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L’orientation après un DUT Infocom

L’orientation après un DUT Infocom

Que faire après un DUT Infocom ? Quels sont les choix d’orientation qui s’offrent à moi ? Que choisir ? Il est naturel de se poser toutes ces questions. L’année 2021 a bien commencé et la période de l’orientation approche à petits pas. Voici donc quelques éclaircissements à ce sujet, spécial infocomien.

1. La licence professionnelle 

Qu’est-ce que c’est ?

La Licence professionnelle est un diplôme professionnalisant, qui nous donne toutes les clés pour poursuivent dans la voie de la communication. En alternance ou en stage, la formation est principalement centrée sur l’acquisition de compétences au sein même de l’entreprise. Ce qui est un réel atout à mettre en avant sur le CV et auprès des futurs employeurs. L’année est principalement basée sur le format du contrôle continue qui peut parfois être accompagné d’un examen final. L’admission en licence professionnelle se fait via la plateforme E-candidat où vous pouvez créer votre compte dès mi-janvier. Surveillez cependant bien les dates limites d’inscriptions des formations qui vous concernent.

Pour qui ?

La licence pro s’adresse à ceux et celles qui souhaitent s’arrêter au BAC+3 et travailler rapidement. En effet, cette orientation offre une forte spécialisation et des apprentissages décisifs pour le milieu étudié.

Et après ?

Les diplômés d’une licence professionnelle connaissent un fort taux d’insertion dans le monde du travail. Les compétences spécifiques étudiées, représentent un réel atout pour les employeurs. Attention cependant, la licence professionnelle a pour but de vous former à l’univers du travail. Il ne vous sera donc pas impossible, mais plus compliqué de poursuivre en Bac +5.

Liste non-exhaustive des licences professionnelles en France

  • Métiers de la Communication : chargée de communication / IUT Besançon
  • LP Métiers du marketing opérationnel : chef de projet marketing et communication / IUT Besançon
  • Les métiers de la publicité /IUT Robert Schumann
  • Communication globale & numérique /Université Lyon 3
  • Métiers de la communication : événementiel / IUT Nice Côte d’Azur & IUT Belfort-Montbéliard
  • Création publicitaire / IUT Nancy-Charlemagne
  • Communication éditoriale et digitale / IUT Bordeaux Montaigne

 

2. Les écoles privées

Locaux SupdePub paris via supdepub.com

Qu’est-ce que c’est ?

L’ISCOM, L’INSEEC, L’EFAP… Vous avez forcément entendu le nom de l’une de ces écoles lors de votre formation en communication. Les écoles représentent en effet certains avantages dans le milieu, notamment au niveau du réseau et des partenariats. Celles-ci proposent principalement un Bachelor (équivalent d’une licence à la Fac) et un mastère (équivalent d’un master.) À l’issue du DUT, les étudiants sont directement admissibles pour une 3ème année en Bachelor. Certaines écoles proposent les formations en alternance dès la 3ème, mais plus couramment dès le master. Cela permet notamment de couvrir les frais onéreux de l’école. L’admission en école privée, se fait par via concours et un entretien de motivation, propre à chaque école.

Pour qui ?

Les écoles privées offrent des formations larges avec une spécialisation au fur et à mesure des années, ce qui permet de prendre le temps de s’orienter vers ce qui vous plaît vraiment.

Et après ?

Ces écoles offrent une formation jusqu’au bac +5 avec la réalisation de stages et de formation en alternance, ce qui permet là aussi, une insertion professionnelle généralement, rapide. Attention cependant, toutes les écoles ne proposent pas des formations reconnues par l’État, ce qui est notamment le cas pour les « mastères », différent des « masters. »

Liste non-exhaustive d’écoles privées de communication en France

  • L’ISCOM – Paris, Lille, Lyon, Montpellier, Rouen, Strasbourg, Toulouse, Bordeaux – Alternance à partir de la 5ème année 
  • Supdepub – Paris, Bordeaux, Lyon – Alternance à partir de la 4ème année
  • Supdecom – Paris, Lyon, Montpellier, Nantes, Amiens, Brest, Grenoble, Nice, Brest – Alternance à partir de la 3ème année
  • L’EFAP – Aix-en-Provence, Bordeaux, Lille, Lyon, Montpellier, Paris, Strasbourg, Toulouse
  • L’ESP – Bordeau, Lyon, Paris, Toulouse – Alternance à partir de la 3ème année
  • CESACOM – Paris, Lille – Alternance à partir de la 3ème année

 

3. La Faculté et notamment la L3 Infocom

Qu’est-ce que c’est ?

La poursuite d’études dans le public et donc en université, présente également de réels avantages. Outre l’aspect financier, la faculté propose un panel de formations différentes, d’opportunités d’Erasmus, de masters, de stages ou d’alternance dans de nombreuses villes. Les diplômés d’un DUT sont directement admissibles en 3ème année de Licence à la faculté. C’est notamment le cas pour la L3 Information-Communication de la faculté des lettres de Besançon avec qui le département a un accord. La Licence et le Master obtenus par l’université, sont également tout deux reconnus par l’état. Pour candidater, il vous faut là aussi, vous inscrire sur la plateforme E-candidat.

Pour qui ?

Que vous souhaitiez continuer en communication ou vous tourner vers un autre domaine, les universités ouvrent leurs portes à beaucoup d’étudiants et l’accès reste généralement facile. Vous y trouverez une formation plus large et théorique, qu’une licence professionnelle par exemple.

Liste non-exhaustive de Licence information-communication en France 

Besançon, Dijon, Paris, Montbéliard, Nice, Toulouse, Pessac, Montpellier, Béziers, Rennes, Echiroles, Saint-Etienne, Angers, Nancy…

 

4. La voie spécifique du CELSA

Qu’est-ce que c’est ?

Le CELSA, l’école des hautes études en sciences de l’information et de la communication, interne à Sorbonne Université à Paris, est une école publique prestigieuse. Celle-ci propose de nombreuses formations de haut niveau en journalisme, médias, marketing, publicité…L’admission est cependant, exigeante de par le niveau d’enseignements et les nombreuses candidatures.

Comment candidater ?

Il existe 2 modes de recrutement possibles. Il y a la voie générale, avec un taux de réussite d’environ 7 %. Cela passe tout d’abord par un dossier de d’admissibilité et une épreuve écrite. Si l’étudiant est retenu, il pourra passer l’entretien de motivation. Il y aussi une voie spécifique d’entrée en L3 pour les étudiants en infocom qui après sélection du dossier de motivation et des notes, sont dispensés de l’épreuve écrite et peuvent donc directement passer l’entretien. Les résultats sont donnés au mois de juillet, pour la session de 2021, qui a déjà été entamée. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à rentrer en contact avec vos professeurs, et surveiller les dates limites.

 

5. Le DUCIS

 Qu’est-ce que c’est ?

Le DUCIS (Diplôme Universitaire de Communication Internationale Spécialisé), s’inscrit dans le programme Erasmus +. Les étudiants en DUCIS passent une année au sein d’une université étrangère, partenaire à celle de l’IUT. Ils se donc forment pendant 1 an en communication et dans la langue du pays.

Comment candidater ?

Il faut s’y prendre en avance pour la candidature en DUCIS. La pré-inscription se fait entre octobre et novembre auprès du chef du département et de votre professeur coordinateur de votre destination. S’en suit la candidature officielle en fin d’année avant de recevoir les résultats courant février.

Et après ?

Au-delà de la découverte d’une nouvelle langue, d’une nouvelle culture, d’un nouveau réseau et l’indépendance que cette expérience vous apporte. Elle est aussi très appréciée par les écoles et les employeurs. Une année à l’étranger, c’est un peu comme la cerise sur le gâteau à mettre en valeur sur votre CV. Attention cependant lors de la poursuite d’études après un DUCIS. Les écoles n’acceptent pas forcément les étudiants de DUCIS directement en 4ème année, lors du retour en France. Veuillez à vous informer des modalités auprès des établissements et des formations pour l’orientation après un DUCIS.

Liste des universités partenaires de l’Université de Franche-Comté, qui proposent un DUCIS en communication :

– Allemagne (Mosbach)

– Autriche (Graz)

– Belgique (Anvers et Gent)

– Espagne (Madrid, Murcie, Malaga et Alicante)

– Irlande (Athlone)

– Lituanie (Vilnius)

– Malte (La Valette)

– Pays-Bas (La Haye et Maastricht)

– Pologne (Varsovie)

– Roumanie (Brasov)

 

6. Une année de césure

Le choix d’orientation n’est pas dû pour tout le monde. Il est normal de sentir perdu dans son parcours d’étudiant qui peut parfois être semé, de quelques embûches. Une année de césure peut être une option à envisager si vous ne vous sentez pas encore prêt pour faire un choix d’orientation. Cela peut vous permettre de vous interroger sur ce que vous voulez vraiment faire. Quel domaine ? Quelle formation ? Qu’est-ce qui vous donne envie de vous lever le matin ? Vous pouvez aussi profiter de cette pause pour gagner de l’expérience dans le monde professionnel, économiser de l’argent, être bénévole, faire un service civique, un VIE (volontariat international en entreprise) ou bien-même voyager (sans covid on espère.) Bref, prendre du temps pour vous.

Nous espérons que vos esprits infocomiens se sont éclaircis, à propos de l’orientation après un DUT Infocom. Prenez le temps de faire le point, sans mettre de côté le S4 ou la recherche stage ! (sorry)

Bon courage à tous, et on garde le sourire 😊

 

Publié par Fiona Guatieri dans Com' un top
Les petits gestes bien-être du quotidien

Les petits gestes bien-être du quotidien

Alors qu’une nouvelle année s’offre à nous, il est temps de repartir sur de bonnes bases. Confinés ou non, ces petits gestes à mettre en place au quotidien te permettront, on l’espère, d’améliorer ton bien-être et ta bonne humeur à la maison. Plongeons ensemble dans la journée d’un Infocomien épanoui :

 

7h30 : Réveil

L’infocomien se lève un peu avant les cours, dans une chambre illuminée de bleu. En effet, les longueurs d’ondes rouges sont propices à la production de mélatonine par l’organisme. Elles favorisent donc l’endormissement. La lumière bleu a quant à elle l’effet inverse. Elle est donc parfaite pour le réveil. Celui-ci d’ailleurs ne sonnera qu’une seule fois et hop ! Sortie du lit définitive, sans perte de temps. Un peu rude, certes, mais avoir un rythme de sommeil est bénéfique. Si tes heures de lever et de coucher restent les mêmes tous les jours, ton horloge biologique finira par se régler toute seule. Il t’arrivera même de te réveiller quelques minutes avant cette affreuse sonnerie et de ne plus la redouter.

Une fois debout, c’est à toi de te motiver : cette journée sera agréable, persuade-en toi. L’une des meilleures façons de le faire, c’est de penser par exemple à trois choses positives qui t’attendent. « À midi, je m’octroierai une pause pour regarder une vidéo », « J’irai courir au soleil après les cours »…  Désirer ces instants ne les rendra que plus succulents, et ceux-ci deviendront un objet de motivation.

Quoi de mieux ensuite qu’une mise en train musculaire, avec un peu de yoga ? La posture du chat, celle du chien tête en bas et celle de l’enfant sont faciles à réaliser et permettent d’éveiller le corps sans le brusquer. Découvre ici comment exécuter ces positions. Pour démarrer la journée du bon pied, pourquoi ne pas agrémenter ce moment de décontraction par ta musique préférée, afin d’être de bonne humeur dès le matin ! Pendant ce temps, profites-en pour renouveler l’air de ta chambre et apporter de la fraîcheur en aérant.

Une fois ces petites étapes faites, voilà l’heure de… faire son lit ! Oui, pas la tâche la plus fun, mais une des plus utiles, bien qu’on ne le sache pas toujours. Si tu passes beaucoup de temps dans ta chambre, notamment en cette période, ton lit est presque ton compagnon de vie. Or, ceux qui le mettent en ordre sont plus joyeux et productifs dans la journée, selon une étude menée par la National Sleep Foundation. Moins ta chambre sera rangée, plus ton esprit sera embrouillé. Alors à toi de le purifier !

 

7h40 : Petit-déjeuner et préparation

Il est préférable de prendre son petit-déjeuner avant les cours, afin de bien séparer ces deux activités et prendre le temps de l’apprécier. Pour un petit-déjeuner qui te maintiendra en forme toute la matinée, opte pour des fruits riches en fibres et vitamines, des céréales ou du pain complets, du thé ou encore du café pour l’énergie. (Si cela t’intéresse, tu retrouveras plus d’informations ici). Il peut être intelligent de préparer son repas (sans compter le frais évidemment) et sa tenue la veille. De cette façon, le matin venu, pas besoin de courir. Cela réduira le stress à l’endormissement, et tu pourras t’accorder un petit temps de tranquillité avant le début des cours.

Vient ensuite l’étape de la préparation. Même en travail à distance, s’habiller permet de garder une bonne santé psychologique. Aller en cours en temps normal implique de déjeuner, se laver les dents, s’habiller… C’est un rituel intégré par le corps et l’esprit, qui fait que l’on se sent apte au travail. Si ces habitudes se trouvent bousculées, tu peineras certainement à trouver ton sérieux car tu seras plongé dans un cadre qui ne favorisera pas la concentration. Et puis, porter une tenue que l’on aime à la maison est valorisant. Pas besoin d’être en beauté pour quelqu’un quand on peut se faire beau/belle pour soi-même.

 

8h : Les cours

Afin de ne jamais manquer les cours par inattention, regarde simplement ton emploi du temps la veille. Ne pas être pris au dépourvu permet de ne pas angoisser. Si tu es manuel, rédige carrément celui-ci à la main. Il sera bien pratique de l’avoir toujours devant les yeux au-dessus de ton bureau, et tu l’auras bien en tête dès le début de la semaine. Tu peux suivre ce petit tuto pour t’aider à le mettre en place :

Comment t’organiser pour gérer tous tes projets sereinement ? Pourquoi ne pas les noter sur papier et l’accrocher à côté de ton emploi du temps ? Les listes aident à garder l’esprit clair sur ce qu’il reste à faire. Si cela ne suffit pas pour t’y retrouver, inclus sur l’emploi du temps des plages horaires dédiées à la réalisation de chaque travaux et essaye de t’y tenir. Il est intéressant d’identifier les tâches précises à effectuer. En les réalisant petit à petit, tu auras l’impression d’avancer, plutôt que de fixer un nom de projet qui semble figé. En effet, rayer une activité donne un réel sentiment d’accomplissement. Au lieu de stresser sur ce qui n’est pas fait, sois heureux et fier d’avoir fini une mission.

Il faut donc consigner l’état d’avancement du projet, et en faire part aux autres membres du groupe, en organisant des réunions en visioconférences par exemple. Elles permettent de faire le point, de se débloquer mutuellement et également de garder un contact social agréable. Pour te faciliter la vie tu peux aussi utiliser le site Trello pour répartir et suivre l’évolution des tâches.

Autre astuce : Si tu as peur de rendre un travail en retard, organise-toi comme si le projet était à rendre une semaine à l’avance. Cela laisse une marge en cas de problème et le projet sera assurément bouclé dans les temps. Aussi, si un sentiment de lassitude te vient en travaillant trop longtemps sur le même type de support, tu peux alterner ordinateur et papier si possible, ou encore tâches rédactionnelles et graphiques.

Et pour les stages ?  L’essentiel est toujours de se fixer des objectifs. Ne laisse pas les refus te décourager. À côté de ton emploi du temps et ta liste de projets détaillée, ajoute tes objectifs de la semaine. « Envoyer deux CV et deux lettres de motivation cette semaine », « Appeler telle liste de numéros »… Ce processus t’encouragera à garder la motivation.

 

12h : Repas du midi

Comme pour le petit-déjeuner, il est préférable de ne pas faire autre chose en mangeant. Être entièrement concentré sur son repas permet de mieux l’assimiler. Les saveurs sont mieux dégustées et l’on est plus à l’écoute de son corps pour les quantités. Tu connaîtras une sensation de satiété qui est souvent plus éphémère lorsque l’esprit est tourné ailleurs, car le cerveau n’a pas conscience de tout ce qui a été ingéré. Évidemment, le meilleur repas se veut équilibré ! Voici un schéma de la composition d’un repas idéal :

Attention, les apéros-visio d’infocomiens restent autorisés, un esprit sain dans un corps sain… et hydraté bien sûr !

 

15 h : Se détendre

« Trop de projets à rendre, je sur stress ! » Alors quand s’offrir une pause détente ? Le faire après les cours peut paraître séduisant, mais c’est là où le cerveau est au maximum de son attention, comme le montre le graphique. Ce moment est donc opportun pour travailler, tout comme vers 10h le matin. En revanche, la vigilance commence à décliner durant la pause de midi avec un pic descendant à 15h et juste après le repas du soir. Ces tranches horaires peuvent se révéler parfaite pour arrêter de se battre avec ses cours et prendre un temps pour soi.

Pour se détendre, plusieurs solutions existent : le yoga, cité précédemment, la méditation, le sport… Ce dernier est en tout point bon pour le moral. Il améliore l’oxygénation cérébrale et booste donc ton cerveau, de plus, la production d’endorphines augmente la sensation de plaisir et fait diminuer les hormones du stress. Tout bénéf’ donc. Les exercice de respiration, facilement trouvables sur internet, représentent aussi une bonne solution pour retrouver le calme et apaiser ses angoisses. Enfin, le coloriage peut être un bon moyen d’échapper aux écrans, aux mots et de se vider la tête de manière colorée.

 

23h : L’heure du coucher

Avant de dormir, il est nécessaire de couper les ponts avec les cours. Le travail à distance efface les barrières, alors à toi de t’en mettre de nouvelles pour te préserver. Avant de dormir, le mieux est d’éviter les écrans et de préférer lire par exemple. Mais si un film ou une série te tente, alors fait en sorte que ce ne soit pas trop stimulant afin de ne pas perturber ton sommeil.

Si tu n’as pas envie de lire, ni de t’abîmer les yeux sur un écran, tu peux aussi opter pour de la musique relaxante ou des podcasts audios qui sont en expansion sur les plateformes de musique. Pour finir, tu peux chaque soir noter les choses que tu as appréciées dans ta journée. Voir ce qu’il y aurait à améliorer éventuellement, mais surtout dresser un bilan positif. De cette façon, tu te rendras compte que chaque journée, par les petits moments de bonheur qu’elle comporte, en vaut la peine.

 

Notre infocomien aura un emploi du temps chargé s’il décide de mettre en place tous ces conseils. Néanmoins, si quelques-uns peuvent véritablement changer le cours de sa journée et apporter ne serait-ce qu’une once de bien-être supplémentaire, alors il faut les saisir. Pour être épanoui, un étudiant doit d’abord se sentir bien dans son quotidien !

 

 

Publié par Julie Fourain dans Com' un top, La parole aux étudiants, Tous les articles
Les publicités de Noël made in 2020 à ne pas manquer !

Les publicités de Noël made in 2020 à ne pas manquer !

Alors que cette année tant particulière touche à sa fin, les fêtes de fin d’année pointent le bout de leur nez pour notre plus grand plaisir. Voici donc le fruit du travail de certaines marques et agences qui nous ont concocté quelques douceurs. Il est l’heure de déguster ces publicités de Noël près du feu, calendrier de l’avent en main.

Intermarché – jusqu’à mon dernier souffle – agence Romance

Solidarité, espoir et émotions… L’agence Romance a encore frappé dans son domaine de prédilection des storytelling et nous dévoile en ces périodes de fêtes, un magnifique hommage au personnel soignant. Un spot publicitaire bouleversant sous la voix poignante de Terrenoire, qui vaut le détour.

 

Disney & Association Make a wish – from our family to yours

Quelle période est plus féérique que celle de Noël ? C’est le moment parfait pour Disney de nous faire découvrir son court-métrage d’animation, en collaboration avec l’association « Make a wish » qui réalise les vœux des enfants gravement malades. « Le temps peut changer les choses, mais les souvenirs restent à jamais » ce dicton de Victor Hugo n’est que vrai pour la période de Noël où les enfants deviennent grands et où l’on se remémore de bons moments qui semblent à présent si loin. Or parfois, les choses les plus simples peuvent renouer un lien qui semblait être perdu. Petit conseil, sortez les mouchoirs.

 

Bouygues Telecom – le van de Noël – agence BETC

Bouygues nous propose un peu de légèreté et d’humour pour Noël. Ouvrez grand les yeux, vous risquez très probablement de reconnaître l’un de vos proches dans cette publicité signée BETC.

 

Amazon – the show must go on – agence Lucy Generals

Pour beaucoup d’entre nous, 2020 a fait écho à des projets reportés ou tombés à l’eau. Amazon nous montre que même lorsque tout semble perdu, le courage, le soutien, la persévérance et le soutien de nos proches nous aident à ce que nos rêves n’existent que pour être réalisés.

 

IGA – l’échange – agence Sid Lee

IGA, un des plus grands groupes d’épicerie québécois, est connu pour nous dévoiler des campagnes tout aussi vibrantes que captivantes. C’est chose faite pour leur publicité de Noël par Sid Lee, qui est aussi un joli message d’amour.

 

Carrefour France – la lettre au Père Noël – agence Publicis

Rien n’est plus touchant que l’innocence d’un enfant. Le protagoniste émet de ses yeux de fillette, ses vœux pour Noël en cette année particulière et on ne peut qu’être attendri par cette publicité !

 

Erste – #EdgarsChristmas – agence Jung von Matt/Donau

Voici la dernière publicité de Noël de cette liste, avant que l’émotion n’emporte pas votre petit cœur après le visionnage de ces campagnes. Erste Groupe nous donne le sourire à travers l’histoire d’un papy grincheux, trop nostalgique du passé pour fêter le présent. Laissez-vous emportés une dernière fois par la magie de Noël et le plaisir de partager.

Nous espérons qu’en plus d’enrichir votre culture, ces publicités de Noël made in 2020 vous aurons réchauffé le cœur.

Cette année n’a pas été simple pour tout le monde, mais nous espérons que 2021 ne sera que meilleur et nous vous souhaitons à tous de passer d’excellentes fêtes (mais doucement sur le champagne et les chocolats quand même…)

Restez forts jeunes samouraïs, l’aventure continue et on vous attend en 2021 on line, plus que motivés 😊

Publié par Fiona Guatieri dans Actualité 2.0
LinkedIn : apprendre à rester in link

LinkedIn : apprendre à rester in link

LinkedIn est le premier réseau social professionnel, avec un peu moins de 20 millions d’utilisateurs en France. Ne soyez pas effrayés par le mot « professionnel ». En effet, dès lors que vous désirez avoir un contact avec le monde du travail, ce réseau est un must-have. Alors, à quoi sert-il, et comment l’utiliser efficacement ?

LinkedIn permet d’enrichir ses connaissances tout en suivant l’actualité marketing et publicitaire. Mais c’est surtout un incroyable outil pour développer son réseau professionnel. Plus celui-ci est étendu, plus il est facile d’aller puiser dans ses ressources afin de trouver un stage par exemple. De plus, les jeunes étudiants ont la possibilité de s’appuyer sur le réseau des anciens, et de leur demander de précieux conseils. LinkedIn sert également à étendre son e-réputation, et à construire son personal branding.

 

Étendre son réseau pro

Avec qui entrer en relation ? Tournez-vous tout d’abord vers des personnes proches de vous, vos amis, votre famille. Pensez également aux étudiants de votre promo ou des années précédentes, aux profs ou anciens profs, et aux collègues rencontrés au cours de jobs étudiants ou de stages.

Il est aussi possible de se connecter avec des 2ème contacts (un contact en commun avec vous) et des 3ème (aucun contact commun). Il peut s’agir de personnel travaillant dans une entreprise que vous suivez. Dans ce cas, il est important d’écrire un petit mot indiquant vos attentions à celui avec qui vous voulez entrer en relation. Il reste tout de même judicieux de rechercher quels sont les personnes qui partagent un contact commun avec vous. Cela représente un bon moyen de lancer la discussion.

 

Un outil pour développer son personal branding

Créer son profil sur LinkedIn, c’est avant tout mettre en œuvre son personal branding. Qu’est-ce que cela signifie ? Le personal branding vise à promouvoir un maximum sa personne, à l’élever au rang de marque. Tout cela en utilisant un ensemble de moyens techniques et communicationnels pour mettre en avant sa personnalité, ses compétences, son secteur de prédilection… Ce processus est très utile sur le marché professionnel. En effet, vous avez tous les bénéfices à travailler votre image et à vous mettre le plus possible en avant.

 

Comment bien compléter son profil ?

Bien choisir ses photos

Plusieurs points sont indispensables afin d’avoir un profil complet. Tout d’abord, vos photo, de profils et d’arrière-plan, doivent être bien choisies. Il est conseillé d’avoir une photo de profil plutôt neutre, avec un fond sobre. Mais un sourire, une mise en scène professionnelle sont les bienvenus. Si vous le souhaitez, il est aussi possible de faire ressortir une passion, qui peut-être un plus suivant le domaine professionnel que vous visez (attention tout de même à laisser le visage bien visible). Ci-dessous, des exemples avec le dessin ou encore la photographie.

  
(Profil LinkedIn de Fanny Maréchal)                            (Profil LinkedIn de Claire Rouchon)

 

La photo de couverture doit également vous représenter. Montrer votre formation, votre domaine préféré, une œuvre que vous affectionnez si vous êtes amateurs d’art… Tout en gardant toujours à l’esprit vos objectifs professionnels.

 


(Profil LinkedIn de Lilou Cognet)

 

Développer l’information

Pour ce qui est du contenu, il faut bien entendu saisir son poste actuel qui s’affichera juste sous la photo de profil. N’oubliez pas que la formation DUT infocom (bientôt BUT) n’est pas connue de tous. Il faut donc expliquer les compétences que vous acquériez au cours de celle-ci, votre parcours passé et vos envies pro dans les Infos. Cela permettra à un éventuel recruteur de cerner tout de suite vos capacités et vos souhaits d’avenir. De même du côté des formations et expériences pro. Le nom d’une entreprise ne suffit pas, il est plus pertinent d’expliciter les tâches effectuées. Enfin, pensez à indiquer au moins trois compétences, et le niveau de langue.

Faire ressortir sa personnalité

Afin que votre profil soit plus qu’une liste de formations, il est important de montrer la personne que vous êtes, vos passions, vos aspirations pros. Pour se faire, il est intéressant d’agrémenter la rubrique Centres d’intérêt en suivant les pages qui vous intéressent (entreprises, marques…). Pensez également à mentionner vos expériences personnelles, dans la rubrique bénévolat par exemple. De plus, caractériser ce qui vous anime, le secteur que vous rêvez d’intégrer, voir le poste visé dans Infos montrera votre motivation.

 

Comment faire vivre son LinkedIn ?

Une fois son profil créé, le compte ne doit pas être laissé à l’abandon. Réagir à des publications, laisser des commentaires, partager des contenus qui ont suscité votre attention, des actualités de son école, des événements auxquels on a pris part… Toutes ces actions vous apporterons une certaine visibilité et témoigneront de votre dynamisme et de votre investissement. De plus, il faut bien sur penser à mettre à jour son profil dès qu’une nouvelle formation, expérience, ou encore compétence s’ajoute.

Évidemment, il est encore plus valorisant de produire son propre contenu. Travaux graphiques, book photos, parodies de pub, sont autant d’idées qui peuvent mettre en lumière votre talent. Et si vous avez travaillé pour quelqu’un, demandez à vous faire recommander. Plus les recommandations à votre égard seront nombreuses, plus votre nom remontera dans le moteur de recherches.

 

Prenons l’exemple de Jules Grosjean, passionné de graphisme. Il a l’excellent réflexe de poster chacune de ses créations sur LinkedIn, et a déjà reçu de nombreuses recommandations.

 

 

 

         

 

Ces productions personnelles peuvent même parfois être relayées par d’autres pages bien plus importantes ! C’est par exemple le cas de Tristan Bonnamy. L’ancien Infocomien a réalisé il y a peu une campagne d’affichage fictive pour la marque de vêtements responsables Patagonia. Il ne s’attendait pas à ce que le célèbre compte J’ai un pote dans la com (présent sur Instagram, Facebook et LinkedIn avec une moyenne de 149,5K abonnés par page) partage son projet. Une belle surprise, qui lui a valu un total de presque 1­6 000 vues.

 

     

 

Vous êtes plutôt manuel ? Pas de soucis !

 

 

 

 

Prenons l’exemple de Léna Clerc, qui a pris le parti de fournir un CV très original à l’agence de communication Pamplemousse (3K abonnés). La jeune fille s’est aperçue avec plaisir que celle-ci avait posté des photos de sa réalisation sur LinkedIn. Encore une superbe occasion de se faire connaître.

 

 

 

En somme…

Afin de pouvoir retirer tous les bénéfices de LinkedIn, il faut donc bien compléter son profil, le mettre à jour régulièrement et être actif au niveau des publications. Il est aussi important de saisir toutes les opportunités pour élargir son réseau, et entretenir le lien avec celui-ci (comme le disait si bien Jean-Baptiste dans notre Love Story Infocom). Tu souhaites découvrir des astuces encore plus précises ?
C’est ici !

 

LinkedIn n’a maintenant plus de secrets pour toi, alors il ne te reste plus qu’à appliquer ! Qui sait, peut-être que le chargé de com de Burger King passera par là et restera époustouflé devant ton compte… Il ne tient qu’à toi de forcer le destin 😉

 

 

Publié par Julie Fourain dans Au coeur d'ICB, Com' un top, Tous les articles
4 étudiants d’Infocom à suivre sur les réseaux sociaux

4 étudiants d’Infocom à suivre sur les réseaux sociaux

Vous êtes à la recherche de comptes inspirant sur les réseaux sociaux ? Voici 4 étudiants d’Infocom qui seront ravis de sublimer votre fil d’actualité.

On le sait tous, ICB n’est pas n’importe quel IUT. Il voit évoluer à travers ses murs, de nombreux étudiants ambitieux et talentueux. Certains ont accepté de partager leurs profils et leurs inspirations 2.0.

Prenez de quoi noter leurs noms quelque part. S’ils deviennent célèbres, vous serez bien contents de les avoir en relation sur Linkedin quand vous serez en recherche de stage !

#1 Dimitri Boillot

Elle capture et immortalise nos meilleurs souvenirs. Se trouvant au cœur de notre formation de communication, la photographie est née en 1839 (merci M. Parisot.)

Aujourd’hui, c’est Dimitri Boillot, un étudiant originaire de Montbéliard en 1P2, qui nous partage ses plus beaux clichés. Sa passion, Dimitri la doit à son père et aux nombreuses destinations qui ont émerveillé ses yeux, ainsi que son objectif.

« Mon père adore voyager et cela m’a permis d’avoir l’occasion de me rendre dans plusieurs pays. Pour capturer ces souvenirs j’ai dû les prendre en photos ! »

Au-delà des voyages, Dimitri puise son inspiration dans son quotidien et dans ses centres d’intérêts. En passant par le rap, la mode et plus particulièrement les sneakers.

« J’ai commencé les photos y’a maintenant 1 an et demi, en travaillant pour 2 marques de vêtements dont EastWood. J’ai aussi collaboré avec des rappeurs tels que Neziak et Atek et des influenceurs comme Alexis Bars et Isïa Arcangeletti ! Mon objectif sur le long terme est de continuer de travailler dans le secteur du rap tout en travaillant pour des artistes de plus en plus connus. »

Epurées, mais contrastées, vous pouvez retrouver une partie de ses photographies dans son book, qu’il compte alimenter à la suite du confinement. C’est juste ici !

#2 Régis

Il y en a pour tous les goûts et elle nous berce depuis petit.  C’est celle qui nous accompagne lors de nos pires karaokés d’Aya sous la douche et qui rythme nos meilleurs jeudis soirs…1 minute de silence pour cette période qui nous manque tant. Quoi de mieux que la musique pour accompagner ces états-d ’âmes ?

Zoom sur un étudiant de la meilleure classe de l’option pub (sans modestie) : Régis Levrot, de 2P3.

Curieux et passionné, Régis a grandi près de Grenoble. Il ne produit pas seulement de la musique. Il crée aussi ses propres visuels graphiques afin d’assurer sa communication en imaginant des flyers, des affiches et les pochettes de ses albums. Régis s’intéresse également au Motion design…On ne l’arrête plus !

« Ma passion principale reste la musique. J’adore passer du temps à produire de la MAO (musique assistée par ordinateur), autant que participer à des événements musicaux. »

Cette passion lui vient de son frère qui l’a initié au Break Dance. C’est à ce moment-là que Régis à souhaiter créer la musique sur laquelle il dansait.

« Au fil du temps, mes goûts se sont affinés et j’ai commencé à me rapprocher du style électro. Je me suis rendu compte que ce que j’aimais davantage produire que danser.»

Son stage et les cours qu’il a pris dans le domaine de création musicale l’ont poussé à participer à des concours organisés notamment par Soonvibes où Régis a décroché la 2nd place. Il a eu l’opportunité de sortir sur les plateformes de téléchargement, le son Rocket Launch.

En 2017, Régis a également gagné le concours « Party Up » et a pu mixer à Paris dans une soirée privée aux côtés d’artistes tel qu’Adrien TomA de Fun Radio.

« C’est un autre moyen pour moi de communiquer plutôt qu’avec des mots ou des gestes. »

Il a sorti en Octobre 2020, son 1er EP sous un label international, intitulé Further.

Musiques futuristes, créatives, Futur House, Big room, Trap… Régis exploite différents styles ! Si le contexte actuel ne lui permet pas de participer à des événements, cela ne lui empêche pas de continuer à composer, pour le plus grand plaisir de notre playlist Spotify ou Deezer.

#3 Eva

Pour le prochain domaine, tout est une question de style. Tout est une question de couleurs, de texture, d’inspirations, de rencontres et de coup de main. Et ce coup de main, Eva le possède définitivement bien. Voici son portrait.

Eva est étudiante en 2P1 à ICB. Alsacienne d’origine, elle passe la plupart de sa tendre enfance un crayon à la main à dessiner ce qui l’entoure.

« J’ai toujours beaucoup dessiné depuis petite, mais vraiment énormément. Quand on m’achetait des poupées, je tirais la tronche mais des crayons, j’adorais ça. »

C’est une jolie rencontre qui fit rentrer la peinture dans sa vie. Depuis, elle ressent toujours un bien-être et une satisfaction indescriptible lorsqu’elle crée.

« J’ai rencontré une copine au début lycée, et elle a senti que ça pouvait m’intéresser alors elle m’a fait peindre, et c’est un truc de fou comme j’ai aimé et depuis…je n’ai jamais arrêté ! »

Même si Eva ne s’arrête pas un style particulier, l’abstrait est ce qui ressort le plus de ses toiles. Elle peint pour elle, mais aussi pour les autres. C’est pour elle un moyen de communiquer et d’extérioriser au-delà des mots. Tout ça se passe sur son compte professionnel Instagram où elle partage son travail et où de futurs projets et expositions vont bientôt naître.

#4 Gaëtan

Enfin…Qui d’entre nous fait partie de l’élite qui sait seulement gribouiller des chats ou des yeux au coin de notre cours de Philo ? Gaëtan, c’est celui que tu veux absolument dans ton équipe au Pictionary et dans ton carnet d’adresse, donc ouvre grand les yeux.

Ses inspirations, notre jeune étudiant de Num les puise dans ses centres intérêts : Les sneakers, les sortis entre amis, la mode, le sport… Tout ça, il le retranscrit depuis qu’il est enfant sur une feuille de papier.

« Cette passion me vient depuis mon enfance. J’aimais beaucoup dessiner, mais j’ai repris depuis 1 an ou 2 ans j’ai acheté un IPAD Pro qui me permet de dessiner ce que je veux où je veux. Je fais ce genre de dessin, car je voudrais en faire mon métier. Pour le moment, je dessine pour moi et pour des associations si besoin. Pour mes cours, des projets, mes amis aussi. »

Comme beaucoup d’étudiants d’Infocom, Gaëtan est plein de rêves, d’ambitions et de projets.

« Mon rêve, c’est de dessiner une paire de chaussure pour une marque et qu’elle la commercialise.

Gaëtan s’est notamment inscris dans plusieurs concours organisés par des marques de baskets tels que Courir, afin de décrocher une collaboration. Ses meilleurs amis le suivent dans ce projet, puisqu’ils aimeraient ensemble pouvoir créer une maque de vêtement.

Pour retrouver du style de la pointe du crayon aux bouts des pieds, ça se passe sur son compte Instagram.

Encore merci à Dimitri, Régis, Éva et Gaëtan pour le partage de leurs passions et leurs parcours ingénieux sur les plateformes 2.0. Nous espérons que cela en inspira plus d’un à diffuser leurs créations sur la toile !

Pour ma part, je retourne dessiner ou peindre des chats, sous un son d’Aya pour réviser le cours de M. Parisot, sur l’Histoire de la photographie.

Publié par Fiona Guatieri dans La parole aux étudiants, Tous les articles
La Love story Infocom

La Love story Infocom

Et si les plus belles histoires d’amour naissaient à ICB ? Nous avons eu la chance d’échanger avec Jean-Baptiste et Chloé, un couple d’Infocomiens partis vivre à Montréal. Ils ont accepté de nous raconter leur Love story.

 

Leurs débuts à l’IUT

C’est en 2012 que tout commence pour Jean Baptiste, aka JB, et Chloé. Tout juste sortis du lycée, ils ne se connaissent pas encore lorsqu’ils entrent tous deux en Infocom, option com des orgas. Même si JB a d’abord voulu s’orienter vers la programmation, il a été séduit par l’ambiance d’ICB lors de la JPO, et a trouvé qu’il était plus bénéfique d’avoir plusieurs casquettes. Chacun a d’abord fait sa vie de son côté, et celle-ci était parfois rythmée d’aventures !

En effet, JB a déjà manqué de se faire enfermer à l’IUT alors qu’il était resté travailler tard pour le projet tut’ Be Com Pro. Heureusement qu’un prof l’a vu taper à la fenêtre, sa belle aurait pu l’attendre longtemps s’il était mort de faim en coworking. Cette espace d’ailleurs, JB et Chloé l’ont vu naître. Et oui, il fut un temps où le cowork était une salle des profs (et aussi une salle à apéros, selon un JB au regard affuté).

Même si les deux étudiants ne se trouvaient pas dans la même classe, ils ont partagé de nombreuses expériences en tant qu’infocomiens. L’une d’entre elles fut bien évidement le challenge, dont la finale se déroulait à Besançon cette année-là. Ce fut pour JB et Chloé (chacun dans une équipe différente) une très belle expérience. Chacun s’est également investi dans son projet tutoré. Tous deux relèvent que ceux-ci permettent d’acquérir le sens des responsabilités, et qu’il faut pleinement s’y consacrer. Nous pouvons d’ailleurs tous remercier JB, membre de la deuxième Team 2.0, qui a développé le premier véritable site web d’ICB avec le soutien de son équipe.

 

Les stages, et un amour naissant

Le temps passe, JB et Chloé se rencontrent. JB s’en souvient très bien. C’était à la Ligue contre le Cancer, par le biais d’amis communs. C’est à cet instant qu’il a croisé le regard de Chloé pour la première fois, et ses yeux verts ne l’ont plus jamais quitté. Mais les mois défilent, sans plus de nouvelles rencontres. Qu’importe ! L’amour sait attendre. Le destin allait bientôt les réunir. Effectivement, la fin de la deuxième année approchait, et avec elle, les stages bien sûr. Les deux jeunes gens ne se concertent pas, mais choisissent une destination commune : Montréal. JB a effectué son stage dans une agence web, Chloé quant à elle a opté pour le domaine de la communication événementielle, en travaillant pour le festival Accès Asie.

Au Québec, loin de tout, les deux infocomiens se revoient, discutent, se rapprochent. Peu à peu, l’affection se transforme en amour. Et c’est un jeune couple qui rentre en France. : JB ne poursuit pas ses études. Il se met à son compte en tant que développeur web. Pour sa part, Chloé entre en L3 Infocom à Grenoble, en option com numérique. Elle a trouvé cette année intéressante mais très théorique. Selon elle, c’est à l’IUT qu’elle a appris tout le concret. On peut dire que durant ce laps de temps, JB n’a eu de cesse d’enchaîner les allers-retours dans la ville de sa bien-aimée.

 

Montréal, là où tout a commencé


Crédit photo : Jennifer Doré Dallas

Pour l’année suivante, leur décision est prise : les deux amoureux repartent à Montréal ensemble, là où tout a commencé. JB trouve du travail dans le milieu du développement web, grâce à son réseau de contacts, établi durant leur premier séjour. Il est ensuite passé de salarié à travailleur autonome dans ce même secteur. Il donne aussi des conseils sur différents projets. Son ascension a notamment été possible grâce à son portefeuille de clients, créé au cours de plusieurs projets en dehors de l’IUT.

Arrivée au Québec, Chloé opte pour une maîtrise en communication médias socio-numériques d’une durée de trois ans. Ce système se base sur trois fois trois heures de cours par semaine. À la fin de sa formation, elle rédige un mémoire sur les attentats de Paris et la réaction qu’ils ont engendrée sur les réseaux sociaux. Diplômée l’année dernière, la jeune femme a trouvé un emploi chez un distributeur de lunettes. Elle est aujourd’hui coordinatrice marketing et communication !

Finalement, le couple a survécu au premier hiver canadien, aux longues nuits et au printemps maussade, et a toujours gardé un contact avec ICB. C’est avec plaisir qu’ils nous rendent visite à chacun de leurs séjours en France. On peut aussi noter que même à l’autre bout de la terre, l’IUT reste présent. JB, par exemple, a travaillé avec un étudiant de GEA à Montréal, et une de ses clientes a également fait partie d’Infocom Besançon. Enfin, lorsque monsieur Maujean ou d’autres enseignants d’infocom passent au Québec pour quelques visites ou soutenances de stage, c’est avec plaisir qu’ils se retrouvent, avec d’anciens étudiants, autour d’une table.

 

Leurs conseils à nos jeunes infocomiens

Après six années d’amour, et d’expériences dans la com, Chloé et Jean-Baptiste nous livrent quelques précieux conseils. D’après JB, le plus important est d’avoir un bon réseau, surtout si l’on veut lancer sa boîte. Il faut entretenir le lien avec celui-ci, répondre aux mails, prendre des nouvelles. Les deux amoureux confient également que le DUCIS est une belle opportunité qu’ils regrettent de ne pas avoir saisie. Enfin, selon eux, ICB nous donne de l’autonomie, on y est encouragé, et tous les moyens sont mis à notre disposition pour que l’on réussisse. Pour finir, s’ils devaient s’adresser aux couples d’infocomiens, ils diraient que le plus important pour connaître une relation épanouie est… La communication, bien sûr !

 

Leur belle surprise

Nous espérons bientôt les revoir tous les trois, à la prochaine JDA. Tous les trois ?
Et oui ! Le premier bébé Infocom est né. Il y a deux mois, une petite princesse est venue agrandir la famille ! Madeline prendra-t-elle part à l’aventure ICB comme l’ont fait ses parents ? Il ne tiendra qu’à elle d’en décider. En attendant, elle est déjà canadienne, alors que papa et maman sont encore en pleines démarches pour obtenir la nationalité. La petite ne perd pas de temps, selon JB, elle a même récemment fait son premier « Areuh ». Qu’en sera-t-il de son premier mot ? Elle dira un bel « Infocom » évidemment ! Bon, rien n’est moins sûr. Pour l’instant, nous ne pouvons que souhaiter tout le bonheur du monde aux jeunes parents et à leur petite fille !

 

Merci encore à eux d’avoir été disponibles pour répondre à nos questions. Nous espérons que leur histoire et leur parcours en inspireront plus d’un.

 

Publié par Julie Fourain dans Actualité 2.0, Au coeur d'ICB, La parole aux anciens, Tous les articles
Micro-couloir #3

Micro-couloir #3

Le micro-couloir revient pour la troisième fois à ICB ! Cette année, premières et deuxièmes années nous confient leurs meilleurs souvenirs de cette rentrée 2020, ainsi que leurs conseils pour bien débuter l’année scolaire.
Nous remercions tous les participants, et on se retrouve bientôt pour un prochain épisode !

Publié par Julie Fourain dans La parole aux étudiants, Tous les articles
L’événementiel sous Covid-19

L’événementiel sous Covid-19

En cette année particulière, de nombreux employés et secteurs professionnels ont été touchés par le covid 19. C’est notamment le cas pour l’événementiel, un secteur au cœur de notre formation de communicants. Mais que devons-nous en retirer, nous, futurs professionnels ?

Aujourd’hui, nous interviewons Simon Nicolas, intervenant à l’IUT Infocom, mais surtout chargé de communication à la Rodia de Besançon depuis près de 10 ans. Nous lui avons posé plusieurs questions afin de comprendre de quelle manière la pandémie à toucher l’événementiel et comment aujourd’hui s’organisent-ils pour continuer à nous partager de l’émotion. Chers étudiants, il est temps pour vous d’enfiler vos gants de professionnels de la com’!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bonjour M. Nicolas et merci de m’accorder de votre temps. Pour commencer, pourriez-vous vous présenter, présenter votre métier ainsi que la Rodia pour les nouveaux arrivants à Besançon ?

Bonjour, je m’appelle Simon Nicolas et je suis responsable de la communication et programmateur des arts numériques à la Rodia. La Rodia est une salle de concerts à Besançon. Nous organisons également le festival Détonation qui a lieu traditionnellement fin septembre et qui réunit environ 15 000 personnes par an.

Pourquoi avoir choisi de travailler dans l’événementiel ?

De base, je suis journaliste. Cependant, j’ai toujours été passionné de musique et je voulais participer à la découverte et promotion des jeunes artistes, d’apporter ma pierre à cet édifice. De fil en aiguille, ma vie s’est profilé pour que je me tourne donc vers l’événementiel.

De quelle manière le confinement a-t-il affecté vos événements et quelle a été votre stratégie de réponse à celui-ci ?

Très durement. C’est arrivé très vite et nous avons dû nous adapter en live et beaucoup annuler. Petite anecdote, la blague au bureau était de dire que nous étions chargés d’annulation au lieu de chargés de communication. Il fallait donc continuer à communiquer tout en attendant les annonces officielles. Lors du confinement, nous nous sommes mis à la place de notre public en se demandant ce qu’il pouvait faire et ce qui revenait surtout, c’était l’ennui. Nous avons donc préparé des playlists et nous avons partagés des vidéos. Être actif sur les réseaux a permis d’amener un petit peu de culture, un petit peu de nos valeurs, dans le quotidien des gens.

Le bureau de la communication à la Rodia le 17 mars 2020 :

Cela fait 4 mois que nous sommes déconfinés et que la plupart des secteurs de travail ont repris leur activité de manière plus ou moins normale. Ce n’est pas le cas pour l’événementiel où les choses sont encore très limitées. Comment abordez-vous ces nouveaux projets ?

Nous avons fait en sorte de nous réinventer en travaillant beaucoup sur le format vidéo. Par exemple, nous avons participé au Besançon rooftop festival, nous avons filmé un concert d’Éric Truffaz, un jazzman sur une colline de Besançon, etc. Nous réfléchissons à de nouvelles formes, de nouveaux supports qui amènent une autre facette de l’artiste.

J’allais justement y venir. Diriez-vous donc que cette crise du covid vous a obligé à réinventer votre métier sur le long terme ?

Totalement. Nous avons été les premiers à fermer et nous serons les premiers à rouvrir. Nous essayons donc de nous adapter au protocole sanitaire tout en proposant des événements tels que des petits concerts sur la terrasse par exemple. Nous voulons surtout faire en sorte de rassurer le public, qu’ils ne voient pas la Rodia comme un lieu de danger. Le jeu, c’est de tout faire pour continuer à faire vivre la musique live tout en s’adaptant à la situation.

Les gestes barrières, le port du masque, la distanciation sociale… Ces éléments vont à l’encontre de l’événementiel qui est là pour réunir les gens et leur partager de l’émotion. Sur quoi jouez-vous pour contrebalancer cet effet ?

Tout à fait. Mon métier est de créer de l’émotion et du lien social entre les gens et ce dernier élément est tout l’inverse de ce qu’il faut faire en ce moment. Nous faisons donc en sorte de réunir des petits groupes tout en les mettant en sécurité. Nous réfléchissons à des nouvelles formes de concerts : concerts extérieurs, concerts dans les salles de la Rodia, mais avec un public assis où nous ajoutons des formes artistiques… On s’adapte.

Avez-vous déjà été témoin d’une très grosse crise de communication au sein de votre métier hormis celle-ci ?

Pas spécialement, celle-ci est clairement la plus importante. Les crises de communication dont nous faisions face pouvaient concerner un artiste qui annulait son concert à la dernière minute. Parfois, des artistes peuvent aussi avoir des propos diffamatoires envers une personne ou une cause ce qui pose un réel souci. J’ai donc déjà géré et été témoin de ces genres de crises mais rien à voir avec le Covid, qui est un réel tsunami pour l’événementiel.

Si vous deviez retirer une chose positive de cette situation, ce que vous avez pu apprendre ? Qu’est-ce que ça serait ?

Je dirais la réinvention dans la communication. Je suis quelqu’un de curieux et qui a tendance à s’ennuyer assez vite. Au mois, cette situation m’a permis d’aller plus loin, de réfléchir à de nouveaux espaces de communication. Avec ce contexte, la situation évolue quotidiennement. Il faut donc coordonner un maximum de monde en allant les chercher sur différents réseaux pour les ramener sur notre site, là où l’information est la plus complète. Se réinventer est donc assez excitant.

Encore merci à Simon Nicolas de nous avoir accordé de son temps pour nous avoir fait part de son expérience tout en nous glissant dans la peau d’un communicant en ce contexte particulier. N’hésitez pas à suivre la Rodia sur les réseaux sociaux Facebook, Instagram & Twitter.

Ce que l’on peut retenir de cet échange, c’est qu’il y a toujours du bon dans les mauvaises situations, il suffit de savoir s’adapter et innover. Ce qui est un réel bonus dans notre domaine. En gros, comme dit si bien notre cher et tendre Albus Dumbledore… « On peut trouver le bonheur même dans les endroits les plus sombres. Il suffit de se souvenir d’allumer la lumière. »

Alors Lumos maxima les infocomiens ! Nous espérons que vous avez pu vous mettre dans la peau d’un professionnel car bientôt… Ça sera vous !

Publié par Fiona Guatieri dans La parole aux professionnels, Tous les articles
Conseils pour bien débuter l’année

Conseils pour bien débuter l’année

C’est une rentrée un peu particulière, c’est vrai. Mais elle n’entachera pas la bonne humeur de nos nouveaux infocomiens ! Alors voici quelques précieux conseils, afin de commencer l’année dans les meilleures conditions.

 

Où manger à l’IUT ?

Vous connaissez déjà la recette d’une vie étudiante bisontine, et on va continuer de régaler vos papilles. Pour prendre sa pause déj’ sur le campus, plusieurs solutions. Tout d’abord, la cafét’, située au deuxième étage du bâtiment Infocom. On y trouve des tables, des chaises, des fauteuils, une machine à café et une autre à friandises. En deux mots : tout ce qu’il faut pour se mettre à l’aise. Néanmoins, en raison des mesures sanitaires, les micro-ondes sont indisponibles pour le moment. Il faudra donc manger froid, une bonne occasion de se mettre aux salades ! Et pour ceux qui n’envisageraient pas de passer l’hiver sans déguster une bonne tartiflette bien chaude à midi, il existe des thermos alimentaires pour garder votre nourriture à température.

Autre possibilité, le restaurant universitaire (RU), qui se trouve à 7 minutes à pied de l’IUT. On y mange des repas variés, et pour pas cher : 3,30 € en moyenne. Et n’oublions pas la grande nouveauté de cette année, les repas sont à présent facturés 1,00 € pour les élèves boursiers. Alors, pourquoi s’en priver ? De plus, pour régler avec plus de facilité, il suffit d’utiliser son compte Izly. Cette application mobile permet de transférer de l’argent sur sa carte étudiante, et ainsi de payer avec celle-ci. Elle vous permettra de gagner du temps, et de mieux gérer vos dépenses.

 

 

Comment s’y rendre ?

Ce sont les lignes de bus 7, et L3 qui conduisent directement à l’IUT. Mais prenez garde, cette dernière est souvent bondée, surtout en début d’année, ce qui entraîne parfois des retards. Il faut donc veiller à s’y prendre à l’avance le matin, surtout si vous avez amphi de droit. Pour rappel, les arrêts les plus proches de l’IUT s’intitulent « IUT », « Crous université » (juste en face du RU), ou encore « U-sports », si l’on veut rejoindre le bâtiment par derrière. Pour ce qui est des retours chez papa maman le vendredi soir, le campus regorge habituellement de Blablacar. Sinon, il suffit d’emprunter la L3 et de descendre à l’arrêt « Gare Viotte » pour se retrouver directement à la gare. Mais dans ce dernier cas, il faut avoir le courage de trimballer sa valise dans les couloirs toute la journée. Après la salade, voilà du travail pour les biscottos.

 

Et pour les cours ?

Même si écrire à la main permet une meilleure mémorisation, chacun est bien sûr libre de s’organiser comme il l’entend. On peut tout de même noter qu’il est tout à fait possible de s’en sortir sans taper aucun cours sous format numérique, pour ceux que cela dérangerait. Pour résumer, que les cours soient pris sur papier ou par ordinateur importe peu, tant qu’il s’agit d’une méthode de travail qui vous correspond. Attention tout de même, certains professeurs préfèrent parfois une prise de notes manuscrite. Enfin, si vous ne possédez pas d’ordinateur mais en avez besoin pour réaliser un travail, pas de panique ! Vous trouverez tout ce dont vous avez besoin en salle mac, au deuxième étage du bâtiment Infocom : PC et imprimante (attention à ne pas dépasser votre crédit impression : 100 feuilles par an). Néanmoins, l’acquisition d’un ordinateur portable vous sera tout de même d’une grande utilité pour la plupart des devoirs.

 

 

Où travailler ?

L’IUT a la chance d’être pourvu d’une bibliothèque (BU) dotée de nombreux ouvrages dans le bâtiment central (BC). On y trouve des salles pour les travaux de groupe, mais surtout une ambiance calme et studieuse, propice à la concentration. Une seconde option s’offre également à vous, la salle de coworking. Dernier espace de la visite lors de la JPO, elle représente un lieu idéal pour travailler seul ou à plusieurs. L’endroit est cependant plus agité que la BU. Enfin, à cela s’ajoute la salle mac, citée précédemment.

Astuce pour les travaux sur ordinateur : toujours avoir une clé USB sur soi. Cela évitera de pleurer son exposé perdu la veille de la présentation. (Attention à ne pas oublier sa clé en salle mac).

 

 

Infocom, oui mais en pleine forme !

Le campus propose une multitude de sports qui ne demandant qu’à être expérimentés ! C’est simple, il suffit de s’inscrire d’une semaine sur l’autre, et de profiter pleinement de ces nouvelles activités. De plus, celles-ci peuvent contribuer à une bonification de ta moyenne semestrielle ! De 0,15 à 0,25 points gagnés. Il n’y a plus qu’à foncer faire du bien à son corps, et à son bulletin !

(Et, si jamais un petit creux vous gagne en sortant de votre séance, le RU accueille aussi des étudiants pour le dîner).

 

Un bal masqué… à l’IUT

Ne vous méprenez pas, on a tous envie de voir vos sourires. Mais pour lors, n’oubliez pas votre masque, quitte à en glisser quelques-un d’avance dans votre sac. Et comme disait Zouk Machine, Nettoyer… Balayer… La cafét’ restera bien lavée…

 

La ville

Que serait ICB sans le célèbre bar La Fontaine ? C’est toujours un jeudi soir, verre à la main, que l’on retrouve le plus d’Infocomiens. Le meilleur conseil que l’on puisse donner, c’est de profiter pleinement de votre vie étudiante ! Sortir, prendre part à ces petits événements, permet de consolider ces liens d’amitié qui tissent la toile d’Infocom. (Pour savoir comment paraître frais le vendredi matin à 8h, demandez conseil à vos très expérimentés parrains et marraines).

Besançon, c’est ses bars, mais également ses musées. Le musée des Beaux-arts et d’Archéologie, le musée du temps, ou encore la Citadelle… Un bon étudiant en communication se cultive, et est curieux de tout ce qui l’entoure. Se rendre dans ces lieux instructifs, ou encore lire des journaux tels que Le Monde ou Le Figaro profiteront toujours à votre culture et à votre connaissance de l’actualité.
Petit Tips : la e-carte Avantages Jeunes, au prix de 8,00 €, permet de bénéficier de réductions variées pour ce qui est des loisirs et de l’éducation, et d’accéder gratuitement à de nombreux musées.

Enfin, si cela est possible, pensez à continuer, commencer ou entretenir vos passions extrascolaires. Celles-ci seront toujours un plus sur votre CV, vos lettres de motivation, et tout simplement pour votre épanouissement personnel. N’ayez jamais peur de montrer qui vous êtes, après tout vous avez été recruté pour votre personnalité.

 

 

Les stages

Même si cela paraît encore loin, on sait par expérience qu’il est parfois difficile de trouver un stage. Le mieux est de s’y intéresser le plus tôt possible, afin de ne pas être pris au dépourvu, et de trouver un lieu de découverte qui correspond vraiment à ses aspirations.

 

The Best Tip

Évidemment, restez connectés sur la page Instagram d’ICB pour être au courant de tout ce qu’il se passera à l’IUT tout au long de l’année. Ce sont plusieurs mois uniques qui se profilent. Alors encore bienvenue dans la famille Infocom !

 

Publié par Julie Fourain dans Au coeur d'ICB, La parole aux étudiants, Tous les articles
Clap de fin

Clap de fin

Après une deuxième saison à ICB, la série touche à sa fin. Nos deux ans (trois pour certains), mériteraient sûrement un Oscar tant l’histoire fut intense et bien écrite. Il aurait été difficile d’imaginer un autre scénario pour ce film qui fut le nôtre. Clap de fin pour InfoCom. Mais avant que la Team 2.0 2020 vous dise au revoir pour toujours, on vous offre un petit récapitulatif de ces deux belles années.

Fermez les yeux. Enfin pas littéralement sinon vous ne pourrez pas lire cet article. Rappelez-vous de vos premiers pas dans l’IUT, votre premier contact avec ICB. Un apéro dès notre arrivée, une ambiance qui nous procurait un sentiment d’impatience quant à commencer les cours. Nous étions alors la veille de la rentrée et nous nous sentions déjà intégré. Nous n’avions même pas franchi la porte d’ICB que nous avions l’impression que nous étions étudiants déjà depuis plus de 10 ans. Une nouvelle vie avec une nouvelle famille nous ouvrait ses portes.

Ce fameux mois de septembre… Le travail n’était pas encore au rendez-vous, la découverte de nouvelles têtes nous excitait comme des lutins de cornouaille -après tout, pourquoi pas, Harry Potter nous a accompagné ces derniers mois-. Sans oublier la surprise de la journée d’intégration, avec, qu’on se le dise, une team « Romains » au-dessus du lot, en déplaise aux rageux. Et dire que ce n’était qu’un préquel du week-end d’intégration. Des souvenirs propres à chacun, un WEI vu d’un œil différent de tous mais seul le bonheur et la joie des étudiants présents était bien commun (ainsi que le (douloureux) souvenir d’Antonin en bikini).

 

 

Le mot de la fin – Agathe, videomakeuse Team 2.0

« Comme a dit une grande sage dans sa bio twitter, « slt les jeunes ».

Je vais simplement vous dicter vos 2 commandements :

1- Malgré cette fin pourri; ICB tu n’oubliera pas

2- tes friends ICB toujours tu chériras

Et big up à ces deux années qui nous ont tant apporté, que ce soit humainement ou professionnellement, que ce soient les profs ou les élèves, merci à tous pour ces larmes, ces fous rires, ces 0 en éco, et cette joie de vivre. Un ancien m’a dit « qu’à ICB il se passe quelque chose », et il avait raison. Et n’oubliez pas, le jaune sied à ravir. »

Pendant 2 ans, ICB nous a fait passer par toutes les émotions : la joie de tous se retrouver à la JDA, le bonheur de partager nos expériences à la JPO, l’insoutenable fatigue lors des CM du vendredi matin (ou plutôt la gueule de bois du jeudi soir…), le stress des challenges (aka la montagne russe émotionnelle), l’extase face aux rares jours de soleil, la tristesse de tous se dire au revoir…

Qui ne se souviendra pas de tous ces moments qui font d’ICB un endroit unique ? Le distributeur qui avale presque toujours ta pièce de 2€, ces délicieux cafés vanille à l’eau, l’attente interminable aux micro-ondes de la kafèt, les soirées mémorables à la Fontaine organisées par la meilleure Korpo de toute l’histoire d’infocom (merci les K-ctus, cœur sur vous), le S3 de l’enfer (et oui, ce n’est VRAIMENT pas une légende), Monsieur Vieille et ses plans médias, Madame Chapotte et ses oraux, mais surtout, l’inoubliable voyage à Berlin.

 

 

Le mot de la fin – Lisa, CM instagram Team 2.0

Pour ma part, le mot de la fin sera « merci ». Merci aux profs d’avoir été bien plus que ça : des enseignants passionnés et passionnants, attentifs et à l’écoute, toujours prêts à prendre du temps pour nous et pour faire ressortir le meilleur de nous-mêmes. Merci à toutes ces rencontres, ces découvertes, à tous ces inconnus qui sont devenus des amis et qui auront marqué ma vie. Merci pour toutes ces heures de cours enrichissantes qui nous ont tant appris : des heures parfois longues et stressantes, souvent très drôles et qui me manquent déjà. Merci pour tous les projets que l’on a dû rendre, qui nous ont permis de dépasser nos limites, qui nous ont fait sortir de notre zone de confort mais qui nous ont fait grandir. On avait peur avant d’arriver dans l’amphi A mais si on avait su que ça se terminerait comme ça, on aurait encore plus profité. Aujourd’hui, on n’a pas envie de partir. Merci à ICB de m’avoir permis de faire partie de son histoire et de sa famille.

Quand on nous disait « la fin de l’IUT arrive plus vite qu’on le pense » et bien, pour le coup, c’est littéralement réel. Alors un seul conseil, pour vous les chanceux qui auront le droit à une fin d’année convenable, profitez bien de cette dernière année car elle passe à une vitesse folle.

Nous n’avons pu profiter que d’une semaine de challenge, de quelques (rares) beaux jours et une dernière soirée à la gare d’eau pour se faire nos adieux. Mais nous garderons tous en tête ces beaux souvenirs qui ont rythmé nos 2 années.

Il est temps pour nous de dire au revoir à ICB et de prendre notre envol vers de nouvelles contrées (après Harry Potter c’est le Seigneur des Anneaux qui passent tous les mardis soirs) à explorer le vaste monde de la communication. Nous sommes arrivés tel des petits oisillons innocents et nous repartons tous grandit et mûrit par cette magnifique expérience qu’est ICB. On espère du fond du cœur que tout se passera au mieux pour nos 2A (et aussi pour les 1A).

Le mot de la fin – Zoé, CM Facebook Team 2.0

Cette fin d’année a été malheureusement très rapide, du jour au lendemain on nous annonce que l’IUT c’est finit, saleté de corona… Une grosse claque pour tous les étudiants parce qu’aucun de nous n’a vu ces deux années passer. Sans s’en rendre compte on s’attache les uns aux autres et sans s’en rendre compte, c’est déjà terminé. Ce qu’il y a de sûr, c’est que jamais je n’oublierai toutes les merveilleuses personnes que j’ai rencontrées au cours de ces deux superbes années, des vrais amis avec qui j’ai pu rire, pleurer, travailler, me disputer, vivre des choses inoubliables comme le voyage à Berlin. Je n’oublierai pas non plus tous nos professeurs que l’on voyait plus que nos propres parents, qu’on a agacé parfois, mais à qui on s’est attachés. Je n’oublierai encore moins tous les projets du S3 que l’on a du rendre en panique, en pleurs, en stresse ou encore en retard… C’est un au revoir difficile que je fais à ICB et à tout ce qui l’entoure. Cela a contribué à mon épanouissement pendant deux années et je suis fière d’avoir été infocomienne !

 

Un grand merci ICB, vous êtes dans notre coeur ❤

Publié par Clarisse & Antonin dans Au coeur d'ICB, Tous les articles