étudiants

Une candidature dont on se rappelle

Une candidature dont on se rappelle

Dernière ligne droite pour la recherche de stage de nos infocomiens ! En cette période intensive, CV et lettres de motivation se font et se refont sans relâche, parfois avec un brin de désespoir. « Il ne sera même pas lu de toute façon » : c’est ce que l’on pense parfois. Alors voici quelques idées afin d’agrémenter vos CV d’une petite touche personnelle.

Un CV original oui, mais je ne veux pas passer des heures dessus…

Cela peut se comprendre, une candidature originale demande du temps et de l’imagination. Néanmoins, on peut étoffer ses CV et lettres de motivation de plusieurs façons, sans forcément y passer des heures.

 

En soignant la rédaction

Des lettres de motivation qui commence par « Actuellement en DUT information-communication… », il y en a des centaines. Elles paraissent souvent un peu plates. En revanche, quand le style d’écriture est soigné, ou bien que le contenu n’est pas classique, on a toutes les chances de retenir l’attention. Comment ? En utilisant par exemple un champ lexical bien spécifique qui sera repris tout au long de la lettre.

Exemple dans le cadre d’une agence de voyage : « ­[…] Ma valise est faite. Elle contient la polyvalence nécessaire pour m’adapter aux différentes missions, une soif d’apprendre insatiable et la vivacité d’un avion de voltige. J’embarque également mon esprit d’initiative ainsi qu’une motivation sans faille pour faire de ce stage un séjour formateur et enrichissant. Je n’ai pas peur des intempéries et suis prête à m’accrocher si des zones de turbulences surviennent. […] » (Extrait de la lettre de motivation de Louna Scherrer)

 

En se familiarisant avec l’esprit de l’entreprise visée

Dans la catégorie « j’envoie quelque chose de propre sans trop d’efforts », on peut aussi penser à accorder les couleurs de son CV et de sa lettre de motivation (afin de garder une cohérence) à celles de l’entreprise visée (on peut détourner son logo, utiliser une de leurs polices phares…). S’approprier la charte graphique permettra au recruteur de sentir que vous vous êtes déjà imprégné de la structure. Si en plus de cela, vous dépeignez les valeurs de l’entreprise tout au long de votre lettre, c’est le combo assuré !

Voici l’exemple d’Anaïs Vuittenez qui a candidaté à l’agence Make My Lemonade qui propose une mode Do It Yourself :

 

 

En captant l’attention par la vidéo

Pas besoin d’être un pro en montage pour réaliser un CV vidéo (exemple de logiciels gratuits et simples d’utilisation : Imovie sur Mac, OpenShot sur Windows). Une bonne lumière, un téléphone et de la conviction dans vos paroles suffisent. Une seule règle à respecter : ne pas faire durer le tout trop longtemps et donner du rythme à votre présentation (astuce : enchaîner les cut). Si le recruteur reste scotché jusqu’au bout, alors vous aurez tout gagné. Ce format vous permettra de lui montrer votre dynamisme, votre authenticité et captera son attention tout entière.

En voici un exemple avec le Cv de Raphael Forges publié le 6 avril 2020 sur sa chaine Youtube :

Et puis, si vous êtes audacieux et avez le rythme dans la peau, pourquoi ne pas tenter une chanson qui restera dans la tête de toute l’équipe jusqu’à ce qu’on ne cède pour vous prendre ? L’idée a déjà été faites avec un résultat prenant :

(Chanson de motivation de Valérian Le Floch, postée le 10 décembre 2014 sur sa chaîne Youtube)

Dans tous les cas, réaliser ces démarches mettront en lumière vos capacités rédactionnelles, graphiques, ou encore votre aptitude à faire du montage. Mais surtout, une candidature travaillée reflète un réel investissement et une motivation avérée. (PS : on n’oublie pas de joindre un portefolio de nos réalisations passées si l’on en possède un)

 

Pour les plus créatifs…

On monte d’un cran dans la difficulté de l’exercice, mais il faut bien cela pour se démarquer !

 

Coller au secteur de l’entreprise

Si on peut coller au secteur de l’entreprise par le fond, comme vu précédemment, on peut le faire aussi par la forme. Louna par exemple a pousser le vice encore plus loin en donnant une allure de passeport à son CV :

 

Reprendre le packaging du produit

Reprendre un packaging montrera que l’on connaît bien le produit, qu’on l’a étudié pour le détourner. Le recruteur aura immédiatement un sentiment de familiarité avec l’objet. De plus, si la candidature est remise physiquement, elle procurera une attache émotionnelle toute particulière, et marquera les esprits.

               →   

On peut voir ci-dessus ma propre candidature qui reprenait la forme du magazine Maison Georges, maison d’édition jeunesse.

 

Représenter sa personnalité

On peut aussi penser à exprimer sa propre personnalité à travers le format de notre candidature. Voici notamment le célèbre exemple de Florent Hartemann, qui a savamment repris l’emballage d’un paquet de bonbons.

     (Photos tirées de l’article « Croquez pour le CV paquet de bonbon de Florent Hartemann » écrit par Alain Ruel et paru le 21 octobre 2019 sur le site CV.originaux.fr )

Tout cela parce que, dit-il : « Je ne suis pas le seul produit voulant être acheté sur un même marché : une réelle métaphore face au nombre conséquent d’étudiants voulant intégrer le peu d’entreprises offrant des postes. » L’envie de se démarquer du jeune homme s’est révélée payante. En effet, huit heures après l’avoir posté sur LinkedIn, il avait atteint le million de vues et recevait de nombreuses offres de stages (d’après l’article « Croquez pour le CV paquet de bonbon de Florent Hartemann » écrit par Alain Ruel et paru le 21 octobre 2019 sur le site CV.originaux.fr)

Le CV de Jérémie Gabarre pourra inspirer de nombreux gamers. Qu’a-t-il voulu montrer à travers cette illustration ? Eh bien qu’il était « multifonctions » et qu’il s’améliorait avec le temps, toujours selon Alain Ruel.

 

(Photos tirées de l’article « Jouez avec le CV façon manette de jeu vidéo de Jérémie » écrit par Alain Ruel et paru le 21 janvier 2020 sur le site CV.originaux.fr )

Ce genre de CV des plus originaux sortent du lot. Néanmoins, il ne faut pas oublier de montrer que l’on connait l’entreprise dans sa lettre de motivation. Une candidature peut nous représenter, mais elle doit toujours être bien ciblée !

 

Il est donc impératif d’être honnête et de rester soi-même lorsque vous candidatez. La recette est simple : mettre ses capacités en avant, montrer sa connaissance de l’entreprise et ajouter sa petite touche personnelle ! Alors, maintenant que vous êtes inspirés, à vous de séduire les recruteurs en faisant bon usage de votre créativité ! On souhaite bonne chance à tout le monde pour ces dernières semaines. Puisse le sort vous être favorable…

 

 

Publié par Julie Fourain dans Au coeur d'ICB, Com' un top, La parole aux étudiants, Tous les articles
Les petits gestes bien-être du quotidien

Les petits gestes bien-être du quotidien

Alors qu’une nouvelle année s’offre à nous, il est temps de repartir sur de bonnes bases. Confinés ou non, ces petits gestes à mettre en place au quotidien te permettront, on l’espère, d’améliorer ton bien-être et ta bonne humeur à la maison. Plongeons ensemble dans la journée d’un Infocomien épanoui :

 

7h30 : Réveil

L’infocomien se lève un peu avant les cours, dans une chambre illuminée de bleu. En effet, les longueurs d’ondes rouges sont propices à la production de mélatonine par l’organisme. Elles favorisent donc l’endormissement. La lumière bleu a quant à elle l’effet inverse. Elle est donc parfaite pour le réveil. Celui-ci d’ailleurs ne sonnera qu’une seule fois et hop ! Sortie du lit définitive, sans perte de temps. Un peu rude, certes, mais avoir un rythme de sommeil est bénéfique. Si tes heures de lever et de coucher restent les mêmes tous les jours, ton horloge biologique finira par se régler toute seule. Il t’arrivera même de te réveiller quelques minutes avant cette affreuse sonnerie et de ne plus la redouter.

Une fois debout, c’est à toi de te motiver : cette journée sera agréable, persuade-en toi. L’une des meilleures façons de le faire, c’est de penser par exemple à trois choses positives qui t’attendent. « À midi, je m’octroierai une pause pour regarder une vidéo », « J’irai courir au soleil après les cours »…  Désirer ces instants ne les rendra que plus succulents, et ceux-ci deviendront un objet de motivation.

Quoi de mieux ensuite qu’une mise en train musculaire, avec un peu de yoga ? La posture du chat, celle du chien tête en bas et celle de l’enfant sont faciles à réaliser et permettent d’éveiller le corps sans le brusquer. Découvre ici comment exécuter ces positions. Pour démarrer la journée du bon pied, pourquoi ne pas agrémenter ce moment de décontraction par ta musique préférée, afin d’être de bonne humeur dès le matin ! Pendant ce temps, profites-en pour renouveler l’air de ta chambre et apporter de la fraîcheur en aérant.

Une fois ces petites étapes faites, voilà l’heure de… faire son lit ! Oui, pas la tâche la plus fun, mais une des plus utiles, bien qu’on ne le sache pas toujours. Si tu passes beaucoup de temps dans ta chambre, notamment en cette période, ton lit est presque ton compagnon de vie. Or, ceux qui le mettent en ordre sont plus joyeux et productifs dans la journée, selon une étude menée par la National Sleep Foundation. Moins ta chambre sera rangée, plus ton esprit sera embrouillé. Alors à toi de le purifier !

 

7h40 : Petit-déjeuner et préparation

Il est préférable de prendre son petit-déjeuner avant les cours, afin de bien séparer ces deux activités et prendre le temps de l’apprécier. Pour un petit-déjeuner qui te maintiendra en forme toute la matinée, opte pour des fruits riches en fibres et vitamines, des céréales ou du pain complets, du thé ou encore du café pour l’énergie. (Si cela t’intéresse, tu retrouveras plus d’informations ici). Il peut être intelligent de préparer son repas (sans compter le frais évidemment) et sa tenue la veille. De cette façon, le matin venu, pas besoin de courir. Cela réduira le stress à l’endormissement, et tu pourras t’accorder un petit temps de tranquillité avant le début des cours.

Vient ensuite l’étape de la préparation. Même en travail à distance, s’habiller permet de garder une bonne santé psychologique. Aller en cours en temps normal implique de déjeuner, se laver les dents, s’habiller… C’est un rituel intégré par le corps et l’esprit, qui fait que l’on se sent apte au travail. Si ces habitudes se trouvent bousculées, tu peineras certainement à trouver ton sérieux car tu seras plongé dans un cadre qui ne favorisera pas la concentration. Et puis, porter une tenue que l’on aime à la maison est valorisant. Pas besoin d’être en beauté pour quelqu’un quand on peut se faire beau/belle pour soi-même.

 

8h : Les cours

Afin de ne jamais manquer les cours par inattention, regarde simplement ton emploi du temps la veille. Ne pas être pris au dépourvu permet de ne pas angoisser. Si tu es manuel, rédige carrément celui-ci à la main. Il sera bien pratique de l’avoir toujours devant les yeux au-dessus de ton bureau, et tu l’auras bien en tête dès le début de la semaine. Tu peux suivre ce petit tuto pour t’aider à le mettre en place :

Comment t’organiser pour gérer tous tes projets sereinement ? Pourquoi ne pas les noter sur papier et l’accrocher à côté de ton emploi du temps ? Les listes aident à garder l’esprit clair sur ce qu’il reste à faire. Si cela ne suffit pas pour t’y retrouver, inclus sur l’emploi du temps des plages horaires dédiées à la réalisation de chaque travaux et essaye de t’y tenir. Il est intéressant d’identifier les tâches précises à effectuer. En les réalisant petit à petit, tu auras l’impression d’avancer, plutôt que de fixer un nom de projet qui semble figé. En effet, rayer une activité donne un réel sentiment d’accomplissement. Au lieu de stresser sur ce qui n’est pas fait, sois heureux et fier d’avoir fini une mission.

Il faut donc consigner l’état d’avancement du projet, et en faire part aux autres membres du groupe, en organisant des réunions en visioconférences par exemple. Elles permettent de faire le point, de se débloquer mutuellement et également de garder un contact social agréable. Pour te faciliter la vie tu peux aussi utiliser le site Trello pour répartir et suivre l’évolution des tâches.

Autre astuce : Si tu as peur de rendre un travail en retard, organise-toi comme si le projet était à rendre une semaine à l’avance. Cela laisse une marge en cas de problème et le projet sera assurément bouclé dans les temps. Aussi, si un sentiment de lassitude te vient en travaillant trop longtemps sur le même type de support, tu peux alterner ordinateur et papier si possible, ou encore tâches rédactionnelles et graphiques.

Et pour les stages ?  L’essentiel est toujours de se fixer des objectifs. Ne laisse pas les refus te décourager. À côté de ton emploi du temps et ta liste de projets détaillée, ajoute tes objectifs de la semaine. « Envoyer deux CV et deux lettres de motivation cette semaine », « Appeler telle liste de numéros »… Ce processus t’encouragera à garder la motivation.

 

12h : Repas du midi

Comme pour le petit-déjeuner, il est préférable de ne pas faire autre chose en mangeant. Être entièrement concentré sur son repas permet de mieux l’assimiler. Les saveurs sont mieux dégustées et l’on est plus à l’écoute de son corps pour les quantités. Tu connaîtras une sensation de satiété qui est souvent plus éphémère lorsque l’esprit est tourné ailleurs, car le cerveau n’a pas conscience de tout ce qui a été ingéré. Évidemment, le meilleur repas se veut équilibré ! Voici un schéma de la composition d’un repas idéal :

Attention, les apéros-visio d’infocomiens restent autorisés, un esprit sain dans un corps sain… et hydraté bien sûr !

 

15 h : Se détendre

« Trop de projets à rendre, je sur stress ! » Alors quand s’offrir une pause détente ? Le faire après les cours peut paraître séduisant, mais c’est là où le cerveau est au maximum de son attention, comme le montre le graphique. Ce moment est donc opportun pour travailler, tout comme vers 10h le matin. En revanche, la vigilance commence à décliner durant la pause de midi avec un pic descendant à 15h et juste après le repas du soir. Ces tranches horaires peuvent se révéler parfaite pour arrêter de se battre avec ses cours et prendre un temps pour soi.

Pour se détendre, plusieurs solutions existent : le yoga, cité précédemment, la méditation, le sport… Ce dernier est en tout point bon pour le moral. Il améliore l’oxygénation cérébrale et booste donc ton cerveau, de plus, la production d’endorphines augmente la sensation de plaisir et fait diminuer les hormones du stress. Tout bénéf’ donc. Les exercice de respiration, facilement trouvables sur internet, représentent aussi une bonne solution pour retrouver le calme et apaiser ses angoisses. Enfin, le coloriage peut être un bon moyen d’échapper aux écrans, aux mots et de se vider la tête de manière colorée.

 

23h : L’heure du coucher

Avant de dormir, il est nécessaire de couper les ponts avec les cours. Le travail à distance efface les barrières, alors à toi de t’en mettre de nouvelles pour te préserver. Avant de dormir, le mieux est d’éviter les écrans et de préférer lire par exemple. Mais si un film ou une série te tente, alors fait en sorte que ce ne soit pas trop stimulant afin de ne pas perturber ton sommeil.

Si tu n’as pas envie de lire, ni de t’abîmer les yeux sur un écran, tu peux aussi opter pour de la musique relaxante ou des podcasts audios qui sont en expansion sur les plateformes de musique. Pour finir, tu peux chaque soir noter les choses que tu as appréciées dans ta journée. Voir ce qu’il y aurait à améliorer éventuellement, mais surtout dresser un bilan positif. De cette façon, tu te rendras compte que chaque journée, par les petits moments de bonheur qu’elle comporte, en vaut la peine.

 

Notre infocomien aura un emploi du temps chargé s’il décide de mettre en place tous ces conseils. Néanmoins, si quelques-uns peuvent véritablement changer le cours de sa journée et apporter ne serait-ce qu’une once de bien-être supplémentaire, alors il faut les saisir. Pour être épanoui, un étudiant doit d’abord se sentir bien dans son quotidien !

 

 

Publié par Julie Fourain dans Com' un top, La parole aux étudiants, Tous les articles
LinkedIn : apprendre à rester in link

LinkedIn : apprendre à rester in link

LinkedIn est le premier réseau social professionnel, avec un peu moins de 20 millions d’utilisateurs en France. Ne soyez pas effrayés par le mot « professionnel ». En effet, dès lors que vous désirez avoir un contact avec le monde du travail, ce réseau est un must-have. Alors, à quoi sert-il, et comment l’utiliser efficacement ?

LinkedIn permet d’enrichir ses connaissances tout en suivant l’actualité marketing et publicitaire. Mais c’est surtout un incroyable outil pour développer son réseau professionnel. Plus celui-ci est étendu, plus il est facile d’aller puiser dans ses ressources afin de trouver un stage par exemple. De plus, les jeunes étudiants ont la possibilité de s’appuyer sur le réseau des anciens, et de leur demander de précieux conseils. LinkedIn sert également à étendre son e-réputation, et à construire son personal branding.

 

Étendre son réseau pro

Avec qui entrer en relation ? Tournez-vous tout d’abord vers des personnes proches de vous, vos amis, votre famille. Pensez également aux étudiants de votre promo ou des années précédentes, aux profs ou anciens profs, et aux collègues rencontrés au cours de jobs étudiants ou de stages.

Il est aussi possible de se connecter avec des 2ème contacts (un contact en commun avec vous) et des 3ème (aucun contact commun). Il peut s’agir de personnel travaillant dans une entreprise que vous suivez. Dans ce cas, il est important d’écrire un petit mot indiquant vos attentions à celui avec qui vous voulez entrer en relation. Il reste tout de même judicieux de rechercher quels sont les personnes qui partagent un contact commun avec vous. Cela représente un bon moyen de lancer la discussion.

 

Un outil pour développer son personal branding

Créer son profil sur LinkedIn, c’est avant tout mettre en œuvre son personal branding. Qu’est-ce que cela signifie ? Le personal branding vise à promouvoir un maximum sa personne, à l’élever au rang de marque. Tout cela en utilisant un ensemble de moyens techniques et communicationnels pour mettre en avant sa personnalité, ses compétences, son secteur de prédilection… Ce processus est très utile sur le marché professionnel. En effet, vous avez tous les bénéfices à travailler votre image et à vous mettre le plus possible en avant.

 

Comment bien compléter son profil ?

Bien choisir ses photos

Plusieurs points sont indispensables afin d’avoir un profil complet. Tout d’abord, vos photo, de profils et d’arrière-plan, doivent être bien choisies. Il est conseillé d’avoir une photo de profil plutôt neutre, avec un fond sobre. Mais un sourire, une mise en scène professionnelle sont les bienvenus. Si vous le souhaitez, il est aussi possible de faire ressortir une passion, qui peut-être un plus suivant le domaine professionnel que vous visez (attention tout de même à laisser le visage bien visible). Ci-dessous, des exemples avec le dessin ou encore la photographie.

  
(Profil LinkedIn de Fanny Maréchal)                            (Profil LinkedIn de Claire Rouchon)

 

La photo de couverture doit également vous représenter. Montrer votre formation, votre domaine préféré, une œuvre que vous affectionnez si vous êtes amateurs d’art… Tout en gardant toujours à l’esprit vos objectifs professionnels.

 


(Profil LinkedIn de Lilou Cognet)

 

Développer l’information

Pour ce qui est du contenu, il faut bien entendu saisir son poste actuel qui s’affichera juste sous la photo de profil. N’oubliez pas que la formation DUT infocom (bientôt BUT) n’est pas connue de tous. Il faut donc expliquer les compétences que vous acquériez au cours de celle-ci, votre parcours passé et vos envies pro dans les Infos. Cela permettra à un éventuel recruteur de cerner tout de suite vos capacités et vos souhaits d’avenir. De même du côté des formations et expériences pro. Le nom d’une entreprise ne suffit pas, il est plus pertinent d’expliciter les tâches effectuées. Enfin, pensez à indiquer au moins trois compétences, et le niveau de langue.

Faire ressortir sa personnalité

Afin que votre profil soit plus qu’une liste de formations, il est important de montrer la personne que vous êtes, vos passions, vos aspirations pros. Pour se faire, il est intéressant d’agrémenter la rubrique Centres d’intérêt en suivant les pages qui vous intéressent (entreprises, marques…). Pensez également à mentionner vos expériences personnelles, dans la rubrique bénévolat par exemple. De plus, caractériser ce qui vous anime, le secteur que vous rêvez d’intégrer, voir le poste visé dans Infos montrera votre motivation.

 

Comment faire vivre son LinkedIn ?

Une fois son profil créé, le compte ne doit pas être laissé à l’abandon. Réagir à des publications, laisser des commentaires, partager des contenus qui ont suscité votre attention, des actualités de son école, des événements auxquels on a pris part… Toutes ces actions vous apporterons une certaine visibilité et témoigneront de votre dynamisme et de votre investissement. De plus, il faut bien sur penser à mettre à jour son profil dès qu’une nouvelle formation, expérience, ou encore compétence s’ajoute.

Évidemment, il est encore plus valorisant de produire son propre contenu. Travaux graphiques, book photos, parodies de pub, sont autant d’idées qui peuvent mettre en lumière votre talent. Et si vous avez travaillé pour quelqu’un, demandez à vous faire recommander. Plus les recommandations à votre égard seront nombreuses, plus votre nom remontera dans le moteur de recherches.

 

Prenons l’exemple de Jules Grosjean, passionné de graphisme. Il a l’excellent réflexe de poster chacune de ses créations sur LinkedIn, et a déjà reçu de nombreuses recommandations.

 

 

 

         

 

Ces productions personnelles peuvent même parfois être relayées par d’autres pages bien plus importantes ! C’est par exemple le cas de Tristan Bonnamy. L’ancien Infocomien a réalisé il y a peu une campagne d’affichage fictive pour la marque de vêtements responsables Patagonia. Il ne s’attendait pas à ce que le célèbre compte J’ai un pote dans la com (présent sur Instagram, Facebook et LinkedIn avec une moyenne de 149,5K abonnés par page) partage son projet. Une belle surprise, qui lui a valu un total de presque 1­6 000 vues.

 

     

 

Vous êtes plutôt manuel ? Pas de soucis !

 

 

 

 

Prenons l’exemple de Léna Clerc, qui a pris le parti de fournir un CV très original à l’agence de communication Pamplemousse (3K abonnés). La jeune fille s’est aperçue avec plaisir que celle-ci avait posté des photos de sa réalisation sur LinkedIn. Encore une superbe occasion de se faire connaître.

 

 

 

En somme…

Afin de pouvoir retirer tous les bénéfices de LinkedIn, il faut donc bien compléter son profil, le mettre à jour régulièrement et être actif au niveau des publications. Il est aussi important de saisir toutes les opportunités pour élargir son réseau, et entretenir le lien avec celui-ci (comme le disait si bien Jean-Baptiste dans notre Love Story Infocom). Tu souhaites découvrir des astuces encore plus précises ?
C’est ici !

 

LinkedIn n’a maintenant plus de secrets pour toi, alors il ne te reste plus qu’à appliquer ! Qui sait, peut-être que le chargé de com de Burger King passera par là et restera époustouflé devant ton compte… Il ne tient qu’à toi de forcer le destin 😉

 

 

Publié par Julie Fourain dans Au coeur d'ICB, Com' un top, Tous les articles
4 étudiants d’Infocom à suivre sur les réseaux sociaux

4 étudiants d’Infocom à suivre sur les réseaux sociaux

Vous êtes à la recherche de comptes inspirant sur les réseaux sociaux ? Voici 4 étudiants d’Infocom qui seront ravis de sublimer votre fil d’actualité.

On le sait tous, ICB n’est pas n’importe quel IUT. Il voit évoluer à travers ses murs, de nombreux étudiants ambitieux et talentueux. Certains ont accepté de partager leurs profils et leurs inspirations 2.0.

Prenez de quoi noter leurs noms quelque part. S’ils deviennent célèbres, vous serez bien contents de les avoir en relation sur Linkedin quand vous serez en recherche de stage !

#1 Dimitri Boillot

Elle capture et immortalise nos meilleurs souvenirs. Se trouvant au cœur de notre formation de communication, la photographie est née en 1839 (merci M. Parisot.)

Aujourd’hui, c’est Dimitri Boillot, un étudiant originaire de Montbéliard en 1P2, qui nous partage ses plus beaux clichés. Sa passion, Dimitri la doit à son père et aux nombreuses destinations qui ont émerveillé ses yeux, ainsi que son objectif.

« Mon père adore voyager et cela m’a permis d’avoir l’occasion de me rendre dans plusieurs pays. Pour capturer ces souvenirs j’ai dû les prendre en photos ! »

Au-delà des voyages, Dimitri puise son inspiration dans son quotidien et dans ses centres d’intérêts. En passant par le rap, la mode et plus particulièrement les sneakers.

« J’ai commencé les photos y’a maintenant 1 an et demi, en travaillant pour 2 marques de vêtements dont EastWood. J’ai aussi collaboré avec des rappeurs tels que Neziak et Atek et des influenceurs comme Alexis Bars et Isïa Arcangeletti ! Mon objectif sur le long terme est de continuer de travailler dans le secteur du rap tout en travaillant pour des artistes de plus en plus connus. »

Epurées, mais contrastées, vous pouvez retrouver une partie de ses photographies dans son book, qu’il compte alimenter à la suite du confinement. C’est juste ici !

#2 Régis

Il y en a pour tous les goûts et elle nous berce depuis petit.  C’est celle qui nous accompagne lors de nos pires karaokés d’Aya sous la douche et qui rythme nos meilleurs jeudis soirs…1 minute de silence pour cette période qui nous manque tant. Quoi de mieux que la musique pour accompagner ces états-d ’âmes ?

Zoom sur un étudiant de la meilleure classe de l’option pub (sans modestie) : Régis Levrot, de 2P3.

Curieux et passionné, Régis a grandi près de Grenoble. Il ne produit pas seulement de la musique. Il crée aussi ses propres visuels graphiques afin d’assurer sa communication en imaginant des flyers, des affiches et les pochettes de ses albums. Régis s’intéresse également au Motion design…On ne l’arrête plus !

« Ma passion principale reste la musique. J’adore passer du temps à produire de la MAO (musique assistée par ordinateur), autant que participer à des événements musicaux. »

Cette passion lui vient de son frère qui l’a initié au Break Dance. C’est à ce moment-là que Régis à souhaiter créer la musique sur laquelle il dansait.

« Au fil du temps, mes goûts se sont affinés et j’ai commencé à me rapprocher du style électro. Je me suis rendu compte que ce que j’aimais davantage produire que danser.»

Son stage et les cours qu’il a pris dans le domaine de création musicale l’ont poussé à participer à des concours organisés notamment par Soonvibes où Régis a décroché la 2nd place. Il a eu l’opportunité de sortir sur les plateformes de téléchargement, le son Rocket Launch.

En 2017, Régis a également gagné le concours « Party Up » et a pu mixer à Paris dans une soirée privée aux côtés d’artistes tel qu’Adrien TomA de Fun Radio.

« C’est un autre moyen pour moi de communiquer plutôt qu’avec des mots ou des gestes. »

Il a sorti en Octobre 2020, son 1er EP sous un label international, intitulé Further.

Musiques futuristes, créatives, Futur House, Big room, Trap… Régis exploite différents styles ! Si le contexte actuel ne lui permet pas de participer à des événements, cela ne lui empêche pas de continuer à composer, pour le plus grand plaisir de notre playlist Spotify ou Deezer.

#3 Eva

Pour le prochain domaine, tout est une question de style. Tout est une question de couleurs, de texture, d’inspirations, de rencontres et de coup de main. Et ce coup de main, Eva le possède définitivement bien. Voici son portrait.

Eva est étudiante en 2P1 à ICB. Alsacienne d’origine, elle passe la plupart de sa tendre enfance un crayon à la main à dessiner ce qui l’entoure.

« J’ai toujours beaucoup dessiné depuis petite, mais vraiment énormément. Quand on m’achetait des poupées, je tirais la tronche mais des crayons, j’adorais ça. »

C’est une jolie rencontre qui fit rentrer la peinture dans sa vie. Depuis, elle ressent toujours un bien-être et une satisfaction indescriptible lorsqu’elle crée.

« J’ai rencontré une copine au début lycée, et elle a senti que ça pouvait m’intéresser alors elle m’a fait peindre, et c’est un truc de fou comme j’ai aimé et depuis…je n’ai jamais arrêté ! »

Même si Eva ne s’arrête pas un style particulier, l’abstrait est ce qui ressort le plus de ses toiles. Elle peint pour elle, mais aussi pour les autres. C’est pour elle un moyen de communiquer et d’extérioriser au-delà des mots. Tout ça se passe sur son compte professionnel Instagram où elle partage son travail et où de futurs projets et expositions vont bientôt naître.

#4 Gaëtan

Enfin…Qui d’entre nous fait partie de l’élite qui sait seulement gribouiller des chats ou des yeux au coin de notre cours de Philo ? Gaëtan, c’est celui que tu veux absolument dans ton équipe au Pictionary et dans ton carnet d’adresse, donc ouvre grand les yeux.

Ses inspirations, notre jeune étudiant de Num les puise dans ses centres intérêts : Les sneakers, les sortis entre amis, la mode, le sport… Tout ça, il le retranscrit depuis qu’il est enfant sur une feuille de papier.

« Cette passion me vient depuis mon enfance. J’aimais beaucoup dessiner, mais j’ai repris depuis 1 an ou 2 ans j’ai acheté un IPAD Pro qui me permet de dessiner ce que je veux où je veux. Je fais ce genre de dessin, car je voudrais en faire mon métier. Pour le moment, je dessine pour moi et pour des associations si besoin. Pour mes cours, des projets, mes amis aussi. »

Comme beaucoup d’étudiants d’Infocom, Gaëtan est plein de rêves, d’ambitions et de projets.

« Mon rêve, c’est de dessiner une paire de chaussure pour une marque et qu’elle la commercialise.

Gaëtan s’est notamment inscris dans plusieurs concours organisés par des marques de baskets tels que Courir, afin de décrocher une collaboration. Ses meilleurs amis le suivent dans ce projet, puisqu’ils aimeraient ensemble pouvoir créer une maque de vêtement.

Pour retrouver du style de la pointe du crayon aux bouts des pieds, ça se passe sur son compte Instagram.

Encore merci à Dimitri, Régis, Éva et Gaëtan pour le partage de leurs passions et leurs parcours ingénieux sur les plateformes 2.0. Nous espérons que cela en inspira plus d’un à diffuser leurs créations sur la toile !

Pour ma part, je retourne dessiner ou peindre des chats, sous un son d’Aya pour réviser le cours de M. Parisot, sur l’Histoire de la photographie.

Publié par Fiona Guatieri dans La parole aux étudiants, Tous les articles
Micro-couloir #3

Micro-couloir #3

Le micro-couloir revient pour la troisième fois à ICB ! Cette année, premières et deuxièmes années nous confient leurs meilleurs souvenirs de cette rentrée 2020, ainsi que leurs conseils pour bien débuter l’année scolaire.
Nous remercions tous les participants, et on se retrouve bientôt pour un prochain épisode !

Publié par Julie Fourain dans La parole aux étudiants, Tous les articles
Conseils pour bien débuter l’année

Conseils pour bien débuter l’année

C’est une rentrée un peu particulière, c’est vrai. Mais elle n’entachera pas la bonne humeur de nos nouveaux infocomiens ! Alors voici quelques précieux conseils, afin de commencer l’année dans les meilleures conditions.

 

Où manger à l’IUT ?

Vous connaissez déjà la recette d’une vie étudiante bisontine, et on va continuer de régaler vos papilles. Pour prendre sa pause déj’ sur le campus, plusieurs solutions. Tout d’abord, la cafét’, située au deuxième étage du bâtiment Infocom. On y trouve des tables, des chaises, des fauteuils, une machine à café et une autre à friandises. En deux mots : tout ce qu’il faut pour se mettre à l’aise. Néanmoins, en raison des mesures sanitaires, les micro-ondes sont indisponibles pour le moment. Il faudra donc manger froid, une bonne occasion de se mettre aux salades ! Et pour ceux qui n’envisageraient pas de passer l’hiver sans déguster une bonne tartiflette bien chaude à midi, il existe des thermos alimentaires pour garder votre nourriture à température.

Autre possibilité, le restaurant universitaire (RU), qui se trouve à 7 minutes à pied de l’IUT. On y mange des repas variés, et pour pas cher : 3,30 € en moyenne. Et n’oublions pas la grande nouveauté de cette année, les repas sont à présent facturés 1,00 € pour les élèves boursiers. Alors, pourquoi s’en priver ? De plus, pour régler avec plus de facilité, il suffit d’utiliser son compte Izly. Cette application mobile permet de transférer de l’argent sur sa carte étudiante, et ainsi de payer avec celle-ci. Elle vous permettra de gagner du temps, et de mieux gérer vos dépenses.

 

 

Comment s’y rendre ?

Ce sont les lignes de bus 7, et L3 qui conduisent directement à l’IUT. Mais prenez garde, cette dernière est souvent bondée, surtout en début d’année, ce qui entraîne parfois des retards. Il faut donc veiller à s’y prendre à l’avance le matin, surtout si vous avez amphi de droit. Pour rappel, les arrêts les plus proches de l’IUT s’intitulent « IUT », « Crous université » (juste en face du RU), ou encore « U-sports », si l’on veut rejoindre le bâtiment par derrière. Pour ce qui est des retours chez papa maman le vendredi soir, le campus regorge habituellement de Blablacar. Sinon, il suffit d’emprunter la L3 et de descendre à l’arrêt « Gare Viotte » pour se retrouver directement à la gare. Mais dans ce dernier cas, il faut avoir le courage de trimballer sa valise dans les couloirs toute la journée. Après la salade, voilà du travail pour les biscottos.

 

Et pour les cours ?

Même si écrire à la main permet une meilleure mémorisation, chacun est bien sûr libre de s’organiser comme il l’entend. On peut tout de même noter qu’il est tout à fait possible de s’en sortir sans taper aucun cours sous format numérique, pour ceux que cela dérangerait. Pour résumer, que les cours soient pris sur papier ou par ordinateur importe peu, tant qu’il s’agit d’une méthode de travail qui vous correspond. Attention tout de même, certains professeurs préfèrent parfois une prise de notes manuscrite. Enfin, si vous ne possédez pas d’ordinateur mais en avez besoin pour réaliser un travail, pas de panique ! Vous trouverez tout ce dont vous avez besoin en salle mac, au deuxième étage du bâtiment Infocom : PC et imprimante (attention à ne pas dépasser votre crédit impression : 100 feuilles par an). Néanmoins, l’acquisition d’un ordinateur portable vous sera tout de même d’une grande utilité pour la plupart des devoirs.

 

 

Où travailler ?

L’IUT a la chance d’être pourvu d’une bibliothèque (BU) dotée de nombreux ouvrages dans le bâtiment central (BC). On y trouve des salles pour les travaux de groupe, mais surtout une ambiance calme et studieuse, propice à la concentration. Une seconde option s’offre également à vous, la salle de coworking. Dernier espace de la visite lors de la JPO, elle représente un lieu idéal pour travailler seul ou à plusieurs. L’endroit est cependant plus agité que la BU. Enfin, à cela s’ajoute la salle mac, citée précédemment.

Astuce pour les travaux sur ordinateur : toujours avoir une clé USB sur soi. Cela évitera de pleurer son exposé perdu la veille de la présentation. (Attention à ne pas oublier sa clé en salle mac).

 

 

Infocom, oui mais en pleine forme !

Le campus propose une multitude de sports qui ne demandant qu’à être expérimentés ! C’est simple, il suffit de s’inscrire d’une semaine sur l’autre, et de profiter pleinement de ces nouvelles activités. De plus, celles-ci peuvent contribuer à une bonification de ta moyenne semestrielle ! De 0,15 à 0,25 points gagnés. Il n’y a plus qu’à foncer faire du bien à son corps, et à son bulletin !

(Et, si jamais un petit creux vous gagne en sortant de votre séance, le RU accueille aussi des étudiants pour le dîner).

 

Un bal masqué… à l’IUT

Ne vous méprenez pas, on a tous envie de voir vos sourires. Mais pour lors, n’oubliez pas votre masque, quitte à en glisser quelques-un d’avance dans votre sac. Et comme disait Zouk Machine, Nettoyer… Balayer… La cafét’ restera bien lavée…

 

La ville

Que serait ICB sans le célèbre bar La Fontaine ? C’est toujours un jeudi soir, verre à la main, que l’on retrouve le plus d’Infocomiens. Le meilleur conseil que l’on puisse donner, c’est de profiter pleinement de votre vie étudiante ! Sortir, prendre part à ces petits événements, permet de consolider ces liens d’amitié qui tissent la toile d’Infocom. (Pour savoir comment paraître frais le vendredi matin à 8h, demandez conseil à vos très expérimentés parrains et marraines).

Besançon, c’est ses bars, mais également ses musées. Le musée des Beaux-arts et d’Archéologie, le musée du temps, ou encore la Citadelle… Un bon étudiant en communication se cultive, et est curieux de tout ce qui l’entoure. Se rendre dans ces lieux instructifs, ou encore lire des journaux tels que Le Monde ou Le Figaro profiteront toujours à votre culture et à votre connaissance de l’actualité.
Petit Tips : la e-carte Avantages Jeunes, au prix de 8,00 €, permet de bénéficier de réductions variées pour ce qui est des loisirs et de l’éducation, et d’accéder gratuitement à de nombreux musées.

Enfin, si cela est possible, pensez à continuer, commencer ou entretenir vos passions extrascolaires. Celles-ci seront toujours un plus sur votre CV, vos lettres de motivation, et tout simplement pour votre épanouissement personnel. N’ayez jamais peur de montrer qui vous êtes, après tout vous avez été recruté pour votre personnalité.

 

 

Les stages

Même si cela paraît encore loin, on sait par expérience qu’il est parfois difficile de trouver un stage. Le mieux est de s’y intéresser le plus tôt possible, afin de ne pas être pris au dépourvu, et de trouver un lieu de découverte qui correspond vraiment à ses aspirations.

 

The Best Tip

Évidemment, restez connectés sur la page Instagram d’ICB pour être au courant de tout ce qu’il se passera à l’IUT tout au long de l’année. Ce sont plusieurs mois uniques qui se profilent. Alors encore bienvenue dans la famille Infocom !

 

Publié par Julie Fourain dans Au coeur d'ICB, La parole aux étudiants, Tous les articles
Recette : vivre sa meilleure vie étudiante à Besançon

Recette : vivre sa meilleure vie étudiante à Besançon

Ça y est ! Tu as enfin quitté les bancs du lycée ou de ta fac et tu te prépares à entamer une nouvelle vie à l’IUT de Besançon au sein du département Infocom. Bravo à toi et bienvenue !

Dans quelques mois, les mots : « partiels », « travaux de groupe », « gare d’eau », « jeudi soir » et « pâtes au beurre » n’auront plus de secrets pour toi. Tu t’apprêtes à connaître les joies de la vie étudiante dans la charmante ville de Besançon.

Dans cet article, tu trouveras la recette incontournable, saupoudrée de différents conseils, astuces et informations qui t’aideront à commencer ta nouvelle vie étudiante bisontine en tout sérénité !

 

L’ingrédient principal : le logement

Pour beaucoup, et notamment pour ceux qui viennent de loin, la vie étudiante commence par la recherche d’un appartement. Seul ou en colocation, voici une liste de sites qui répertorient les annonces de logements ou de particuliers qui recherchent des locataires.

Le bon coin est une véritable caverne d’Ali Baba et le 1er site de petites annonces en France. Il est régulièrement alimenté  par les agences immobilières ou par les propriétaires qui proposent différents types de logements.

Ce site te proposera une sélection d’annonces immobilières en fonction de tes critères, afin de trouver la perle rare.

« Étudiants de Besançon » est un groupe privé sur Facebook qui regroupe les étudiants bisontins pour échanger sur des bons plans, des offres ou des logements. Fait une demande d’accès au groupe, active les notifications et soit alerté(e) dès qu’une annonce est postée, afin de peut-être, trouver ton petit cocon. Tu peux également publier directement sur la page si tu as besoin d’aide ou de renseignement, les étudiants auront plaisir à te répondre.

Pour ceux qui cherchent de la compagnie, La carte des colocs est une plateforme gratuite conçue pour que tu trouves ta colocation parfaite. Tu pourras rechercher une annonce ou en proposer une, suivant tes critères de vie. Facile d’utilisation, les annonces sont fournies de photos, d’informations à connaître sur l’appartement et sur les colocataires déjà présents.

Le Centre régional des œuvres universitaires de Bourgogne Franche-Comté propose chaque année des logements étudiants dans ses villes étudiantes. Il existe plusieurs résidences sur les deux principaux campus de Besançon : le centre-ville et la Bouloie, où se trouve l’IUT Infocom. Afin d’intégrer un logement du Crous, il te faut constituer un dossier Social Étudiant sur ww.etudiant.gouv. Les étudiants venant de loin et/ou issus de famille avec peu de ressources sont prioritaires. L’attribution du logement s’effectue en fonction du dossier et du nombre de places disponibles pour l’année universitaire à suivre. Attention, il faut s’y prendre à l’avance !

 

Mettre du beurre dans les épinards : les aides financières

Très souvent, être étudiant peut rimer avec difficultés financières. C’est pourquoi, il est important de prendre connaissance des aides auxquelles tu peux être éligible. Tâche très souvent pénible, tu as sûrement dû voir apparaître sur tes vidéos YouTube préférées, une pub pour Fibii. Fibii est un simulateur gratuit qui calcule les aides étudiantes que tu peux recevoir. Pour cela, il te suffit de rentrer une adresse mail et un mot de passe afin de remplir plusieurs informations sur ta situation familiale et financière. Le simulateur te permettra de visualiser le montant de ces aides en question : bourses, APL, permis de voiture, ouverture de compte bancaire, etc.

 

La sauce incontournable : les sorties

Besançon est certes, connue pour sa citadelle, sa délicieuse cancoillotte et ses paysages verts, mais aussi pour sa population dynamique. Besançon est une ville rythmée par la vie étudiante et le campus universitaire te propose de nombreuses possibilités pour sortir et faire de nouvelles rencontres, tout au long de l’année. Au mois de septembre, la journée de l’étudiant te donnera accès à plusieurs activités. N’oublions pas non plus les soirées étudiantes du jeudi soir organisées par ta Korpo (Bureau des étudiants d’ICB) préférée ou par l’Intercorpo qui regroupe les étudiants des différents IUT de Besançon Vesoul.

 

Une dose de sérieux pour une recette pleine de succès :  l’organisation

Les grands sages ne te le diront jamais assez, l’ingrédient absolu d’une vie étudiante épanouie, c’est l’organisation. Se trouver une organisation dès le début de l’année te permettra de ne pas couler sous les travaux à rendre et de garder du temps pour toi, tes sorties et tes proches, sans stress. Finir son exposé de sociologie la veille pour le lendemain, à 2 h du matin, devant un thread horreur de Squeezie, n’est donc pas conseillé.

 

Une petite touche locale pour une parfaite émulsion : les expressions franc-comtoises glamours et inéluctables

Ça, c’est cadeau. Pour les non-franc-comtois, vous trouverez ci-dessous une liste qui répertorie les expressions locales. Tu pourras les utiliser pour te faire passer pour un vrai franc-comtois lors de ces 2 années à Besac.

  •  Tu as meilleur de temps de bien suivre cette recette.

Traduction : tu ferais mieux de bien suivre cette recette.

  • Je vais devoir aller à l’IUT à pied, mais il pleut ! Je vais être gaugée !

Traduction : je vais devoir aller à l’IUT à pied mais il pleut ! Je vais être trempée !

  • J’en connais un qui a fini fin rond jeudi soir.

Traduction : j’en connais un qui a fini bourré jeudi soir.

  • Le bus Ginko a failli beugner le trottoir.

Traduction : le bus de ginko a failli taper le trottoir

  • Vin Dieu ! J’ai réussi mon partiel d’économie !

Traduction : désolée, mais seule l’élite réussit un partiel d’économie.

Tu as minutieusement suivi la recette pour vivre ta meilleure vie d’étudiant(e) bisontin(e) ? Il te suffit de mélanger le tout, faire poser au minimum deux belles années à température irrégulière et déguster, mais surtout profiter !

Publié par Fiona Guatieri dans Au coeur d'ICB, Tous les articles
Jouer, améliorer ses grapho-capacités

Jouer, améliorer ses grapho-capacités

Élément important d’une communication agréable, le graphisme demande d’être créatif, et de maîtriser les logiciels de PAO. Tu n’es pas encore un pro ? Pas de panique, les vacances approchent à grands pas, et avec elles, le temps de se détendre, de décompresser, ou encore de jouer… Tout en améliorant ses compétences ! Même si bronzette et apéros restent de rigueur, voici quatre jeux gratuits qui te permettront de te perfectionner en graphisme.

Method of Action est derrière la création de tous ces jeux. Rapides et facilement compréhensibles, quelques minutes suffisent pour réaliser les exercices proposés.


Comment améliorer sa maîtrise de l’outil plume ?

L’outil plume est utilisé pour créer des formes vectorielles. Celles-ci sont constituées de segments et de courbes, basés sur des formules mathématiques. Elles permettent à l’image de ne pas perdre en qualité lorsqu’on les agrandit ou les rapetisse. Ce format est notamment utilisé sur Illustrator, lors de la création de logos. L’outil plume peut également servir à détourer des images, particulièrement dans Photoshop. C’est, parmi les outils de sélections (baguette magique, sélection rapide, lasso polygonale…), celui qui permet de réaliser ces actions avec le plus de précision. Il est vrai que la plume est parfois difficile à maîtriser au début. Pourtant, en s’exerçant, cet outil très pratique n’aura bientôt plus de secrets pour toi.

The Bézier Game et Shape type se révèlent parfaits pour travailler ce savoir-faire technique.


The Bézier Game

Après avoir suivi un tutoriel explicatif, des formes, dont la difficulté s’accentue au fil du jeu, sont à reproduire. Le nombre de points d’ancrage est limité, ce qui t’encouragera à être plus précis et plus efficace. The Bézier Game comporte les mêmes raccourcis clavier que des logiciels de PAO tels qu’Illustrator. De cette façon, tu ne seras pas désorienté en t’essayant à la création via d’autres outils.

Shape type

Shape type consiste à retravailler les points d’ancrage situés sur des lettres, afin d’obtenir de belles courbes. À la fin de chaque exercice, un pourcentage apparaît, indiquant ton taux de réussite. Ce jeu te permettra d’affûter ton regard et de t’améliorer à chaque fois, jusqu’à, qui sait, atteindre un score parfait ?


Mieux gérer l’interlettrage.

L’interlettrage est un élément du graphisme que l’on oublie parfois, mais qui reste essentiel afin d’obtenir une bonne lisibilité. Gérer l’interlettrage permet d’équilibrer le mot en harmonisant les caractères et les blancs.

Il faut savoir jouer sur cette spécificité. Un titre qui sera destiné à être vu de loin devra comporter un interlettrage plus important par exemple, car l’œil a tendance à rapprocher les lettres avec la distance. Il est aussi possible de donner un certain style à tes textes. Les caractères anciens entre autres, nécessitent d’être plus resserrés, car c’était de cette façon qu’on les disposait à l’époque, pour gagner de la place sur les manuscrits.

KERNTYPE

KERNTYPE te propose une série de mots, comportant une ou plusieurs lettres mal placées. Il suffit de les faire glisser à gauche ou à droite, à l’aide des flèches du clavier ou de la souris, afin d’obtenir un mot à l’interlettrage agréable. Comme pour le jeu précédent, un score sur cent indique le bon placement de la lettre.


Jouer avec les couleurs !

Color

Le but de ce dernier jeu est de retrouver la bonne couleur parmi celles que compte le cercle chromatique, en un temps limité. Plusieurs niveaux s’enchaînent, à travers lesquels s’offre à toi l’occasion de t’entraîner à repérer différentes teintes, mais aussi les saturations, les couleurs complémentaires… Être à l’aise avec ces composantes te fera gagner du temps lors de tes choix en matière de coloration.

À toi de mettre en pratique maintenant !

Si d’aventure, l’envie te venait de mettre en œuvre tes compétences fraîchement acquises, voici quelques idées de créations graphiques, qui surfent sur la vague épidémique :
En effet, Jure Tovrljan, directeur de création Slovène, a pris le parti de redesigner plusieurs célèbres logos. De cette façon, voilà la statue de la liberté de Starbucks protégée par un masque, ou encore le célèbre slogan de Nike obligé d’être réinventé.

Crédit image : Jure Tovrljan

Publié par Julie Fourain dans Actualité 2.0, Tous les articles
1895 minutes pour faire vivre le cinéma

1895 minutes pour faire vivre le cinéma

À vos marques, prêt, filmez ! Pour la 2ème fois, le Festival 1895 minutes s’installe à la MDE de Besançon les 25 et 26 janvier 2020. Amateurs de cinéma, réalisateurs en herbe, ou cinéphiles aguerris, ce festival est pour vous ! Sortez vos plus beaux claps, vos meilleurs thermos de café et préparez-vous à passer une nuit blanche forte en émotion pour réaliser votre court-métrage en 31 heures et 35 minutes !

Et surtout, n’oubliez pas de venir assister à la diffusion des courts-métrages en compétition le dimanche 26 janvier au cinéma Mégarama des Beaux-Arts à 15h ! C’est accessible à tous et ça ne coute rien 😉

 

 

 

Comment ça se passe ?

 

Du samedi matin au dimanche fin de matinée, c’est une véritable course contre la montre qui attend les équipes participantes qui devront réaliser leur court-métrage en 31 heures et 35 minutes. Le sujet sera dévoilé en même temps que le début de la compétition, à 4h du matin.

Dès lors, vous serez libre de gérer votre temps ! Vous aurez les locaux de la MDE à votre disposition tout au long des 1895 minutes.

 

Un jury composé de 5 professionnels

 

Cette année, nos amateurs du 7ème art auront la chance de présenter leur petit bijou à un jury composé de 5 grands noms de la profession. Le premier juré a été annoncé lundi 20 janvier et il s’agit de Pascal Marin

 

Un projet né d’une passion commune

 

Le festival 1895 est né en 2018 grâce à la passion commune de 6 étudiants d’infocom pour le cinéma. La 1ère édition avait su conquérir le cœur des 48 amoureux du cinéma venus participer au défi. Sous le thème « Jeux Dangereux » tiré du film éponyme d’Ernest Lubitsch en 1942, les participants ont pu vivre 2 jours riches en émotions et en rebondissements !

En 2019, les créateurs du projet ont dû passer le flambeau à 8 autres étudiants passionnés par le 7ème art.

 

Voici le court-métrage de l’équipe gagnante de la 1ère édition !

ATAYOYA : La pièce.

🥇C'est l'équipe vainqueur de cette première édition du festival 1895 minutes : ATAYOYA ! Vous êtes nombreux à nous l'avoir demandé, alors voilà le court métrage qu'ils ont réalisé en seulement 31h35Un grand bravo à Loris Trullard, Lilian Emonin, Hugo Azmani, Lucie Levasseur, Thomas Lacroix ainsi que Corentin Nannini, les réalisateurs de : « La pièce ».

Publiée par Festival 1895 minutes sur Lundi 28 janvier 2019

L’année dernière, le jury avait même attribué une mention spéciale à l’équipe Panier de Crabe.

Mention spéciale du jury

Plus spécialement pour leur jeux d'acteur, le jury a décidé d'adresser une mention spéciale à l'équipe "Panier de Crabe".Bravo à toute l'équipe!

Publiée par Festival 1895 minutes sur Jeudi 31 janvier 2019

 

Vous pouvez retrouvez ici tous les courts-métrages de la 1ère édition ! : https://www.facebook.com/pg/festival1895minutes/videos/

 

Un clin d’œil au Cinéma (avec un grand C)

 

Et oui, le nom de ce festival n’est pas anodin. 1895, ça vous dit quelque chose ? Replongez dans vos souvenirs (plus ou moins lointains) des CM de Monsieur Parisot… C’est l’invention du cinéma par les Frères Lumières.

 

 

 

Un final digne des plus grands

 

Pour cette seconde édition, nos étudiants ont mis le paquet. Tels des vrais cinéastes, les films réalisés par les X équipes seront diffusés sur grand écran au cinéma Mégarama Beaux-Arts en plein centre-ville de Besançon, le dimanche 26 janvier à 15 heures. Ne ratez pas le rendez-vous !!

 

Et si on devait résumé le 1895 minutes en 1 phrase…

 

« Un énorme fou rire qui a duré 1895 minutes » – Nina Bentout-Pasquet

 

« Une aventure intense mais belle en émotion qui nous apprend beaucoup sur nous-mêmes et sur ce qu’on est capable d’accomplir en si peu de temps » – Agathe Girod

 

« Le KongStrong c’est fantastique, une table ça casse facilement et Agathe triche toujours au Loup-Garou » – Ambrosia Di Servi

 

 

Retrouvez plus d’informations sur la page Facebook du festival ! https://www.facebook.com/festival1895minutes/

 

 

 

 

Publié par Clarisse Aboulin dans Agenda du mois, Au coeur d'ICB, Tous les articles
Comment devenir l’étudiant parfait d’Info-Com ?

Comment devenir l’étudiant parfait d’Info-Com ?

Futurs bacheliers, vous rêvez d’intégrer Info-Com Besançon, mais vous avez peur de ne pas être à la hauteur ? Ne vous inquiétez pas, on a rencontré pour vous l’étudiant parfait. Ce jeune homme, souhaitant rester dans l’anonymat, est là, aujourd’hui, pour vous donner les meilleurs conseils avant d’intégrer notre chère école. C’est également temps pour les 1A et 2A de réviser vos classiques !

Bonjour jeune étudiant. Peux-tu commencer par décrire les étapes que tu as dû traverser avant d’arriver à ICB ?

Bonjour le blog de l’IUT, bonjour Clarisse et Antonin, bonjour les étudiants. Dans un premier temps, bien évidemment, je suis venu aux journées portes ouvertes. Elles ont lieu le 1er février cette année. C’est un excellent moyen de découvrir plus en profondeur les formations proposées, et même le ressenti des étudiants présents. En effet, vous aurez le droit de poser toutes les questions que vous souhaitez à vos futurs camarades. Pour moi, c’est bien la première étape indispensable avant de rejoindre l’IUT.

Dans un second temps, une fois bien motivé à rejoindre la formation, j’ai rédigé mon CV et ma lettre de motivation. Il est rare que vous soyez déjà habitué des logiciels de PAO pour créer un curriculum dit graphique. N’hésitez pas à faire appel à des sites comme Canva pour le réaliser. La lettre de motivation est assez personnelle, n’hésitez pas à parler de vos passions, bien entendu de vos motivations. Mais surtout, interdiction de retrouver une faute d’orthographe dans celle-ci. Relisez et demander à quelqu’un de votre entourage de vous aider.

Après avoir été sélectionné par parcoursup, j’ai eu le droit à un entretien, que vous aurez aussi soit dit en passant. Il comportait deux épreuves. Une écrite, et un oral. L’oral reste le plus important. La première image que vous donnerez de vous aux juristes. Vous serez par groupes de 3 ou 4. Ne vous imposez pas, laissez la parole à chacun et surtout soyez vous-même. N’hésitez pas à ramener vos créations, présenter vos passions et vos centres d’intérêts. En bref, soyez naturel.

Pour plus d’information, nous vous donnons rendez-vous juste ici !

Quels sont les qualités indispensables pour être l’étudiant parfait de l’IUT ?

Tout dépend de votre option. Mais bien entendu, il existe des qualités indispensables pour devenir un bon étudiant. L’organisation, la motivation, et le travail d’équipe, sont pour moi, des aptitudes indispensables.

  • L’organisation : essentiel en infocom, mais également dans la vie de tous les jours, vous aurez de nombreux dossiers à rendre. Et à ICB, l’heure c’est l’heure ! Si vous vous prenez au dernier moment, vous risquez de couler. Organisez-vous et vos années infocomiennes se passeront sans soucis.

  • La motivation : il est indispensable d’être motivé pour venir en infocom. D’une part, vous êtes nombreux à postuler et votre motivation peut réellement faire la différence. De plus, elle vous permettra d’affronter quelques difficultés que vous pourrez rencontrer pendant votre formation.
  • Le travail d’équipe : pendant votre formation, vous allez devoir travailler régulièrement à plusieurs. Cela peut être un frein pour certaines personnes, mais c’est essentiel d’apprivoiser cette méthode de travail dès maintenant afin d’être prêt pour le monde professionnel.

Bien entendu, pour des options comme la publicité, il est primordial d’être créatif : à chacun sa spécialité. Ensuite, il est bien entendu important d’être connecté, de suivre l’actualité et les tendances. De plus, la confiance en soi est un atout. Vous allez être amené à parler régulièrement devant des personnes, il ne faut pas être trop timide pour être infocomien !

Mais l’étudiant parfait d’ICB ne se détend jamais ?

Haha, bien-sûr que si ! Comme tout infocomien qui se respecte, le jeudi soir, c’est rendez-vous à La Fontaine ! Vous verrez qu’en arrivant à ICB, vous allez rencontrer plus que des amis. L’IUT est un petit endroit, tout le monde se connait plus ou moins, et l’intégration est primordiale. De plus, il existe un BDE (bureau des étudiants) appelé Korpo en Info-Com. Ils seront là pour vous organiser de petites soirées, concocter un joli WEI (week-end d’intégration) mais encore plein d’autres choses ! Mais pour ça, il faudra nous rejoindre !

On remercie encore cette étudiant anonyme pour son témoignage et nous espérons vous retrouvez très vite aux journées portes ouvertes le 1er février, et surtout à ICB l’année prochaine !

Publié par Antonin Falomir dans La parole aux étudiants, Tous les articles