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ICB ist Berliner

ICB ist Berliner

Le temps d’un après-midi strasbourgeois…

Avant de parler nourriture, parlons bus. Lundi 11 Février, 90 élèves ont pris la direction de Strasbourg. Résumé des trois heures de trajet : parties de cartes ou de Mario Kart, éclats de rire et siestes pour ceux qui n’étaient pas encore réveillés. Et c’est sous un temps nuageux que nos aventuriers ont découvert les quartiers strasbourgeois. Une fois le ventre bien rempli (c’est vrai que 3 heures sans manger ça fait vraiment long pour certains), chacun entamait sa première visite afin de lancer le début de cette semaine. Parce que même en voyage, la communication reste bel et bien présente pour nos étudiants de deuxième année. Entre le journal les Dernières Nouvelles d’Alsace, la salle de spectacle la Laiterie, ou encore Eurométropole, ils ont donc été servis.

C’est ensuite devant le symbolique Parlement européen qu’ils se sont donnés rendez-vous. Accueillis par la chargée de communication, tous se sont mis dans la peau de vrais députés. Nos infocomiens ont pu visiter cette institution emblématique de l’Union Européenne puis assister en toute discrétion à une assemblée entre les membres du Parlement. Enrichissant et plus que pertinent, c’est une expérience unique qu’ils n’oublieront pas de si tôt.

Cette riche escapade s’est terminée au Brasseur autour d’un litre de bière (pour chaque étudiant, nous tenons à le préciser…) et des flammekueches locales servies à volonté par un serveur courageux… C’est vrai qu’entre les fous rires, l’appétit dévorant de certains, et la folle montée des bières pour tout le monde, le service n’était pas de tout repos. Les élèves ont pu digérer (ou presque) ce repas dans le bus, puisqu’il démarrait cette fois-ci pour Berlin. DS branchées, ronflements pour d’autres, la nuit a été longue mais la joie était là, comme toujours.

 

Berlin, un trésor rempli d’histoire

Après 10 longues heures de route, les 2A ont débarqué dans la capitale allemande fatigués mais enthousiasmés par ce monstre urbain encore marqué par la Guerre Froide et la division de l’Allemagne. Pour certains, Berlin est un molosse incontrôlable, peuplé d’une foule prolétarienne agressive sans élégance et dévoré de problèmes sociaux. Sauf que Berlin est à l’exact opposé de ce que vous pouvez penser. La capitale berlinoise est totalement différente : ni jolie, ni riche, mais tellement vivante. Et il fallait faire vivre nos infocomiens, eux qui étaient proches de dormir debout à l’auberge car leur sommeil se comptait en minutes.

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JOUR 3 🇩🇪

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A commencer par un brunch typiquement allemand pour se remettre d’une nuit de bus, alors que d’autres jouaient déjà les touristes. D’AlexanderPlatz à la PotsdammerPlatz en passant par les parties intactes du Mur de Berlin, la porte de Brandebourg et les différents musées de la ville, l’agglomération regorge de trésors historiques et culturels. ICB a su en faire profiter nos bisontins curieux de découvrir cette capitale européenne. Parmi les visites les plus marquantes, on retiendra la prison de la STASI, ex-police secrète de la RDA, qui a touché la plupart des étudiants de par son triste passé et les sombres faits qui s’y sont passés, ainsi que le musée de la photographie avec son exposition sur Helmut Newton. Sans oublier le mythique stade olympique de Berlin, l’Olympiastadion, qui a su attiser toute l’admiration du peu de footeux que compte notre département. Comme quoi, Com&Move a pensé à tout le monde.

Voyage touristique mais pas seulement. Car en Info-Com, la communication ne nous quitte jamais. The Foundry, Die Webstars, Glispa, Kreateur… de nombreuses agences de communication ont vu débarquer une foule d’infocomiens soucieux d’écouter les précieux conseils des professionnels. Un moyen pour nos étudiants de découvrir le monde de la com’ version allemande et pour ICB d’élargir son réseau d’entreprises et de nouer de nouveaux liens.

Berlin serait-il ainsi le paradis sur Terre ? N’ont-ils pas vu les bâtiments préfabriqués ou le dealer au coin de la rue ? Il faut insister pour entendre de temps en temps quelque chose de négatif sur la ville, grise par moment, mélancolique et sillonnée de cicatrices. Ici, on pense que tout est possible. Et tous sont unanimes sur un aspect. C’est le soir que la ville marque sa différence avec les autres grandes métropoles européennes, offrant ainsi une vie nocturne autrement plus trépidante et unique. Capitale mondiale de la musique techno, les infocomiens peuvent désormais le confirmer avec les 300 clubs recensés dans la ville. Ce voyage nous aura tout de même laissé beaucoup de souvenirs et aidera à mettre des images sur la multitude de documents divers sur tout ce qui s’est passé à Berlin durant ce demi-siècle qui a tellement compté sur le sort du monde et de l’humanité.


Aujourd’hui, le challenge, le stage et la fin de l’aventure sont désormais dans l’esprit de chacun. Mais il n’en doute point que ce séjour restera comme l’un des points d’orgue de cette épopée et viendra fermer la boucle qui a commencé 2 ans auparavant. Bien sûr, il ne faut pas oublier Com&Move et les professeurs participants (en particulier Mme. Tschofenig et Mme. Gainet) sans qui tout cela n’aurait pu se faire. L’aftermovie arrivera prochainement, alors si vous ne voulez pas rater l’apparition surprise de votre visage, on vous conseille de rester connectés…

Bis bald.

Publié par Théo Vigezzi dans Au coeur d'ICB
[TOP#12] Les résolutions d’un infocomien

[TOP#12] Les résolutions d’un infocomien

Cette année…

    1. Je reprends le sport

LA résolution que l’on retrouve chaque année. Ne vous demandez pas pourquoi vous avez raté votre bus ce matin en allant à l’IUT. Et bien sûr, impossible de courir pour le rattraper… Vous les sentez ? Eh oui, les kilos en trop sont là. Merci aux fêtes de Noël (ou plutôt au foie gras, à la bûche et les verres de trop). Maintenant que ceci est derrière nous, le moment est venu… Après des jours de plaisir intense, il est temps de vous reconnecter aux salles de sport de Besançon. On les sent venir aussi, les excuses pour ne pas tenir votre résolution sportive.

 

    2. Je mange équilibré

Vous vous en mettez tellement plein le bide pendant les fêtes qu’une fois le 31 Décembre passé, votre estomac (et votre jogging) craque. Il est très facile à ce moment-là de dire « je ne mangerai que des légumes, et tous les jours », « adieu les pizzas et les frites ». Sauf que ça dure… 3 jours. Après, votre pote vous appelle : « Big Ban ce soir ? ». Vous ne pouvez résister. Mais vous pouvez le faire, vous pouvez faire redescendre ce cholestérol. Courage, chaque légume compte.

 

    3. Je trouve un stage

Evidemment, certains y pensent depuis des mois ou l’ont même déjà trouvé… et d’autres commencent seulement à entreprendre des démarches, voire à se poser des questions uniquement en Janvier. Vous l’avez tous dit à Noël : « Promis Maman, je ferai aujourd’hui ma lettre de motivation, et finirai mon CV »… Sauf que vous vous êtes complètement perdus entre votre téléphone et le dernier épisode de Black Mirror. Il est grand temps d’arrêter de vous raconter des bêtises et d’agir enfin. Parce que ce n’est pas le Père Noël qui vous a franchement aidé dans vos recherches.

 

    4. J’économise de l’argent… pour le voyage de deuxième année

Autrement dit, je ne m’endette plus à la machine à café de la cafet’. Faire les comptes en Janvier c’est se rendre compte que la dernière fois que vous avez fini un mois sans être à découvert, vous ne connaissiez encore pas Google Drive. Il est aussi de votre devoir de penser à demain : poursuite d’études post-ICB, futures vacances, nouveaux projets, pensez-y. Cela peut avoir un coût conséquent donc anticipez-le. Car les problèmes naissent toujours d’un manque d’anticipation.

 

    5. Je sors moins

Traduction : je fréquenterai davantage la salle co-working que la Fontaine. Et cela vous permettra déjà d’économiser de l’argent. Après des vacances de Noël rythmées par de nombreuses soirées, vous vous dîtes « 2019, – de soirées + de travail ! »... Pourtant, cette idée change vite lorsque l’on vous propose d’aller boire un verre avec tous vos amis bisontins que vous n’avez pas vu des vacances.

 

    6. J’organise mieux mes cours

Organisation. Ce mot vous dit quelque chose ? « J’anticipe mes partiels », « je fais mes devoirs en avance », « je ne rate aucun amphi », « je fais des fiches » etc… On les connaît. Vous avez acheté des fiches Bristol pour tenir ces résolutions ? Il serait peut-être temps de vous acheter de la sincérité envers vous-même… Ces pseudo promesses que vous allez tenir trois semaines ça vous connaît… donc arrêtez de vous mentir à vous-même et jetez ces fiches que vous n’utiliserez sans doute jamais. Après tout, c’est pour vous et votre DUT…

 

    7. Je deviens un as des fourneaux

On connaît tous ce fameux cadeau qui nous pousse à réfléchir sur notre manière de cuisiner : le livre de recettes offert spécialement par notre grande tante… « Oh merci beaucoup, je vais pouvoir enfin me mettre à cuisiner ! ». FAUX. Arrêtez de vous mentir puisque, dès la rentrée, vous remplacerez ce livre par Deliveroo ou Uber Eats. Ah ça vous parle mieux ça ? Alors ne vous prenez pas pour Cyril Lignac et retournez sur votre canapé en acceptant la réalité.

 

    8. J’arrête de fumer… pendant une semaine

Dire que vos proches voulaient que vous arrêtiez est un euphémisme. Bon c’est la sixième année que vous essayez d’arrêter de fumer mais rien n’y fait. Cigarettes électroniques, patchs, hypnose, nicorette, le S3, le sport, le yoga, vous avez tout essayé. Fin, vous avez sûrement réussi à ne pas fumer… pendant une semaine, car vous étiez à découvert et sans paquet de cigarettes.

 

    9. Je deviens éco-responsable… comme Cristel

Là on touche un point très important. On ne veut pas passer pour Greenpeace, mais l’environnement est devenu une urgence pour notre génération. Eh oui, vous faîtes aussi de belles promesses à votre planète…Au début ça commence par du tri, prendre le vélo ou marcher à pied… Puis, votre flemme rattrape cette envie verte. Ne vous laissez pas dépasser par la tonne de choses à faire, et motivez-vous à respecter vos engagements. Ça commence par des petits gestes simples qui ne vous prennent pas trop d’énergie !

 

    10. J’arrête de faire des résolutions que je ne tiendrai pas

Il reste une ultime solution : vivez votre vie comme vous l’entendez et ne vous soumettez pas aux diktats populaires. Néanmoins, si vous toussez à la moindre accélération, que vous n’avez pas votre semestre, que vous êtes à découvert : ces résolutions vous sont probablement utiles…

 


Pour finir, nous vous souhaitons une excellente année 2019 ! Riche en fous rires, en diaporamas mais surtout marquée par les moments  à la Fontaine et bien d’autres… Profitez des instants ICB et gardez le meilleur. Essayez aussi de respecter vos résolutions, celles qui comptent le plus pour vous !

Publié par Eva Bourgin dans Com' un top
2018 : une année ICB dans le rétro

2018 : une année ICB dans le rétro

Un bond en arrière

2018, c’est d’abord 50 ans. 50 ans que l’IUT continue d’animer la vie de chaque étudiant passé ici. L’histoire infocomienne commence en 1968, à Besançon, rue de l’Observatoire à l’IUT Besançon-Vesoul. Depuis, plus de 30 000 étudiants ont établi une part de leur vie dans ces mêmes couloirs que nous fréquentons aujourd’hui. Durant l’année 2017-2018, ICB & l’IUT ont ainsi eu l’occasion de fêter un demi-siècle d’existence. Après de nombreux événements organisés depuis la rentrée, l’institut a donc clôturé son année sous le signe du jubilé. L’occasion pour les dirigeants et enseignants de revenir sur les évolutions de ces cinquante dernières années et d’évoquer les perspectives sur l’avenir de l’IUT.


L’année 2018 c’est aussi – et surtout – les événements perpétuels que personne ne peut éviter. De la traditionnelle Journée Portes Ouvertes à l’édition franco-anglaise du voyage de deuxième année en passant par les stages, 2018 a permis, aux uns, de plonger pleinement dans l’aventure ICB et, aux autres, de conclure en beauté leur parcours infocomien. Car oui, l’heure des au revoir des 2A, prêts à prendre leur envol professionnel, a sonné. Des au revoir, et non des adieux, car Info-Com ne nous quitte jamais. Touchés par leur départ, les première année, maintenant seuls, ont dû prendre leurs responsabilités. À commencer par les projets tutorés dont ils ont pris le relais, afin de redonner une nouvelle âme à ce département désormais essoufflé de ses ex-2A. Malheureusement, ce n’était pas les seuls départs. Comment ne pas oublier Pierre Guillemard, avec ses « punchlines » dont lui seul a le secret ainsi que Martine Devichi et ses « key words »  qui ont marqué l’histoire du département ? Une belle retraite nous leur souhaitons !

 

Bienvenue. à. ICB. Do you remember ?

Des départs, mais des arrivées heureuses et nombreuses. Alors que la France ajoutait à son maillot sa 2ème étoile, ICB s’apprêtait quant à lui à rassembler dans ses couloirs 180 nouvelles étoiles montantes de la communication. La famille s’agrandit une nouvelle fois. À côté des 2A en folie et heureux de se retrouver, les néo-infocomiens restaient attentifs et impatients de découvrir leurs nouveaux parrains et marraines désignés par numéro de téléphone (pour certain(e)s, répondre à des numéros de téléphone dès le 4ème jour de cours était un record). Merci la Korpo.  

Parce que le mot d’ordre est bienvenue, il a fallu les plonger au cœur de l’aventure ICB. À commencer par la seule et unique journée d’intégration. En quelques mots : une équipe de 2A sauvages déguisés en tout et n’importe quoi est arrivée en courant lors d’un prétendu cours en amphi. Bienvenue à ICB… L’intégration rime aussi avec WEI ! En trois mots : rires, soleil, et musique. Les nouveaux ont pu se découvrir sous leur plus grande forme l’espace d’un week-end d’Octobre ensoleillé (tellement rare qu’on devait le préciser).

Il est cependant temps de laisser les instants d’intégration de côté. Place aux jours d’automne, et au ciel grisé du mois d’Octobre (et pas que, nous sommes en Franche-Comté rappelez-vous…). Les jours raccourcissent, mais pas le quotidien des infocomiens qui se retrouvent avec de nombreux dossiers et travaux collectifs à traiter. Les journées en salle co-working ou en salle 202 sont désormais choses communes…

Pour couper cette atmosphère de travail, la JDA a usé de sa force et de sa magie ! Une opportunité exceptionnelle pour les 1A de rencontrer des anciens de la famille, de partager, créer du lien et toucher d’un peu plus près le monde professionnel. Des rencontres qui servent d’exemple tout au long de l’année…  À ne pas oublier pour plus tard lors de vos choix de parcours.

JDA 2018

Partages, rencontres et souvenirs sont au rdv dans cette vidéo dédiée à la JDA 2018 ! A partager sans modération 📹😉

Publiée par Iut Info-com Besançon sur Mardi 9 octobre 2018

 

Le S3, pour finir l’année en beauté (ou pas)

Et si on finissait l’année avec ce S3 ? Semaines lourdes, dossiers pleins la tête pour ensuite terminer sur des partiels de gestion et de droit… Mais, qui dit S3 dit aussi challenge. Conseil aux 1A : les mots « poêles », « casseroles » et « éco-responsable » sont aux 2A ce que Voldemort est à Harry Potter. Alors soyez prudents. Le challenge interne : cette semaine chargée (comme toutes les autres du S3 finalement), où l’on croise des étudiants en plaids avec des thermos de café et des visages très éprouvés par la fatigue. Car c’est un exercice qui compte. Il met au défi le mental, la réflexion, la créativité, la rédaction, l’expression orale, mais surtout le travail d’équipe. Une épreuve difficile que chacun a su passer avec brio. Nous ne pouvons que vous féliciter… Mais ce n’est pas fini. En Janvier, les 2Num devront affronter le challenge de la Veille, pendant que les 2Pub et 2Com feront face au Challenge de la Pub, dont la finale nationale aura lieu à domicile. Et on compte sur vous pour venir soutenir Besançon…

CHALLENGE INTERNE 2018

Voici enfin la vidéo retrospective de l'événement qui a rythmé le S3 des étudiants de deuxième année… Le challenge interne 2018 en image pour vous ! 😉

Publiée par Iut Info-com Besançon sur Mardi 20 novembre 2018

 

Ce S3 n’était pas gagné mais nous avons survécu à ces jours d’acharnement. ICB c’est aussi ça, la difficulté pour ensuite progresser. Un grand bravo à vous tous. Nous pensons évidemment aux 1A et leur souhaitons « courage » puisque, dès cette semaine, ils seront en train d’écrire, non pas leur liste de Noël, mais leurs réponses aux questions des DS. Vive les partiels de Décembre !

Ce chapitre 2018 se clôture désormais pour ICB. Ce fut une année à l’image du département : « bonheur mais travail car studieux, mais soirée car amis, donc folie« . Merci pour cette année si riche en rebondissements qui n’a cessée de nous étonner et de nous vendre du rêve. En Info-Com, les années passent mais ne se ressemblent pas. Nous fermons le livre pour en ouvrir un nouveau pour commencer cette année 2019. Qui dit nouvelle année, dit nouvelle histoire…

 


En attendant ces nouveaux chapitres, bonnes fêtes à tous ! (et doucement sur le foie gras…)

Publié par Théo Vigezzi dans Au coeur d'ICB
1895 minutes, le temps de retrouver le 7ème art

1895 minutes, le temps de retrouver le 7ème art

Participer à un projet tutoré demande du temps et de la persévérance…Mais en créer un tout nouveau stimule la créativité et la passion de chacun. Le festival 1895 minutes résonne avec plaisir, curiosité, et passion. Une mise en commun d’idées et de valeurs afin de pouvoir concrétiser cet engouement pour le cinéma. C’est là que le festival trouve ses racines : « l’idée vient de ma grande passion pour le cinéma et j’ai trouvé ça dommage qu’il n’y ait aucun projet tutoré en lien avec ce domaine. » évoque Alice, responsable à l’origine du projet. Des passionnés de cinéma ont donc décidé de mettre en avant le 7ème art. Mais un festival ne s’organise pas en un claquement de doigts : « On a commencé à réfléchir sur le type de festival que l’on voulait, les démarches nécessaires pour créer un nouveau festival, les subventions etc. » Une fois l’équipe réunie au complet, il a fallu réfléchir au concept-même du projet : réaliser un court-métrage dans un temps imparti. Il faut savoir qu’un festival ne réside pas uniquement en un simple concept, c’est aussi un nom symbolique auquel on peut facilement s’identifier.

En parlant du nom, le festival de cinéma prouve sa créativité de par son nom atypique et captivant. Si vous avez bien suivi les cours de Monsieur Parisot, vous devez savoir pourquoi. Si l’on vous dit frères Lumière et cinéma, vous l’avez ? En effet, c’est en 1895 que naît le cinéma inspiré alors par les premières représentations visuelles des deux artistes originaires de Besançon : « 1895, c’est la naissance du cinéma avec l’invention du cinématographe des frères Lumière, qui sont nés à Besançon. 1895 minutes transformées en heure équivaut à 31h34 et 48 secondes. C’était dans notre fourchette et c’est donc parfait. » évoque Rémi, vidéo maker du projet. 31 heures et 35 minutes, c’est donc le temps qu’auront les participants pour réaliser leur court-métrage.

https://www.facebook.com/festival1895minutes/videos/307012893356267/?__xts__%5B0%5D=68.ARDf2zu0Y5Xqey55t9aMebPnsnPcQFfNl058Tj32hi6psQN4LV9eqtRlZbC-C9uQT2w0KYEz4yic_wKZA3xuTx7ZmkEuVpzrD5hjtCCHQbFGRVXvSsqHur4juGRyiFO4xTg3W5HIjQ9QtlPEQiTMxFvxzJ3pDIVv5tg414aECYGneGM78lkjaQlWiERwW1r3Q6kLVJYBBcgAKN7QfnAQY8tHroiPNWF13AbTJtUKXyxoPqvdrMJ7Dkj_UEcqgaVi4DHu2JvMR8O23dtO7yt6eMUPktS_ZTHuAUNFYVVK4BZZBr-nYqs-BPmoNDIRM3ry1MZq2G4BDbElnWqkgkx5Wm16g3RZhtnVB2w&__tn__=-R

 

Qui dit nouvel événement dit communication omniprésente afin d’assurer la visibilité d’un festival qui était alors méconnu à Besançon. Pas une minute à perdre pour les membres du projet qui ont participé dès le début d’année à la Color Run pour se faire connaître par les étudiants. Dernièrement, nos cinéphiles infocomiens ont pu faire découvrir 1895 minutes à la presse et aux élus lors de l’inauguration des salles de la MDE le 21 Novembre : « En participant à la crémaillère des salles de co-working de la Maison des étudiants, nous avons pu présenter le projet aux élus de l’université et développer une animation sur fond vert.” se réjouit Malena, chargée de relations publiques du festival.

Ce mois-ci, nos cinéphiles se sont transformés en journalistes en allant interroger les étudiants du campus de la Bouloie. Le but était d’exposer leur énigme sur la signification de ce fameux nom de festival (maintenant vous le savez). Côté digital, 1895 minutes est bien évidemment présent sur les réseaux sociaux afin de cibler davantage d’étudiants, tout en privilégiant la proximité avec le public. Lors de la Color Run par exemple, ils étaient promoteurs de visibilité. « On a pris en photo des coureurs qui étaient sur notre stand avec des accessoires. Ces photos ont été relayées sur Facebook pour qu’ils les récupèrent et, dans un même temps, les aiment et les partagent. » nous explique Rémi. Au niveau médiatique, la presse locale suit le projet avec attention et l’équipe participe une fois par mois à une émission sur Radio Campus afin de suivre l’évolution de leur projet.

Une campagne d’affichage a été établie dans chaque lieu fréquenté par les étudiants afin de, là aussi, se rapprocher au maximum de leur cœur de cible. Créer du contact est un de leurs objectifs principaux. Ils comptent ainsi sur le bouche à oreille afin de susciter un véritable intérêt qui se traduira par une réelle participation des étudiants.

https://www.instagram.com/p/BoV7H2vnkUN/


Cette communication essentielle demande là aussi une rigueur et une organisation optimale.
Ce sont à eux seuls de gérer la totalité de leur projet, une création qui les pousse à sortir de leur zone de confort. Contrairement à des projets encadrés par des professionnels, ils ont à leur charge toutes les responsabilités du festival, ainsi que les imprévus : « Il y a beaucoup d’aspects que je connaissais pas avec les stages, mais là c’est différent. Il n’y a personne derrière moi pour me dire « penses à rappeler cette personne, tu as rendez-vous ici », je le fais toute seule. Et si j’oublie, c’est peut être de l’argent qui nous échappe. » précise la présidente du festival.

Pour les passionnés de cinéma, c’est une opportunité qui leur permet de prendre conscience des bons comme des mauvais côtés que réserve le domaine de l’événementiel. Malena souhaite plus tard « jouer un rôle dans l’organisation d’un festival de cinéma en étant coordinatrice ou chargée événementielle par exemple« . Ce projet tutoré leur permet ainsi de concrétiser leurs envies et d’être convaincu de suivre cette voie. 

C’est donc un travail qui demande de la réflexion en permanence. L’IUT nous apprend à être maître de nos envies et à concrétiser nos passions. C’est avec grand plaisir qu’ils vous invitent à vous inscrire sur le lien juste ici ! Restez connectés pour suivre l’actualité de l’événement qui se rapproche à grand pas !

 


Nos passionnés ajoutent que le festival est ouvert à tous les étudiants de France ! Soyez attentifs durant les prochaines semaines, puisque de nombreuses informations concernant l’événement arriveront sans plus tarder ! N’hésitez pas à les suivre sur leurs réseaux sociaux pour être au courant de toute l’actualité de 1895 minutes. Rendez-vous le Samedi 26 Janvier à la Maison des Étudiants pour le lancement de ce festival plein de promesses…

Publié par Eva Bourgin dans Au coeur d'ICB
Valentine, un DUCIS aux saveurs espagnoles

Valentine, un DUCIS aux saveurs espagnoles

Pourquoi as-tu décidé de faire un DUCIS, et précisément à Alicante ?

Je voulais faire un DUCIS pour améliorer mes capacités en langue. Cela a été mon point faible durant toute ma scolarité et je voulais y remédier ! Surtout qu’en communication et en publicité c’est indispensable… Au départ, je pensais plutôt aller dans un pays anglophone. Mais, après réflexion, l’Espagne, la mer, le soleil et le mode de vie me correspondaient plus. Je me suis lancée en me disant que, dans tout les cas, j’allais aussi améliorer mon anglais en échangeant avec d’autres étudiants Erasmus. 

 

Concrètement, qu’étudies-tu là-bas et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Je suis en Publicité et Relations Publics et j’ai choisi des matières orientées vers la publicité et la créativité. J’ai souvent des travaux de groupes (pour ne pas changer) avec des étudiants Erasmus voire d’autres étudiants espagnols. Et il faut être patient ! Au début, ce n’est pas facile, mais ça m’apporte énormément dans les relations, dans la manière de gérer des conflits dans une autre langue et avec les compétences et les capacités de chacun. Je pense aussi devenir plus indépendante et autonome car nous devons faire des projets vidéos et photos comme à l’IUT. 

 

Trouves-tu des différences entre la France et l’Espagne ?

Je trouve qu’il y a beaucoup de différences. Toutefois, ce qui m’a vraiment sauté aux yeux, c’est la mentalité et le mode de vie. Les espagnols vivent plus tard. Par exemple, les commerces sont fermés de 14h à 17h mais restent ouverts jusqu’à 22h. Et faire du shopping à 21h c’est très bizarre au début ! Ici, il y a également beaucoup de services moins chers… le retour en France va faire mal ! La mentalité est bien plus ouverte, je me rends compte qu’il n’y a que les français pour avoir un sens de la critique si pointu !

 

Penses-tu que ce voyage aura un impact tant sur le plan personnel que professionnel ?

Je pense que cela aura un impact important car ça me donne le goût de découvrir d’autres pays. Mais je considère surtout ce DUCIS comme une expérience et un bagage pour l’après ! Cette expérience m’apporte beaucoup dans l’indépendance, la maturité et le fait de vivre en colocation avec d’autres personnes de nationalités étrangères issues de cultures différentes (je suis avec une slovène, une turque et deux irlandaises). A l’université, les niveaux sont très hétérogènes et les âges aussi car, en Espagne, le lycée peut se faire en une année supplémentaire grâce à une passerelle. Il faut ainsi concilier tous les facteurs dans les travaux de groupe. Il faut également s’adapter à un public différent lors des projets que l’on présente. Les espagnols n’ont pas forcément les mêmes références voire le même humour.

 

Les lieux incontournables d’Alicante pour les futurs partants ?

Alors pour les sorties, il y a Santa Barbara, le château incontournable d’Alicante et Santa Cruz, une petite rue fleurie et colorées avec des maisons typiques qui fait le lien entre le centre-ville et les hauteurs de la ville. Sinon, il y a la Calle de Las Setas (ou la rue des champignons…) avec le sol jaune et vert et des champignons géants, ou encore la Plaza Del Mar située vers le port avec l’esplanade. Pour les bars, ça se partage entre deux quartiers : le Barrio, qui est très Erasmus et international avec les boîtes et les bars ambiance, et le Castaños, situé en face du Barrio, où l’on trouve des bars davantage fréquentés par des espagnols.

 

Qu’est-ce qui te manque le plus en France ?

Hormis notre bonne gastronomie française (ce qui, je pense, est le cas pour tous les étudiants Erasmus), juste le fait d’entendre du français dans le bus ou dans un bar me manque.

 

Quels conseils donnerais-tu aux étudiants qui veulent partir à l’étranger ?

Je pense qu’il faut d’abord abandonner l’idée que le DUCIS ce sont des vacances au soleil ou une année sabbatique, parce que l’adaptation, c’est de l’énergie, tout comme les cours en langues étrangères. Cela demande beaucoup d’effort ! Au niveau professionnel, je ne pense pas qu’il soit nécessaire d’en avoir un en particulier. Néanmoins, il est nécessaire d’avoir une idée d’école ou de licence pour la suite, car il est à la fois difficile d’y penser une fois parti et d’avoir toutes les informations depuis un autre pays.

 

Rédiger des articles, ça te manque un peu quand même…

Au-delà de rédiger des articles, ce sont surtout les réunions hebdomadaires de la Team 2.0 qui me manquent !

 


Merci à Valentine de nous avoir accordé de son temps entre deux tapas. Prenez note de ses conseils qui vous seront essentiels pour la suite. Mais avant de penser au DUCIS, concentrez-vous sur cette fin de semestre rythmée…

Publié par Théo Vigezzi dans La parole aux anciens
[TOP#11] Comment survivre au S3 ?

[TOP#11] Comment survivre au S3 ?

    1. Gérez votre emploi du temps !

Regarder son application pour connaître l’emploi du temps de la semaine ne suffit plus… Il est grand temps de définir vos réelles priorités ! Bien évidemment, nous parlons de priorités tournées vers le travail infocomien (il en existe bien d’autres). Définir vos objectifs de la semaine avant de la commencer vous aidera à réussir ce que vous vous étiez promis de faire. Pensez également au journal régulier avec de simples petites listes qui vous rappelleront vos objectifs de base afin de ne pas perdre du temps ailleurs.

 

    2. Les problèmes naissent d’un manque d’anticipation, prenez de l’avance sur vos projets 

« Il y avait un dossier à rendre pour demain ? », « Le contrôle est cet après-midi ?! », « Il fallait rendre l’exercice ? », vous vous reconnaissez ? (chapeau à ceux qui ne l’ont jamais dit ou pensé). Anticiper est le verbe essentiel, surtout au semestre 3 ! Si vous devez rendre un projet dans les deux semaines qui suivent, ne vous laissez pas avoir par la quinzaine de jours à vous faire ensevelir par les autres travaux à rendre. Faîtes ce que vous avez à faire, commencez à y réfléchir et à vous organiser (créez de suite un drive, votre meilleur collègue de travail). Ce sera des choses à faire en moins lorsque vous travaillerez tous ensemble sur ce travail ! Et soyez également proactifs en cours, cela vous fera gagner du temps précieux !

 

    3. Construisez de bonnes équipes de travail

Choisir une équipe de travail qui vous ressemble avec le même rythme de travail et le même état d’esprit est aussi important que de choisir le goût de sa pizza. La cohésion de groupe compte énormément dans l’avancement des projets. Et devinez quoi ? Au S3, les travaux collectifs ne manquent pas. Apprendre à compter sur les autres autant que sur soi-même demande un engagement annuel. Si vous avez trouvé chaussure à votre pied, vous pourrez tous ensemble aller, dans la joie et dans la bonne humeur, travailler à l’IUT durant tous les jeudis après-midi !

 

    4. Achetez une quantité illimitée de fiches Bristol

Il reste un peu plus d’un mois avant l’arrivée des DS. D’ici là, il vous faudra peaufiner vos connaissances à l’aide des inévitables fiches Bristol. A l’heure des révisions, ces fiches sont de véritables aides pour les partiels ! Grâce à leur petit format et leur rigidité, vous pouvez les transporter partout, ce qui vous permet de réviser n’importe où : à bord de la ligne 3 ou du train, dans un bar ou aux toilettes, aucun lieu ne peut désormais y échapper… Pour réviser efficacement, soyez synthétique dans vos fiches. Faîtes de beaux schémas et mettez-y vos plus belles couleurs pour stimuler votre mémoire visuelle ! Alors faîtes-en un énorme stock pour l’année !

 

    5. Faîtes de la salle co-working, la salle 202 et la BU votre 2ème maison

Votre appartement ne vous convient pas ? L’IUT a ce dont vous avez besoin. Alors ne cherchez plus : tables, livres, chaises, imprimantes et des Macs (quand il en reste), voilà ce qu’il vous faut. Ne vous étonnez pas si, durant le S3, vous apercevez des personnes en plein sommeil en salle de co-working à 8h du matin… Jour et nuit (et tous les jeudis après-midi), notre cœur bat pour ces lieux très fréquentés. Des endroits qui forgent l’esprit d’équipe, créés spécialement pour votre bien-être. Alors, si vous êtes en 1A, commencez déjà à réserver vos salles de travail (ou plutôt vos nouvelles chambres), vous n’êtes pas à l’abri d’amener plaids et tentes… 

 

    6. Commencez à chercher votre stage de deuxième année… en première année

Le stage de deuxième année se fait entendre dès la fin de la première année. Alors petit conseil : une fois votre premier stage acquis, commencez déjà à réfléchir au deuxième… Vous pensez avoir le temps l’année prochaine ? Entre les projets à rendre, les oraux et les deux challenges, la recherche de stage s’annonce bien plus délicate que vous ne le pensez. Pour vous guider dans votre recherche de stage, nous vous conseillons de vous rendre sur la page dédiée aux stages chez ICB !

 

    7. Faire un S3 en Espagne, un moyen d’éviter le grand froid franc-comtois

Durant le S3, le froid et le temps morose de Besançon peuvent nuire à votre moral. Pas de panique. Vous n’étiez peut-être pas au courant, mais éviter le grand froid franc-comtois est possible. Grâce à son réseau de partenaires étrangers, l’IUT vous permet de réaliser votre semestre 3 à l’étranger. Avec ICB, vous avez la possibilité de vivre 4 mois dans le pays de la paella, du flamenco et des tapas : l’Espagne ! À AlicanteMalagaMurcia ou Saint-Jacques-de-Compostelle, vous aurez la chance de devenir un véritable étudiant hispanique. Là-bas, vous suivrez un cursus en adéquation avec vos projets professionnels et les compétences acquises en Info-Com. Pour les 1A éventuellement intéressés par ce semestre espagnol, prenez contact avec le service des Relations Internationales de l’IUT et Madame Gainet afin d’être guidé du mieux possible. C’est une excellente opportunité pour vous d’approfondir vos connaissances en communication tout en découvrant une nouvelle culture et en forgeant votre ouverture d’esprit.

 

    8. Révisez le droit dès la fin du S2

Au lycée, les professeurs vous disaient sûrement de réviser l’histoire-géographie avant même le début de l’année. Avec le droit c’est pareil. Il vous accompagnera tout au long de votre semestre… et surprise : vous n’avez plus seulement à réviser les CM… parce que les cours de TD s’y rajoutent ! Dès la fin du dernier partiel de droit au S2, commencez à préparer vos cours de S3. Vous pouvez commencer par taper « Droit de la propriété intellectuelle » ou encore « Déontologie » sur Google afin d’avoir un avant-goût de la sauce avec laquelle Monsieur Maujean va vous manger…

 

    9. Prendre un cuisinier particulier pour le soir (ou Deliveroo pour les moins motivés)

Pour certains, cuisiner est un plaisir quotidien permettant d’oublier l’espace d’un instant l’IUT. Pour d’autres, cuisiner après une intense journée de cours est une tâche qui demande beaucoup d’efforts. En tant qu’infocomien, il vous faudra aussi travailler le soir. Sauf que nous sommes au S3. Oubliez les soirées Netflix ou les soirées foot. Bonsoir les cours de web marketing, les projets de créa et les nombreux dossiers à rendre qui ne vous lâcheront pas. Vous aurez donc très peu de temps pour remplir sainement votre estomac. Mais une solution existe : recruter un cuisinier. Si vous avez un/une coloc’ qui aime manier les casseroles pour préparer des plats savoureux, c’est pile poil ce qu’il vous faut (les 2A vous l’avez ?). Pour les moins chanceux – et les moins motivés – il existe Deliveroo, un service de livraison de plats cuisinés par les nombreux restaurants bisontins. Mais cela est non sans risque pour votre compte bancaire… Alors à vos fourneaux, car il vous faudra des forces pour aller au bout du semestre !

 

    10. Changez-vous les idées, parce qu’il n’y a pas qu’ICB 

Info-Com est une de vos raisons de vivre, c’est certain. Toutefois, prendre un peu de recul et faire d’autres choses est nécessaire… Chaque jour, grâce à Campus Sport, vous bénéficiez notamment d’activités sportives gratuites proches de notre lieu de travail ! Apprenez aussi à vous relaxer et à penser à autre chose pour revenir en pleine forme et être plus productif que jamais. Le sport, la lecture, la sieste (car dormir est primordial), l’art et la musique sont entre autres des moyens efficaces pour gérer l’intensité du S3. Vous pourriez penser que vous êtes trop fatigués ou que vous n’avez pas le temps de le faire, mais cela vous donnera plus d’énergie que vous n’en avez besoin. Bien sûr, les soirées du jeudi soir vous aident également à vous détendre avec modération (à TROP vous détendre pour certains…). Nouveauté cette année, les ateliers Zen’études qui se dérouleront pendant les mois de Novembre et de Décembre. Vous trouverez le lien pour vous y inscrire juste ici.

 


Même avec tous ces conseils, le S3 s’avérera d’une grande intensité. Mais vous le savez, il n’y a pas de secret pour surmonter cet obstacle. La réussite passera par le travail. Vous avez déjà passé la moitié du semestre, alors ne lâchez rien. Que la créativité soit avec vous.

Publié par Théo Vigezzi dans Com' un top
Les 8 sites indispensables pour réussir en Info-Com (et…gagner le challenge)

Les 8 sites indispensables pour réussir en Info-Com (et…gagner le challenge)

Le blog du modérateur, moderne et non hasbeen 

Avis aux professionnels connectés et aux travailleurs du web, ce site vous propose une sélection quotidienne d’outils et d’actualités pour ne rien rater du digital. Vous pouvez même proposer vos liens et vos informations via leur page contact (nous savons qu’ICB cache de vrais petits génies…) Une liste de métiers du web vous est également proposée, peut-être allez-vous trouver votre job de rêve ! En revanche, on ne vous garantit pas que cela vous aidera à comprendre les formules digitales de Dreamweaver…

L’avis d’Olivier, étudiant en 2COM1 et CM chez Decathlon Montbéliard : « J’ai connu le blog du modérateur en recherchant des sites pour une veille en community management. Cela me permet de développer des idées ou des outils pour mon travail de CM chez Décathlon. Grâce à ce site, je reste à l’affût des nouvelles tendances web et j’ai toujours un œil sur l’actualité du community management. »

 

J’ai un pote dans la com, votre fidèle partenaire 2.0

Non ce n’est pas un site qui vous aide à trouver des amis, mais un outil qui vous apporte de nombreux conseils et des idées inspirantes. Peu importe votre option, il vous informe des nouvelles tendances dans le domaine de la communication et de la publicité. Source de créativité, J’ai un pote dans la com vous sert d’appui si votre imagination décide de vous laisser tomber dans les moments délicats. Comme votre meilleur ami.

L’avis de Siloé, étudiante en 2COM1 et co-responsable de la communication de la Fée Estival : « J’ai un pote dans la com est le média incontournable des étudiants en communication. Je l’ai découvert en allant sur des forums dédiés à ce domaine. Il permet d’informer quant à l’actualité publicitaire jeune, créative et digitale. C’est une véritable source d’information et d’inspiration qui donne toutes les clés de réussite aux étudiants ! »

 

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Vous l’avez ? ✈️

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L’ADN, le génome de l’innovation

Un site atypique dont l’ADN (sans mauvais jeu de mots) est clair, net et précis : créativité dans les mots, sujets et tendances actuels ! De bons thèmes à aborder entre amis comme, par exemple, celui des architectures du futur ! Soyez au courant des derniers mouvements pour vous en inspirer et inventer de nouveaux concepts ! L’ADN vous offre une palette de rubriques attrayantes, en découvrant notamment le vrai sens du terme « entreprises innovantes » ou « les idées du jour ». Maintenant à vos clics !

L’avis de Grégoire, étudiant en 2P2 et ancien chroniqueur au Pedromadaire : « L’ADN est le top en terme de tendances web à suivre et d’innovation technologique, c’est une véritable mine d’information sous forme journalistique. Pour moi, étudiant en Pub, la catégorie ADN Business m’est utile pour avoir des informations à 360° sur l’univers d’une entreprise, sa communication, ses spécificités sur le marché… Très utile pour le challenge… »

 

Un Créatif, un youtubeur qui porte bien son nom !

Ce n’est pas un site, mais une chaîne YouTube. Non vous ne tomberez pas sur un tuto make up de 30 minutes mais sur un homme passionné avec des montages vidéos de qualité. Apprenez à construire des médias d’infodivertissement, ou encore à devenir un réel businessman du web (bon ça, pas sûr que ça marche). Sans rire, vous pouvez y découvrir du contenu humoristique tout en apprenant : ça passe des publicités qui font peur au public au création « de chaîne cancer à succès » ! Ce youtubeur s’inspire du média Konbini et on espère que certaines vidéos vous inspireront à votre tour !

L’avis de Clara, étudiante en 2P2 et artiste à ses heures perdues : « C’est en regardant la vidéo « 77 faits sur la publicité » du youtubeur DocSeven que j’ai découvert la chaîne d’Un créatif il y’a seulement quelques mois. Ancien concepteur-rédacteur en agence, il nous livre aujourd’hui les rouages des publicités clichées dont nous sommes assaillis quotidiennement. Sans filtre, le youtubeur ne prend pas de pincettes pour nous expliquer de quelle façon l’appétit du profit prend souvent le dessus sur la créativité dans certaines pubs. Et c’est cette dimension critique qui m’a plu dans sa démarche. J’ai particulièrement apprécié sa dernière vidéo sur la plateforme Konbini qui m’a permis d’ouvrir les yeux sur le business et la course au buzz que représente ce genre de média… »

 

 

Stratégies, celles qui t’aident à être tendance en com’

Un site qui va sans doute faire plaisir à Madame Spagnul et Monsieur Cornu… Au programme : marketing et média digital ! Des informations quotidiennes sur les créations du jour, les médias actuels, les tendances et bien d’autres domaines ! En plus de ces rubriques, vous pouvez vous appuyer sur des opinions de professionnels. Nous tirons d’ailleurs une petite phrase qui pourrait même faire office de sujet en philosophie de la communication : “Une bonne pub dans un mauvais environnement c’est comme un poisson rouge dans un banc de requins.” Vous avez donc 5h.

L’avis de Valérie Spagnul, professeure de marketing et chef du département : « Stratégies est en quelque sorte la « bible » de l’étudiant en communication, des enseignants et de tous ceux qui se doivent de rester en contact avec l’actualité des marques. Ce que je préfère dans ce magazine/site web : la rubrique « créations » qui me permet de faire de la veille sur les campagnes de pub et qui vous permettra de vous « nourrir » d’idées pour les productions de vos challenges. Je lis prioritairement la rubrique « marques » que j’exploite pour illustrer mes cours de marketing. »

 

Creapills, la pilule qui vous rendra créatif

Média francophone le plus suivi et consulté dans le domaine de la créativité et des idées, Creapills est la pilule créative que vous cherchez et qui vous donnera de nouvelles idées. Ce site permet de tirer parti d’idées créatives, entre marketing, invention technologique et créations artistiques. Chaque idée est analysée pour être présentée de manière simple, avec une vidéo, des visuels mais aussi des informations complémentaires comme son créateur, son contact, son pays, son domaine d’activité, etc… Creapills vous offre là un outil de veille très poussé qui vous accompagne dans cette veille de tendances. Cette data-créative peut donc grandement vous intéresser, notamment les veilleurs créatifs !

L’avis de Jérémy, étudiant en 2P3 et graphiste de la Team JPO : « J’ai découvert Creapills sur Facebook. Je cherchais du contenu sur la publicité mais pas quelque chose d’ennuyant, plutôt des publications drôles ! Et Creapills c’est vraiment top parce qu’il propose pleins de contenus et des publications tournées vers l’humour dans la publicité. On en retrouve des non connues et internationales. Son principal atout est qu’il n’est pas tourné uniquement vers la pub ! Il y a de tout : des images d’art, des créations magnifiques etc… En résumé, ça m’aide beaucoup parce qu’il y a beaucoup de propositions et d’idées créatives que ce soit dans les pubs, les dessins, les affiches, etc. »

 

 

Scoop.it ou comment devenir un professionnel de la veille

Nos étudiants en option Numérique le maîtrisent déjà du bout des doigts (il y a intérêt sinon vous aurez affaire à Françoise Simonot…). Scoop.it est un outil en ligne pratique pour mettre en place et partager une veille d’informations réactive aux mots-clés de votre choix. Connecté à différentes sources d’informations comme Google (blogs, actualités) et Twitter, il permet de vous créer un journal en ligne sur un sujet spécifique. Vous pouvez à la fois découvrir du contenu, mais aussi le conserver et le classer en fonction du sujet choisi. Il vous est également possible de partager les informations rassemblées sur Scoop.it sur les différents grands réseaux sociaux. Un logiciel de veille également utile en complément d’autres supports d’expression (blogs, sites web) pour faire valoir son expertise dans un domaine particulier.

L’avis d’Andy, étudiant en 2Num : « Scoop.it est un assez bon logiciel de veille. J’ai découvert et utilisé cet outil dans le cadre de mon cours de “Veille Stratégique” l’an passé. Il est simple et efficace et nous recevons rapidement les informations de dernière minute. »

 

Behance, une vitrine virtuelle

Il s’agit de la plus grande communauté d’artistes existante sur la Toile, un lieu qui naît comme vitrine, carrefour, point de rencontre, source d’inspiration mutuelle et forum d’échange de pratiques et conseils. Appartenant à votre meilleur ami créatif Adobe (encore lui…), Behance fonctionne de la même manière que n’importe quel autre réseau social : il faut s’inscrire, personnaliser votre profil à votre fantaisie (soignez tout particulièrement votre description !). Ensuite, vous pouvez télécharger et publier vos créations, suivre d’autres utilisateurs et vous pouvez attribuer des mentions J’aime. Un vrai réseau social créatif dont la particularité consiste en ceci qu’il a un mur composé par des images. Ici, ce sont les créations qui parlent pour le compte de leurs auteurs. Pour vous, futurs créatifs, graphistes ou designers, il est très important d’être présent sur ce type de plateforme parce que ce n’est pas seulement l’endroit où l’on étale ses projets pour se faire remarquer, mais aussi – logiquement – le lieu où se rendent ceux qui cherchent des talents comme vous !

L’avis de Noé, étudiant en 2COM1 et rédacteur chez Sport Focus : « Behance est un réseau social particulier. Il propose d’afficher vos projets créatifs à la manière d’un portfolio. Très intuitif, il permet de présenter les créations d’artistes en tout genre et ainsi avoir une présentation claire de son travail. Cet outil met en avant les meilleures créations, c’est donc un bon moyen de se faire connaître. Personnellement, j’ai connu l’application récemment grâce à un designer que je suivais sur Instagram qui mettait ses œuvres sur le site. C’est un moyen très professionnel de mettre ses œuvres à la vue de tous. »

 

 


Bien qu’il en existe pleins d’autres, ces sites vous aideront à compléter votre culture infocomienne et développer vos réflexions ! Petit conseil : ne cherchez pas forcément à imiter ou à vous mettre tout de suite sur Internet lorsque vous recevez un brief. Vous êtes communicants, et avant tout votre propre source d’inspiration… Que la créativité soit avec vous durant cette épreuve de survie ce challenge interne !

Publié par Eva Bourgin dans Actualité 2.0
La JDA, une histoire perpétuelle

La JDA, une histoire perpétuelle

Il était une fois la JDA…

Vendredi 23 Mars. 12h12. Toulouse. Finale nationale du Challenge de la Pub. C’est à 788 km de Besançon que François Parisot annonçait à l’ensemble des 1A la composition des projets tutorés internes, parmi lesquels figure l’organisation de la JDA. Lisa, Floriane, Clara, Thyda, Loïs, Solène et Clara Rognon étaient réjouies à l’idée d’organiser un tel projet. La joie fut cependant de courte durée. « L’ancienne équipe nous avait prévenues qu’on allait avoir beaucoup de boulot et dire au revoir à la liberté des jeudis après-midi » nous explique Thyda, légèrement nerveuse à l’idée de gérer un événement de cette envergure. Intégrer une nouvelle équipe avec laquelle il va falloir travailler très régulièrement peut aussi paraître ardu. Or, nous sommes en Info-Com. Le travail intense et la fatigue qui se faisaient ressentir au fil des semaines n’ont par conséquent pas empêcher les 7 piliers de la JDA de collaborer dans une ambiance qui était au rendez-vous. Notamment grâce aux professeurs, avec qui « il était intéressant de travailler dans un cadre différent des cours. Et non pas seulement pour nous avoir apportées des Tagadas, bien sûr que non… » Après de nombreuses journées de travail les entraînant jusqu’au bout de la nuit (si tu n’as pas la chanson dans la tête tu n’es pas un puriste), l’équipe JDA a su nous proposer un événement placé sous le signe du prolongement. Floriane explique cette idée par la volonté de conserver « ce lien entre étudiants et anciens qui reprend bien cette valeur de la ICB Family. »

JDA ICB 2018

“Prolongement” : le maître mot de la JDA 2018Venez prolonger vos années à l’IUT le temps d’une journée !Rendez-vous le samedi 6 octobre…

Publiée par Les Anciens – ICB Family sur Lundi 17 septembre 2018

 

L’accueil de nos anciens, marqué entre autres par les délicieuses chouquettes prises d’assaut par les plus gourmands, était ainsi le point de départ du lien qui nous unit tous. Car bien manger est universel, surtout pour un infocomien. Mais s’arrêter à cela serait réducteur. Toute la décoration de l’Atelier Artère nous a de suite fait comprendre  que nous allions vivre une splendide JDA. L’entrée colorée par son allée de pétales roses ainsi que la nouvelle et magnifique œuvre de la salle 3 transportaient de nouveau les anciens dans l’univers Info-Com. Comme nous le fait savoir Lisa Molière, bénévole de cette journée, « la Team JDA, Artère et les bénévoles présents depuis le début de semaine ont fait un super boulot. Tout était très professionnel et bien organisé. Rien n’a été laissé au hasard. »

 

…une cession de savoir-faire…

Le cœur de la journée résidait néanmoins dans l’échange entre anciens et actuels étudiants. L’après-midi fut donc lancée par deux conférences. Cette année,  Victor Feillant, chargé du social media et de l’influence chez Frichti, et de Guillaume Bleineau, social media manager chez Proximity BBDO se sont présentés aux 1A. Au programme : « intégration du social media par les marques » et « pouvoir du word of mouth à l’heure du social media » (autrement dit, bouche à oreille, et non « mot de bouche » pour les non anglophones). Leurs interventions ont su attiser la curiosité de l’auditoire, notamment celle de Lisa, « étonnée de voir que, malgré leur jeune âge, leur parcours est déjà bien fourni. » Les deux conférenciers ont ainsi mis en avant l’importance du social media dans notre société. Ravi de revenir à ICB, Victor n’est « jamais vraiment parti de l’IUT. » Un brin nostalgique paraît-il, mais la rigueur totale acquise ici lui a permis de devenir le professionnel qu’il est aujourd’hui. Tout comme Guillaume, aussi nostalgique que son ancien compère de la Team 2.0, qui a eu l’occasion d’exploiter ce qu’il a appris durant ces 2 ans à travers les stages et les projets tutorés. Et cela lui sert encore aujourd’hui : « Les cours de première année m’ont permis d’avoir des bases solides dans la communication. Chose idéale car, à cet âge-là, on ne sait pas vraiment ce que l’on veut faire et on ne se rendait pas encore compte de la multitude de métiers de la communication. »

 

…et de savoir-être

S’en sont suivis des échanges informels au cours desquels les étudiants ont eu l’occasion de partager en profondeur avec les sages de la communication. Ces derniers ont pu transmettre leur expérience, leurs conseils et atténuer les doutes des infocomiens au sujet de l’après ICB. Du graphisme au digital en passant par le journalisme et le marketing, tous les domaines de la communication étaient représentés. Les benjamins de la com’ ont de ce fait pris conscience qu’il n’existe pas de parcours type afin de trouver sa voie professionnelle. La JDA c’est aussi le mini job-dating made in Info-Com qui leur a permis de construire les bases de leur réseau professionnel.

Toutefois, la rédaction a repéré un ancien de l’IUT qui n’était pas seulement là pour faire part de ses conseils sur Excel mais également pour faire des photos avec ses fans infocomiens, dont nous faisions partie… Oui c’est bien lui, le maître du rétroplanning, le seul et unique Pierre Guillemard ! Tout comme Martine Devichi, notre Guigui national était très attendu par ses anciens collègues et ses disciples du tableur. Nos deux jeunes retraités retrouvaient l’osmose de leurs belles années Info-Com autour du traditionnel Tea Time. Entre deux verres de cidre, le Livre d’Or était également à la disposition des participants afin de remercier les organisateurs de cet événement digne de ce nom. Et nous aimions tellement la JDA que nous pouvions même la savourer… 

Parce qu’une après-midi ne suffisait pas pour fêter les retrouvailles à Besançon, la JDA se prolongea le soir au bar du Madigan’s où les anciens et les professeurs ont profité d’une soirée conviviale qui a conclu une journée riche en émotions. Bénéfique pour tous les participants, elle a su raviver la flamme des bons moments passés et a permis aux étudiants de prendre conscience du monde qui les entouraient. Notre fidèle équipe de la JDA, quant à elle, a su tirer le meilleur du projet tutoré. « Les sourires et les compliments que nous avons eu Samedi nous ont faites oublier tous les imprévus et la fatigue accumulée » se réjouit Clara Rognon, satisfaite d’avoir contribué au bon déroulement de cette journée. Toutes vécurent heureuses et fières d’avoir fait de cet événement un moment de partage et d’inspiration pour nos jeunes premières années.

 


Merci aux anciens, aux professeurs, aux bénévoles, à nos artistes d’Artère et à nos étudiants préférés d’avoir participé à cette journée ! Mais surtout un é-no-rme merci à cette équipe JDA 2018 pour ces souvenirs hauts en couleur. Rendez-vous dans 2 ans pour la prochaine Journée des Anciens !

Publié par Théo Vigezzi dans Au coeur d'ICB, La parole aux anciens
Le kit 2.0 made in ICB

Le kit 2.0 made in ICB

Google Drive, le nouveau membre de ta famille

C’est LA plateforme que tu utiliseras durant tes deux ans d’études, l’élément essentiel du kit 2.0 ! Comme vous le savez, qui dit Info-Com dit travaux de groupe et projets. Google Drive est le service gratuit qui vous permettra de travailler en collaboration sur un seul et même support. Finie la perte de temps à envoyer votre partie de travail sur la conversation Messenger de votre groupe. Finis les hurlements lorsque vous éteignez votre ordinateur en oubliant de sauvegarder votre document. Cet outil coopératif sera votre meilleur allié et ne vous laissera jamais tomber, même à 4 h du matin.

 

La suite Adobe, une énigme créative

Dès les premiers cours de PAO de Monsieur Detot, vos yeux s’écarquillent et la bouche des informaticiens débutants commence à pendre face à ces étrangers. Mais au fil des semaines, vous découvrez la solution à cette équation adobienne à trois inconnues. Ce seront les clés qui feront émerger votre créativité et illustreront concrètement vos idées ! Que ce soit à travers les retouches de photos avec Photoshop – non pas pour votre nouvelle photo Instagram -, la création de logos, de flyers et d’affiches ainsi que le dessin vectoriel avec Illustrator et InDesign, la suite Adobe sera votre gant indispensable de la création…

 

Les sites d’actualités, tes nouvelles applis préférées

Il est essentiel pour un infocomien de suivre les actualités au quotidien, et pas seulement celles des Anges ou des Marseillais. Le Monde, L’Etudiant ou Le Figaro mais aussi d’autres médias vous aideront à ne pas être dans le flou lorsque Monsieur Maujean vous présentera un sujet d’actualité précis ! S’informer régulièrement vous aidera à comprendre un monde dans lequel la communication est un enjeu capital. Aujourd’hui, il ne suffit plus de faire défiler son fil d’actualité Twitter ou Facebook pour suivre l’information en continu. En tant que futur communicant, il est aussi de votre devoir d’être au courant des dernières tendances publicitaires, digitales et marketing. Pour cela, nous vous conseillons de consulter régulièrement (cela fera plaisir à Madame Spagnul) des sites de référence proposant le meilleur de la communication, du digital et de la créativité. J’ai un pote dans la com, le Blog du Modérateur, L’ADN ou Creapills seront entre autres vos sources d’inspiration ! De plus, certains sont faciles d’accès car téléchargeables gratuitement depuis votre smartphone. De quoi occuper votre trajet jusqu’à l’IUT !

 

L’ENT, une plateforme multi-fonction

Vous n’aviez pas assez d’adresses mails donc on a décidé de vous en créer une nouvelle. Il est très très très important de consulter vos mails afin de ne rater aucune information primordiale du département : bénévolat pour les événements ICB, dont la JDA qui arrive samedi, date de rendu de dossiers, renseignements concernant la vente de sandwichs (un des plus importants, il faut soutenir le voyage des 2A…) et les stages ! Cependant, l’ENT ne sert pas uniquement à consulter ses mails. Vous aurez aussi accès à Moodle où vous bénéficierez des informations complètes des stages ainsi que des cours de certains professeurs. Encore faut-il trouver la clé d’inscription du module…

 

Ton pack Office de la réussite

Encore des instruments incontournables pour vos deux ans de DUT… Rien de mieux que Word pour prendre les cours bien organisés et structurés de Monsieur Cornu ou, pour ceux qui commencent à chercher un stage, écrire votre lettre de motivation. La formation vous réserve également d’innombrables exposés collectifs. C’est alors que débarque PowerPoint et ses fabuleuses animations (n’en abusez pas non plus…) pour illustrer vos superbes présentations orales. Pour finir, intervient Excel, « un outil qui vous permet de construire vos rétroplannings, il suffit aussi de connaître quelques formules d’usage ». Merci Monsieur Guillemard, figure emblématique d’ICB partie trop tôt et grand expert d’Excel (vous aurez la chance de le voir à la JDA…), pour ces paroles résumant parfaitement l’intérêt de ce logiciel.

 

Messenger, l’envahisseur 2.0

A première vue, ce n’est juste qu’un simple système de messagerie instantanée. Mais rappelez-vous, Info-Com est synonyme de projet. C’est donc sur Messenger que vous allez retrouver toutes vos conversations pour vos travaux. Cela vous permettra d’être organisé dans l’avancement de votre dossier et de présenter ensemble le meilleur projet possible. De « Projet Créa » à « Challenge Interne » en passant par « Exposé événementiel », « Oral Socio Suicide » et les conversations d’amis, vous serez vite envahis par les notifications incessantes des nombreux groupes Messenger, au point de vous y perdre. Car oui, envoyer « On va à la Fontaine ce soir? » sur la conversation « Oral Socio Suicide » sera une erreur fréquente !

 

Evernote, le petit dernier de la famille

Déjà maîtrisé par les 1A mais méconnu des 2A. Evernote c’est quoi ? Il s’agit d’une plateforme sur laquelle chacun d’entre vous a la possibilité de stocker les connaissances et les compétences que vous allez acquérir au cours de ses années passées à l’IUT. Pas d’inquiétude les 2A, vous découvrirez cet outil au cours de l’année avec Monsieur Kapala. On espère que vous saurez le remercier, car cet outil vous sera d’une grande aide pour construire votre projet professionnel !

 


Avec ce kit 2.0, vous serez maintenant de vrais infocomiens au courant de toute l’actualité et prêts à réaliser des projets de qualité. Mais pas si vite, vous serez définitivement adoptés après avoir été présents à l’événement incontournable d’Octobre, la JDA. Alors à Samedi !

Publié par Eva Bourgin dans Au coeur d'ICB
Lympes : au cœur du projet musical de Baptiste

Lympes : au cœur du projet musical de Baptiste

Comment s’est crée ton projet et de quelles manières as-tu découvert cette passion pour la musique ?

J’ai commencé à faire de la musique quand j’étais en 5e. Ce n’était pas hyper concluant, voire pas du tout. A l’époque, avec un ami nous avions créé un groupe du nom de Bwd Alwix, on faisait des sons dans un style bien différent. Ça ressemblait à de l’électro brut, voire de la techno. La passion est venue toute seule, je n’ai jamais su vraiment pourquoi. Mais j’ai eu envie de faire de la musique, de faire passer des messages, des idées… Après ce groupe, j’ai continué à en faire mais uniquement pour moi-même, sans avoir de réel projet stable. Puis, en arrivant en classe de première au lycée, je me suis dit que j’avais deux ans devant moi pour tenter de refaire un projet. Alors j’ai travaillé dur, j’ai tenté de nouvelles choses jusqu’à aimer davantage la musique électro chill avec des concepts plus acoustiques, des chanteurs, etc… La passion est venue encore plus naturellement par la suite, parce que j’avais des messages à faire passer dans ces morceaux, des sentiments et des émotions que je pouvais ressentir. C’est donc pour ça que j’ai lancé Lympes, jusqu’au moment où ça se développe petit à petit.

 

Des artistes t’ont-ils servi d’inspiration lorsque tu as lancé ton projet ?

Je m’inspirais vraiment des artistes en tout genre. Avant, c’était des inspirations vraiment électro du type KSHMR, Daft Punk, Hardwell, Swedish House Mafia… Ensuite, en voulant me diversifier, il y a beaucoup d’autres chanteurs qui m’ont inspirés ! Aujourd’hui, je dirai des artistes comme Holy Two, M83, Her & Black Atlas !

 

Depuis sa création, comment évolue Lympes ?

J’avais réellement envie de lancer le projet donc j’ai cherché à sortir les morceaux sur Spotify, iTunes etc… J’ai donc fait des démarches auprès d’un distributeur digital qui se charge de publier nos musiques sur les plateformes de streaming. Au départ, j’étais chez Tunecore, qui appartient à Believe Digital (qui travaille entre autres avec plusieurs artistes connus) puis Landr. Aujourd’hui, je suis chez Spinnup. La différence avec mes précédents distributeurs est qu’il appartient à Universal Music Group. Ce n’est pas une très grande différence, mais ça me permet d’avoir davantage d’opportunités. Par exemple, jeudi dernier j’étais à Paris pour assister à une session live rap du label. Disons que, par rapport à un simple distributeur, il est plus simple de se faire des contacts.

 

De quelle façon gères-tu ton projet en même temps que les cours d’ICB ?

Cette année, je prépare Cured, mon premier EP (Extended Play) de 5 titres pour Novembre, mais cette date de sortie dépendra de mes cours. Donc je bosse quand j’ai du temps, à savoir les week-ends et la nuit… sinon je risque de ne jamais finir un seul morceau !

Cela fait maintenant 3 semaines que tu es en Info-Com, comment se passe ton intégration ?

J’appréhendais énormément la rentrée car je ne connaissais pas du tout la vie étudiante à Besançon. Donc je suis allé à l’apéro de pré-rentrée à la Gare d’eau. J’ai pu y rencontrer quelques étudiants, ça m’a assez détendu pour la réunion de rentrée le lendemain. Au final, les infocomiens sont sympas, notamment ma marraine Pauline, enfin Gwendo, je ne sais jamais comment vous l’appelez (il sait comment amadouer sa marraine…) ! Ceux que j’ai rencontrés à la Gare d’eau sont depuis restés mes amis, ces liens se sont encore renforcés avec la journée d’intégration et se renforceront davantage avec le WEI qui arrive prochainement.

 

En quoi Info-Com pourrait t’aider dans la musique et vice versa ?

D’une part, Info-Com m’aidera surtout au sujet de la communication en amont d’un projet ! Je suis au départ quelqu’un qui fait de la musique, je ne fais pas de communication digitale. Alors oui, avec Info-Com ça m’aidera forcément ! D’autre part, je serai très motivé à l’idée d’organiser un live ou un DJ set infocomien, de faire un don au département ou pourquoi pas quelque chose d’intéressant ! Honnêtement, je pense que vous aurez bien plus d’idées que moi… (c’est maintenant entre les mains de Madame Spagnul d’organiser un DJ set dans le hall Info-Com/GEA le temps de midi…)

 

Quels sont tes projets pour l’année à venir et sur le long terme ?

Cette année, je rajoute un clip en vue de la sortie de CuredÀ moyen et long terme, je ne sais pas vraiment. L’EP qui sort en Novembre représente énormément pour moi par rapport à tout ce que j’ai vécu ! Donc hormis espérer le jouer et faire quelques dates, je ne sais pas tellement ce que je souhaite pour la suite. Mais l’EP représente déjà mon plus grand projet depuis la création de Lympes !

 

Découvrez Cure, le dernier morceau de Lympes :

 


Rendez-vous en Novembre pour la sortie de l’EP de Lympes. Pour patienter, nous vous invitons à suivre son actualité sur Instagram ! Si, vous aussi, vous souhaitez partager votre projet, n’hésitez pas à faire comme Baptiste !

Publié par Théo Vigezzi dans La parole aux étudiants