoir de nombreuses vidéos sur Snapchat de vos amis et d’être en train de pleurer de regret devant votre téléphone (mais au moins, vous ne serez pas dans un état de fatigue ultime le lundi matin).

   

    3. … mais ce n’est pas le seul, ICB vous fera vivre d’autres événements tout aussi mémorables

En plus d’un WEI exceptionnel, vous aurez la possibilité de participer à de nombreux événements qui feront vivre l’IUT tels que la Journée Portes Ouvertes mais aussi la JDA. Profitez de ces belles expériences pour échanger avec de nouvelles personnes, anciens comme futurs infocomiens, mais aussi pour valoriser l’image du département. Ce n’est pas tout, de nombreux projets animeront notre département comme la semaine audiovisuelle ou les ateliers Artère chaque semaine, que nous vous invitons d’ailleurs à découvrir ! Donc laissez-vous guider par toutes ces belles journées et ces nombreux projets que vous offre Info-Com durant ces deux années, mais ne vous laissez pas trop dépasser…

   

    4. Le voyage de 2ème année qui marquera la fin de vos 2 ans

Eh oui, ICB vous fait voyager ! Shanghaï, Paris, Londres, New-York… chaque année, nous pouvons vous emmener dans vos villes de rêve ! (du moins, si Com & Move vend assez de sandwichs). Le cliché du voyage soporifique du lycée ? On oublie. Au programme, visites professionnelles en lien avec l’univers de la communication & de la publicité, ronflement des professeurs dans le bus (car oui, c’est un fait unique dans l’année), entretiens avec des professionnels, etc. Si vous souhaitez en savoir davantage sur ce moment qui marquera votre fin d’aventure ici, on vous invite ainsi à vous rendre sur la page consacrée au voyage !

   

    5. Les stages, une superbe opportunité d’intégrer le monde de la communication

On vous en a sûrement beaucoup parlé durant vos réunions de rentrée, mais les 2 stages que vous allez vivre représentent des étapes essentielles dans votre parcours. Parce que vous allez intégrer le monde professionnel de la communication et partir à l’aventure en sortant de votre routine habituelle. Mais aussi parce que vous serez affecté à différentes missions et appliquerez réellement ce que vous aurez appris en cours. A l’étranger ou en France, grandes entreprises ou institutions, tout est possible en Info-Com. Si vous voulez être mieux informés pour votre futur stage, nous vous conseillons grandement de consulter le guide complet du stage made in ICB !

Vous le savez nos 2A sont en stage, alors pendant cette semaine off pourquoi ne pas voyager avec eux ?Notre tour du…

Publiée par Iut Info-com Besançon sur Lundi 7 mai 2018

   

    6. La cafétéria

La cafet’ c’est l’endroit sympa qui vous permettra de vous retrouver le midi et de peut-être créer de nouveaux liens autour d’un bon petit plat cuisiné par maman… Si les longues files d’attente pour prendre un plateau au restaurant universitaire ne vous ont jamais attiré, attendez de voir celles des micro-ondes… Vous ne serez ainsi jamais à l’abri de prendre un sandwich de Com & Move plutôt qu’un tupperware de purée. Sans oublier la machine à café qui vous servira de l’eau (n’est-ce pas Alexandre ?), sauf si vous prenez un café caramel. La cafet’ sera également le lieu où vous vous reposerez avant de retourner en cours. Car être sérieux en Info-Com est primordial !

   

    7. Le privilège de pouvoir travailler sur des iMacs, et gratuitement !

Un détail pour les Apple fanboys, une révolution pour les autres. Inutile d’acheter un iMac (car déjà c’est trop cher pour nous, pauvres étudiants que nous sommes…), ICB vous offre la possibilité d’en utiliser gratuitement dans deux des salles les plus appréciées de nos étudiants : la salle 104 et la salle 202. Il faut savoir être généreux en Info-Com… Adieu les vieux ACER qui mettent 10 minutes à démarrer et qui s’éteignent en plein milieu du cours. Avec les iMacs à portée de main, les logiciels Adobe n’auront plus de secret pour vous et vous n’aurez plus d’excuses pour ne pas prendre vos cours correctement et réaliser vos flyers.

   

    8. Les ascenseurs, quand vous êtes (vraiment) trop fatigués

Comme vous avez pu le voir sur la vidéo de rentrée avec notre vidéo-maker Alexandre, les ascenseurs de l’IUT seront vos meilleurs amis, surtout le vendredi matin à 8h. Ils vous accompagneront jusqu’au 7ème ciel – à savoir le 2ème étage – qui peut parfois paraître tellement lointain. Petit détail qui fait la différence, le miroir que vous y trouverez à l’intérieur avec lequel vous ferez vos meilleures stories Instagram et qui marquera à coup sûr votre histoire avec ICB. Mais à utiliser avec modération…

   

    9. La Fontaine & la Gare d’eau

Qui dit Info-Com dit soirées & apéros… vous les connaissez peut-être mais le bar de la Fontaine et la Gare d’eau sont des noms que vous entendrez tout au long de l’année. Rien de mieux que de se retrouver autour d’un verre et de faire des selfies collectifs ratés. Toutefois, nous ne vous garantissons pas le beau temps à chaque soirée, n’oubliez pas que vous habitez maintenant à Besançon. Mais rassurez-vous, le rire et la bonne humeur seront toujours au rendez-vous !


   

    10. Le blog Info-Com

Dernier top différent des autres, le nouveau blog Info-Com. Les rédacteurs auraient-ils des airs narcissiques ? Loin de là. Nous espérons seulement que ce blog, initié d’abord par nos prédécesseurs de la Team 2.0 (qui nous manquent un peu, il faut l’avouer…) et sans qui il ne pourrait exister, vous plaira. Nous serons à l’écoute de vos suggestions et espérons que ce site représentera de la meilleure des manières l’esprit de notre cher DUT. Et ne vous inquiétez pas, Théo ne supprimera pas le blog pour en faire un consacré à McFly & Carlito.

 


En vous souhaitant une magnifique aventure infocomienne marquée par votre réussite professionnelle et des belles rencontres que vous ferez au cours de ces deux années inoubliables.

Publié par Théo Vigezzi dans Com' un top
Deux de nos infocomiens au festival de Cannes 2018 !

Deux de nos infocomiens au festival de Cannes 2018 !

Entièrement réalisé par une équipe d’amis, le court-métrage Entre Tabou et Réalité a été sélectionné au festival de Cannes à l’occasion du Short Film Corner, rendez-vous incontournable pour tous les professionnels du court métrage souhaitant vendre, acheter ou distribuer leur œuvre. Initiée lors l’opération 24 heures des réalisations de Sochaux, ces cinq amis ont décidé d’améliorer leur première version et de l’inscrire à de nombreux festivals français.

Au Short Film Corner, tous les métiers sont représentés : réalisateur, producteur, distributeur… Avec ses 5 salles de cinéma, un écran en plein air sur la plage et la diffusion de films en tout genre, à toute heure, le festival fait office de paradis des cinéphiles. L’occasion rêvée pour Floriane Lavaud et Rémi Ubeda, étudiants de 2ème année en publicité, de soutenir leur court-métrage, d’assister à des conférences et des rencontres autour du monde du cinéma mais également de recevoir une bonne dose de culture cinématographique venant du monde entier.

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Publié par Team 2.0 dans La parole aux étudiants
On a pris un café avec… des roumains !

On a pris un café avec… des roumains !

Pourquoi avoir choisi la Roumanie ?

On commencera par dire qui ce n’est pas nous qui avons choisi la Roumanie, mais c’est la Roumanie qui nous a choisi. Plus sérieusement, l’argument numéro 1 pour nous tous était le dépaysement, l’envie de découvrir un pays de l’est de l’Europe, avoir un vrai choc culturel. Ensuite, on savait qu’en étant en Roumanie, on aurait beaucoup d’opportunités de voyages : visiter les alentours de Brasov d’abord, mais aussi les pays limitrophes. Enfin, on ne va pas se mentir, un des arguments qui a également fait pencher la balance, était que, avoir le nom de sa ville écrit sur une montagne avec des lettres de 12 mètres de haut chacune, c’est marrant…

Quels cours avez-vous choisi de suivre ?

À notre arrivée, nous étions supposés étudier la sociologie. Seulement, notre coordinatrice nous a expliqué que ces cours n’étaient donnés qu’en roumain, autant dire qu’avec un niveau se résumant à : « Patru bere Ciucas de un litru, vă rog » (Quatre bières « Ciucas » d’un litre s’il vous plaît), on a vite compris qu’on ne pourrait pas suivre la totalité de nos cours dans la langue locale. Anyway, nous avons pu piocher des cours dans les autres facultés, ce qui nous amène aujourd’hui à alterner entre Lettres et Sociologie. Plusieurs professeurs sont même particulièrement appliqués à nous dispenser des cours liés à la com. Par contre, au départ on n’a pas forcément fait les bons choix, résultat des courses, on s’est retrouvé à devoir faire des traductions de notices de machines à laver…

Le mythe de la vie pas chère est-il réel ?

Pour évoquer d’entrée de jeu le sujet qui intéresse le plus les infocoms, la réponse est que la bière pression de 1L de Ciucas (soit le breuvage local, cf. question précédente) est à 9 lei, ce qui équivaut à……………………………………………………………………. 1,93€. Pour rester dans la boisson, il est possible d’acheter des bouteilles en plastique de 3L de bière « Noroc » (qui signifie « Santé »), pour 1,30€ : idéal pour des soirées conviviales !

Au chapitre des transports, on ne se déplace plus qu’en Uber, étant donné que la course revient rarement à plus de 2€ pour quatre. Et vous sinon, comment vivez-vous les grèves à répétition de Ginko ? 

Côté logement, nous ne sommes pas non plus à plaindre, avec un petit 120m² de surface habitable pour 200€ par mois par personne !

Rencontrez-vous beaucoup d’internationaux, si oui de quelles origines ?

Approximativement, il y a 110 Erasmus à Brasov, ce qui permet de créer des liens plus facilement. Il y une véritable proximité entre nous tous. Pour vous donner un ordre d’idée, les Espagnols sont largement majoritaires, et leur culture laisse une grosse empreinte sur notre comportement (bah ouais, j’ai dit comportement bah ouais). Par exemple, on ne mange plus qu’à des horaires insensés (insensible, tu l’aimes mais pourtant tu la fuis), nos oreilles ont fini par accepter le doux bruit du reggaeton et maintenant, on sait qu’il faut se retourner si on entend au loin « HEY GABACHO ! » (« HEY LE FRANCHOUILLARD ! »).

Sinon, Turcs, Grecs, Allemands, Italiens, Portugais rythment les soirées karaoké du mardi soir à coups de chansons de variétés locales.

Par ailleurs, figurez-vous que depuis notre arrivée, on a recensé une importante communauté roumaine. Surprenant, non ?

Racontez-nous une anecdote roumaine

Des anecdotes on en a des dizaines à vous raconter évidemment ! Mais un évènement marquant de cet Erasmus reste quand même « Halloween in Transylvania ». Les quelques 900 Erasmus de toute la Roumanie s’étaient réunis à Brasov pour une intégration pendant trois jours continus. C’était assez dingue de voir autant de personnes au même endroit, de rencontrer tous ces étudiants venus de l’Europe entière. On a véritablement pris conscience du poids d’Erasmus à ce moment-là. Le programme était varié : city tour de Brasov le premier jour, visite du château de Bran le deuxième (un des châteaux où Dracula a vécu, sans doute l’attraction touristique la plus célèbre de Roumanie), pour ensuite faire une soirée sous un immense chapiteau au pied de l’édifice. C’était impressionnant. Et pour le dernier jour, on a fait une chasse au trésor dans la Citadelle de Rasnov, qui, soit dit en passant, n’a rien à envier à celle de Besançon. On a terminé le weekend par un gigantesque feu de camp et une soirée bal masqué (oh éh, oh éh).

C’est, et ça reste un super souvenir !

Un petit conseil pour les futurs partants ?

Un petit conseil ? Voici notre top 10 des lieux incontournables de Brasov :

  • Deane’s (surtout les mardis soir)
  • Ciucas (commandez LE litre)
  • Old Jack Burger (demandez Haas Paul)
  • Dodo Market (avant d’aller en soirée)
  • Cartofiserie (meilleures frites du monde)
  • Krühnen Musikhalle (parce que des pintes à 1,30€ en boîte de nuit, ça ne se refuse pas)
  • Azima (pour les petits creux nocturnes, un shaorma medium, salade, tomate, oignions, chef !)
  • Tampâ (pour aller voir les lettres de plus près, mais montez à pieds bande de feignasses !)
  • Paradisul Acvatic (pensez à ralentir avant le dernier virage du toboggan orange)
  • Colina, chambre 101B (subscribe to Fontychex on YouTube).

Recommandez-vous la Roumanie ?

 Oui et non, mais on ne vous dira pas pourquoi.

Sérieusement, oui, vous vous doutez qu’on passe du bon temps en contrée subcarpatique, mais il est vrai que les Roumains ne sont pas toujours très à l’aise avec l’anglais, et que, parfois, certains cours ne sont pas très intéressants.

Donc tout dépend de ce que vous recherchez.

Comment avez-vous trouvé un logement ?

Trouver un logement pour quatre étudiants étrangers n’était pas chose facile. Nous sommes allés voir plusieurs agences immobilières et nous avons été très surpris de la façon dont leurs bureaux étaient agencés. On n’était jamais vraiment sûrs qu’il s’agissait d’une agence car l’entrée des locaux se faisait systématiquement par la cuisine. Mis à part ce fait, on a visité 3 apparts, et finalement on vit chez Viorel Bajora, un sexagénaire roumain qui ne parle ni anglais, ni français, ni quoi que ce soit d’autre d’ailleurs. Cela ne facilite guère la communication, à part quand il vient nous dire de faire moins de bruit lorsqu’on invite des gens ! Mais globalement, on doit remercier notre agent immobilier, Jispa, qui nous a dégotté cette chouette maisonnée. Jispa, si tu nous lis, sache que tout va bien !!

 Info-com ne vous manque pas trop ?

Infocom, on ne sait pas, mais Anouk et Valoche, oui

Publié par Team 2.0 dans La parole aux anciens