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Manon Bossennec, un parcours à la plume aiguisée

Manon Bossennec, un parcours à la plume aiguisée

Bon nombre d’anciens étudiants d’ICB ont apporté la pierre à l’édifice en nous confiant leurs parcours sur le blog. Parmi ces expériences fascinantes, nous allons aujourd’hui à la rencontre de Manon Bossennec : « révélatrice de marques », co-autrice, auto-entrepreneure et bien plus encore.

Carte d’identité

Prénom : Manon Bossennec

Lieu géographique : Habite à Lyon, originaire de Beaune

Âge : 27 ans

Passions : Chant, séries policières, cinéma, concerts, l’écriture, la langue française

Parcours étudiant

  • DUT Infocom à Besançon option com des orgas / promo 2012-2014
  • Licence Sciences du langage Information Communication à l’Université de Besançon
  • Master en Stratégies de Communication Internationale à l’Université de Dijon

Parcours professionnel

  • Stage de fin d’études du DUT à Montréal de 6 mois aux Ballets jazz en tant que chargée de communication junior
  • 1 an en Autriche à Vienne en tant qu’assistante en français dans 2 lycées, à l’âge de 20 ans.
  • Un stage pratique par année d’études (agence de presse, agence marketing, start-up littérature jeunesse, mairie de Beaune)

« Toutes ces expériences, notamment à l’étranger, ont été très enrichissantes. Que ce soit à travers les rencontres culturelles et humaines et les voyages. C’est vraiment important d’ouvrir grand les yeux, de s’ouvrir à ce qui nous entoure et de s’en inspirer. »

« C’est également une grande qualité en tant que nouvelle génération, de faire preuve d’une grande curiosité, mais aussi d’apporter un regard frais sur les problématiques de communication que l’on peut rencontrer. Il est important d’être créatif, mais surtout audacieux. Ne pas s’arrêter à des recettes tout faites qui fonctionneront pour un client, mais pas un autre. »

·       Consultante en communication

Un service rendu à une amie, la collaboration de deux esprits créatifs. Manon ne savait pas encore qu’elle allait goûter à des missions qui aujourd’hui constituent son métier. Son amie architecte, Johanna Leserre, venait de créer sa propre marque à l’univers slow et comme elle appréciait la plume et la vision stratégique de Manon, c’est tout naturellement que les deux amies ont commencé à travailler ensemble, façonnant en premier lieu sa plateforme de marque. Le but étant de mettre en mots l’ambition, les valeurs, la vision, les missions et les champs de compétences de l’entreprise. C’est la colonne vertébrale de toute organisation. Cela découla très vite sur la création du nom de la marque, sa signature et le contenu éditorial notamment sur le site web. Ce qui a permis de créer l’univers unique et authentique de la marque.

« Dans mon métier, je me considère un peu comme révélatrice de marques. »

« J’ai adoré l’expérience et j’ai donc décidé de créer ma propre micro-entreprise en conseil en communication en 2019. J’étais autodidacte ; au lieu d’uniquement faire de l’opérationnel, j’avais la possibilité d’apporter des propositions plus stratégiques. Cela collait davantage à ma personnalité plus leader que suiveur, je pouvais pleinement être force de propositions. »

Sa vision stratégique et créative ainsi que sa manière de travailler les mots ont très vite permis à Manon de se créer une clientèle grâce au bouche-à-oreille et de faire ses propres armes auprès de ses clients. Dans son métier, elle tente de se poser les bonnes questions et d’apporter les bons mots, la bonne ligne éditoriale, pour un projet et/ou une marque, qui ne savent pas comment communiquer. Il est essentiel de penser à la qualité et l’unicité des contenus, encore plus aujourd’hui qu’il y a 5 ou 10 ans.

·       Projet Hellé Nice

On dit souvent que le hasard fait bien les choses. C’est l’effet de sérendipité. Un jour de juillet 2020. Manon était tombée sur une publication Facebook qui relayait une chronique sur Hellé Nice, une illustre aïeules, connue pour être championne de course automobile (sur Bugatti et Alfa Romeo) dans les années 30. Un commentaire attira son attention. Un certain Lionel Lucas entreprenait l’écriture d’un roman graphique à son sujet, demandait à être contacté par France Inter. Ni une, ni deux, Manon le contacte pour parler de son projet… et pourquoi pas lui proposer ses services de communication.

« J’ai toujours rêvé d’écrire un livre. »

Ils se rencontrent à Paris et le feeling est bon entre ces deux passionnés d’écriture. Lionel Lucas lui propose rapidement d’effectuer la relecture de son livre et enfin de pourquoi pour pas, co-écrire l’histoire. Un cadeau inattendu pour Manon.

L’aventure commence en septembre 2020, en se basant sur l’œuvre biographique de Miranda Seymour. Un travail de recherches et de rédaction de longue haleine. Née en 1900 à Nice, Hellé Nice eu une vie et un parcours rocambolesques, à l’image de la femme libre et pionnière qu’elle était. Féministe, avant-gardiste, championne de Grands Prix dans les années 30, acrobate… Elle ne s’est jamais mariée ! À 21 ans elle obtient le permis de conduire. Hellé Nice gravit le Mont Blanc à 25 ans et est adulée sur les scènes des cabarets parisiens. Des exploits illustrés par les archives retrouvées dans une ancienne valise lui appartenant et dont une ancienne connaissance d’Hellé Nice a fait don à Manon et Lionel.

Cette œuvre, c’est l’histoire d’une femme inspirante, au parcours époustouflant, tombée dans l’oubli et l’indifférence générale, comme la plupart des grandes femmes de notre Histoire. Le projet qui a même suscité l’intérêt de France 2, de France Inter et même Stéphane Bern sur Europe 1.

Comment vous organisez-vous pour la co-écriture de ce livre ?

« C’est forcément un exercice complexe, puisque nous avons tous deux nos propres styles d’écriture et parfois des visions différentes sur les choses. Généralement, j’écris un chapitre entier sous plusieurs versions que Lionel relit, réorganise et commente. Tout cela découle en aval sur une conversation entre éditeur et auteur, suivie d’une relecture par une correctrice qui donne son regard d’experte et externe sur la fluidité et la cohérence du chapitre. Enfin, les chapitres sont envoyés aux illustrateurs avec des intentions d’illustrations. Leur travail étant d’interpréter les écrits en images. »

Actuellement en plein travail sur le chapitre deux, 3 000 exemplaires numérotés sont prévus pour mai 2022. Ce mercredi 31 mars 2021, c’est aussi le lancement des préventes permettant aux curieux et aux amateurs de réserver leur livre.

Voici le lien en question si vous souhaitez vous procurer ce bijou aussi bien littéraire et historique, qu’artistique.

« Le podcast qui explore la communication, à travers ceux qui la font. »

N’hésitez pas non plus à aller écouter le podcast Derrière l’affiche, créé et animé par Manon et réalisé par son ancienne collègue d’ICB, Fanny Gaucher ! Ce podcast explore des métiers de la communication à travers des interviews avec des professionnels sans tabou. Storytelling, stratégie digitale, événementiel, direction artistique… Il y en a pour tous les goûts. Un axe intéressant à examiner pour nous, étudiants et futurs communicants.

Encore un énorme merci à Manon qui m’a accordé son temps pour échanger sur son parcours passionnant.

Toute la communauté d’ICB lui souhaite le meilleur dans l’accomplissement de ses projets !

Publié par Fiona Guatieri dans La parole aux anciens
Micro-couloir #3

Micro-couloir #3

Le micro-couloir revient pour la troisième fois à ICB ! Cette année, premières et deuxièmes années nous confient leurs meilleurs souvenirs de cette rentrée 2020, ainsi que leurs conseils pour bien débuter l’année scolaire.
Nous remercions tous les participants, et on se retrouve bientôt pour un prochain épisode !

Publié par Julie Fourain dans La parole aux étudiants, Tous les articles
Conseils pour bien débuter l’année

Conseils pour bien débuter l’année

C’est une rentrée un peu particulière, c’est vrai. Mais elle n’entachera pas la bonne humeur de nos nouveaux infocomiens ! Alors voici quelques précieux conseils, afin de commencer l’année dans les meilleures conditions.

 

Où manger à l’IUT ?

Vous connaissez déjà la recette d’une vie étudiante bisontine, et on va continuer de régaler vos papilles. Pour prendre sa pause déj’ sur le campus, plusieurs solutions. Tout d’abord, la cafét’, située au deuxième étage du bâtiment Infocom. On y trouve des tables, des chaises, des fauteuils, une machine à café et une autre à friandises. En deux mots : tout ce qu’il faut pour se mettre à l’aise. Néanmoins, en raison des mesures sanitaires, les micro-ondes sont indisponibles pour le moment. Il faudra donc manger froid, une bonne occasion de se mettre aux salades ! Et pour ceux qui n’envisageraient pas de passer l’hiver sans déguster une bonne tartiflette bien chaude à midi, il existe des thermos alimentaires pour garder votre nourriture à température.

Autre possibilité, le restaurant universitaire (RU), qui se trouve à 7 minutes à pied de l’IUT. On y mange des repas variés, et pour pas cher : 3,30 € en moyenne. Et n’oublions pas la grande nouveauté de cette année, les repas sont à présent facturés 1,00 € pour les élèves boursiers. Alors, pourquoi s’en priver ? De plus, pour régler avec plus de facilité, il suffit d’utiliser son compte Izly. Cette application mobile permet de transférer de l’argent sur sa carte étudiante, et ainsi de payer avec celle-ci. Elle vous permettra de gagner du temps, et de mieux gérer vos dépenses.

 

 

Comment s’y rendre ?

Ce sont les lignes de bus 7, et L3 qui conduisent directement à l’IUT. Mais prenez garde, cette dernière est souvent bondée, surtout en début d’année, ce qui entraîne parfois des retards. Il faut donc veiller à s’y prendre à l’avance le matin, surtout si vous avez amphi de droit. Pour rappel, les arrêts les plus proches de l’IUT s’intitulent « IUT », « Crous université » (juste en face du RU), ou encore « U-sports », si l’on veut rejoindre le bâtiment par derrière. Pour ce qui est des retours chez papa maman le vendredi soir, le campus regorge habituellement de Blablacar. Sinon, il suffit d’emprunter la L3 et de descendre à l’arrêt « Gare Viotte » pour se retrouver directement à la gare. Mais dans ce dernier cas, il faut avoir le courage de trimballer sa valise dans les couloirs toute la journée. Après la salade, voilà du travail pour les biscottos.

 

Et pour les cours ?

Même si écrire à la main permet une meilleure mémorisation, chacun est bien sûr libre de s’organiser comme il l’entend. On peut tout de même noter qu’il est tout à fait possible de s’en sortir sans taper aucun cours sous format numérique, pour ceux que cela dérangerait. Pour résumer, que les cours soient pris sur papier ou par ordinateur importe peu, tant qu’il s’agit d’une méthode de travail qui vous correspond. Attention tout de même, certains professeurs préfèrent parfois une prise de notes manuscrite. Enfin, si vous ne possédez pas d’ordinateur mais en avez besoin pour réaliser un travail, pas de panique ! Vous trouverez tout ce dont vous avez besoin en salle mac, au deuxième étage du bâtiment Infocom : PC et imprimante (attention à ne pas dépasser votre crédit impression : 100 feuilles par an). Néanmoins, l’acquisition d’un ordinateur portable vous sera tout de même d’une grande utilité pour la plupart des devoirs.

 

 

Où travailler ?

L’IUT a la chance d’être pourvu d’une bibliothèque (BU) dotée de nombreux ouvrages dans le bâtiment central (BC). On y trouve des salles pour les travaux de groupe, mais surtout une ambiance calme et studieuse, propice à la concentration. Une seconde option s’offre également à vous, la salle de coworking. Dernier espace de la visite lors de la JPO, elle représente un lieu idéal pour travailler seul ou à plusieurs. L’endroit est cependant plus agité que la BU. Enfin, à cela s’ajoute la salle mac, citée précédemment.

Astuce pour les travaux sur ordinateur : toujours avoir une clé USB sur soi. Cela évitera de pleurer son exposé perdu la veille de la présentation. (Attention à ne pas oublier sa clé en salle mac).

 

 

Infocom, oui mais en pleine forme !

Le campus propose une multitude de sports qui ne demandant qu’à être expérimentés ! C’est simple, il suffit de s’inscrire d’une semaine sur l’autre, et de profiter pleinement de ces nouvelles activités. De plus, celles-ci peuvent contribuer à une bonification de ta moyenne semestrielle ! De 0,15 à 0,25 points gagnés. Il n’y a plus qu’à foncer faire du bien à son corps, et à son bulletin !

(Et, si jamais un petit creux vous gagne en sortant de votre séance, le RU accueille aussi des étudiants pour le dîner).

 

Un bal masqué… à l’IUT

Ne vous méprenez pas, on a tous envie de voir vos sourires. Mais pour lors, n’oubliez pas votre masque, quitte à en glisser quelques-un d’avance dans votre sac. Et comme disait Zouk Machine, Nettoyer… Balayer… La cafét’ restera bien lavée…

 

La ville

Que serait ICB sans le célèbre bar La Fontaine ? C’est toujours un jeudi soir, verre à la main, que l’on retrouve le plus d’Infocomiens. Le meilleur conseil que l’on puisse donner, c’est de profiter pleinement de votre vie étudiante ! Sortir, prendre part à ces petits événements, permet de consolider ces liens d’amitié qui tissent la toile d’Infocom. (Pour savoir comment paraître frais le vendredi matin à 8h, demandez conseil à vos très expérimentés parrains et marraines).

Besançon, c’est ses bars, mais également ses musées. Le musée des Beaux-arts et d’Archéologie, le musée du temps, ou encore la Citadelle… Un bon étudiant en communication se cultive, et est curieux de tout ce qui l’entoure. Se rendre dans ces lieux instructifs, ou encore lire des journaux tels que Le Monde ou Le Figaro profiteront toujours à votre culture et à votre connaissance de l’actualité.
Petit Tips : la e-carte Avantages Jeunes, au prix de 8,00 €, permet de bénéficier de réductions variées pour ce qui est des loisirs et de l’éducation, et d’accéder gratuitement à de nombreux musées.

Enfin, si cela est possible, pensez à continuer, commencer ou entretenir vos passions extrascolaires. Celles-ci seront toujours un plus sur votre CV, vos lettres de motivation, et tout simplement pour votre épanouissement personnel. N’ayez jamais peur de montrer qui vous êtes, après tout vous avez été recruté pour votre personnalité.

 

 

Les stages

Même si cela paraît encore loin, on sait par expérience qu’il est parfois difficile de trouver un stage. Le mieux est de s’y intéresser le plus tôt possible, afin de ne pas être pris au dépourvu, et de trouver un lieu de découverte qui correspond vraiment à ses aspirations.

 

The Best Tip

Évidemment, restez connectés sur la page Instagram d’ICB pour être au courant de tout ce qu’il se passera à l’IUT tout au long de l’année. Ce sont plusieurs mois uniques qui se profilent. Alors encore bienvenue dans la famille Infocom !

 

Publié par Julie Fourain dans Au coeur d'ICB, La parole aux étudiants, Tous les articles
Recette : vivre sa meilleure vie étudiante à Besançon

Recette : vivre sa meilleure vie étudiante à Besançon

Ça y est ! Tu as enfin quitté les bancs du lycée ou de ta fac et tu te prépares à entamer une nouvelle vie à l’IUT de Besançon au sein du département Infocom. Bravo à toi et bienvenue !

Dans quelques mois, les mots : « partiels », « travaux de groupe », « gare d’eau », « jeudi soir » et « pâtes au beurre » n’auront plus de secrets pour toi. Tu t’apprêtes à connaître les joies de la vie étudiante dans la charmante ville de Besançon.

Dans cet article, tu trouveras la recette incontournable, saupoudrée de différents conseils, astuces et informations qui t’aideront à commencer ta nouvelle vie étudiante bisontine en tout sérénité !

 

L’ingrédient principal : le logement

Pour beaucoup, et notamment pour ceux qui viennent de loin, la vie étudiante commence par la recherche d’un appartement. Seul ou en colocation, voici une liste de sites qui répertorient les annonces de logements ou de particuliers qui recherchent des locataires.

Le bon coin est une véritable caverne d’Ali Baba et le 1er site de petites annonces en France. Il est régulièrement alimenté  par les agences immobilières ou par les propriétaires qui proposent différents types de logements.

Ce site te proposera une sélection d’annonces immobilières en fonction de tes critères, afin de trouver la perle rare.

« Étudiants de Besançon » est un groupe privé sur Facebook qui regroupe les étudiants bisontins pour échanger sur des bons plans, des offres ou des logements. Fait une demande d’accès au groupe, active les notifications et soit alerté(e) dès qu’une annonce est postée, afin de peut-être, trouver ton petit cocon. Tu peux également publier directement sur la page si tu as besoin d’aide ou de renseignement, les étudiants auront plaisir à te répondre.

Pour ceux qui cherchent de la compagnie, La carte des colocs est une plateforme gratuite conçue pour que tu trouves ta colocation parfaite. Tu pourras rechercher une annonce ou en proposer une, suivant tes critères de vie. Facile d’utilisation, les annonces sont fournies de photos, d’informations à connaître sur l’appartement et sur les colocataires déjà présents.

Le Centre régional des œuvres universitaires de Bourgogne Franche-Comté propose chaque année des logements étudiants dans ses villes étudiantes. Il existe plusieurs résidences sur les deux principaux campus de Besançon : le centre-ville et la Bouloie, où se trouve l’IUT Infocom. Afin d’intégrer un logement du Crous, il te faut constituer un dossier Social Étudiant sur ww.etudiant.gouv. Les étudiants venant de loin et/ou issus de famille avec peu de ressources sont prioritaires. L’attribution du logement s’effectue en fonction du dossier et du nombre de places disponibles pour l’année universitaire à suivre. Attention, il faut s’y prendre à l’avance !

 

Mettre du beurre dans les épinards : les aides financières

Très souvent, être étudiant peut rimer avec difficultés financières. C’est pourquoi, il est important de prendre connaissance des aides auxquelles tu peux être éligible. Tâche très souvent pénible, tu as sûrement dû voir apparaître sur tes vidéos YouTube préférées, une pub pour Fibii. Fibii est un simulateur gratuit qui calcule les aides étudiantes que tu peux recevoir. Pour cela, il te suffit de rentrer une adresse mail et un mot de passe afin de remplir plusieurs informations sur ta situation familiale et financière. Le simulateur te permettra de visualiser le montant de ces aides en question : bourses, APL, permis de voiture, ouverture de compte bancaire, etc.

 

La sauce incontournable : les sorties

Besançon est certes, connue pour sa citadelle, sa délicieuse cancoillotte et ses paysages verts, mais aussi pour sa population dynamique. Besançon est une ville rythmée par la vie étudiante et le campus universitaire te propose de nombreuses possibilités pour sortir et faire de nouvelles rencontres, tout au long de l’année. Au mois de septembre, la journée de l’étudiant te donnera accès à plusieurs activités. N’oublions pas non plus les soirées étudiantes du jeudi soir organisées par ta Korpo (Bureau des étudiants d’ICB) préférée ou par l’Intercorpo qui regroupe les étudiants des différents IUT de Besançon Vesoul.

 

Une dose de sérieux pour une recette pleine de succès :  l’organisation

Les grands sages ne te le diront jamais assez, l’ingrédient absolu d’une vie étudiante épanouie, c’est l’organisation. Se trouver une organisation dès le début de l’année te permettra de ne pas couler sous les travaux à rendre et de garder du temps pour toi, tes sorties et tes proches, sans stress. Finir son exposé de sociologie la veille pour le lendemain, à 2 h du matin, devant un thread horreur de Squeezie, n’est donc pas conseillé.

 

Une petite touche locale pour une parfaite émulsion : les expressions franc-comtoises glamours et inéluctables

Ça, c’est cadeau. Pour les non-franc-comtois, vous trouverez ci-dessous une liste qui répertorie les expressions locales. Tu pourras les utiliser pour te faire passer pour un vrai franc-comtois lors de ces 2 années à Besac.

  •  Tu as meilleur de temps de bien suivre cette recette.

Traduction : tu ferais mieux de bien suivre cette recette.

  • Je vais devoir aller à l’IUT à pied, mais il pleut ! Je vais être gaugée !

Traduction : je vais devoir aller à l’IUT à pied mais il pleut ! Je vais être trempée !

  • J’en connais un qui a fini fin rond jeudi soir.

Traduction : j’en connais un qui a fini bourré jeudi soir.

  • Le bus Ginko a failli beugner le trottoir.

Traduction : le bus de ginko a failli taper le trottoir

  • Vin Dieu ! J’ai réussi mon partiel d’économie !

Traduction : désolée, mais seule l’élite réussit un partiel d’économie.

Tu as minutieusement suivi la recette pour vivre ta meilleure vie d’étudiant(e) bisontin(e) ? Il te suffit de mélanger le tout, faire poser au minimum deux belles années à température irrégulière et déguster, mais surtout profiter !

Publié par Fiona Guatieri dans Au coeur d'ICB, Tous les articles
Eva et Théo : le DUCIS de nos anciens rédacteurs

Eva et Théo : le DUCIS de nos anciens rédacteurs

Paëlla, Tortilla, Sangria… Oui, on débute l’article avec les plus beaux clichés de l’Espagne. Mais fort heureusement, Eva et Théo, nos anciens rédacteurs de la Team 2.0 ont eu la chance de partir en DUCIS chez nos amis hispaniques. Ils viennent donc aujourd’hui, près de 6 mois après leur rentrée, nous faire un retour sur leur expérience et briser ces idées reçues. Chers lecteurs, il est temps pour vous de voyager.

Plus de 1400 kms vous séparent de Besançon. Pourquoi avoir choisi ces destinations ?

Théo : Depuis la fin de la première année, j’avais cette volonté de partir à l’étranger. L’espagnol est une langue que j’apprécie vraiment et je voulais la maîtriser. Mais je ne voulais pas partir uniquement pour cette raison ou pour le soleil qu’il n’y a pas à Besançon. Mon projet professionnel s’inscrivant dans le domaine de la presse, j’ai remarqué que l’on pouvait faire un DUCIS en journalisme à Murcia. Je ne me sentais pas encore prêt à intégrer une école de journalisme malgré ce que j’ai appris à ICB et mes expériences dans le milieu. Ici, je voulais prendre du recul sur mes ambitions et sur moi-même, développer davantage mes capacités journalistiques, tout en découvrant une nouvelle culture pour y maîtriser sa langue. À l’avenir, partir à l’étranger représente aussi une réelle bonification pour la suite. C’est une occasion unique. 

Eva : C’était d’abord un choix personnel. J’avais ce besoin de partir loin, pour découvrir autre chose. Je ne savais pas encore ce que je souhaitais faire l’année prochaine. C’était et c’est une année aussi pour se poser, réfléchir à ce que l’on veut faire réellement. Venir en Espagne m’a permis de prendre du recul sur moi même et mes ambitions professionnelles. L’université et ses cours de publicité m’ont également donné envie de m’orienter à, Alicante. Comme le dit Théo, partir à l’étranger c’est une expérience unique, on se redécouvre tant sur le plan personnel que professionnel. 

Qu’est-ce que vous étudiez là-bas ?

Théo : Moi je suis principalement en journalisme, mais j’ai également des cours en publicité et relations publiques. On a entre autres des cours de communication orale, de techniques d’interview et de direct, d’investigation publicitaire (bis repetita des cours de techniques d’enquête avec Madame Ferrari et Madame Jouvet) ou encore de rédaction. Ça me permet de me spécialiser dans le milieu du journalisme tout en renforçant mes compétences de communicant.

Eva : Pour ma part, j’ai majoritairement des cours de publicité et de relations publiques. Si je dois entrer un peu plus en détails, j’étudie la théorie de la publicité, des relations publiques. Côté pratique, j’ai par exemple, stratégie de relations presses et publiques. C’est une très belle opportunité pour renforcer mes compétences en tant que communicante mais aussi de les élargir au secteur publicitaire.

Le DUCIS était-il votre premier choix ? Le regrettez-vous ?

Théo : Comme je l’ai dit précédemment, j’avais cette volonté de partir depuis un moment et je ne me voyais pas faire autre chose que ça. Qui plus est, Murcia était mon 1er vœu. Aujourd’hui, je ne regrette en aucun cas d’avoir saisi cette belle opportunité. Au-delà de l’apprentissage universitaire et linguistique, on en apprend davantage sur soi-même et on découvre une nouvelle culture, des paysages inédits et de nouvelles personnes.

Eva : Non, à vrai dire j’ai passé les concours d’ISCOM en Février 2019, j’ai été prise mais j’ai ensuite refusé. J’ai changé d’avis parce que malgré avoir été acceptée dans cette école, le DUCIS me trottait toujours dans la tête. Je crois que ce genre d’opportunité est unique. Je peux clairement dire qu’aujourd’hui, je ne regrette absolument pas mon choix. Je suis heureuse et épanouie, et j’en profite aussi pour remercier Madame Spagnul qui m’a soutenue dans mes moments de doutes 😉

L’intégration doit être compliquée, surtout pour toi Eva qui est seule à Alicante. Comment ça s’est passé pour vous ?

Théo : C’est vrai que, de mon côté, j’ai la chance (certains diront l’inverse…) d’être accompagné de Siloé Ordonez et Julie Borrega qui étaient également avec nous à ICB. Comme on est super potes, l’intégration a été facilitée malgré des débuts plus ou moins compliqués : difficultés à trouver un appartement, peu d’informations pour la rentrée, les papiers administratifs, etc. Et bien sûr, on a subi les plus grosses inondations que la région ait connues depuis 90 ans… Mais, au-delà de ça, on a rencontré beaucoup de français, d’italiens et de mexicains, ce qui a grandement simplifié notre intégration ici. Tout le monde se sent bien à Murcia, les étudiants Erasmus sont, pour la plupart, dans le même état d’esprit, donc ça matche plus facilement. Et Alicante est à 1 heure de Murcia, donc avec Eva on parvient à se voir régulièrement ! 

Eva : Et moi je suis arrivée seule, mais bien accompagnée de loin. Comme a dit Théo, nous sommes à 1h00, on peut facilement se voir sans soucis. L’intégration s’est très bien passée. Disons que je suis bavarde, j’aime rencontrer de nouvelles personnes donc ça aide pas mal. Lors de la visite de l’université j’ai rencontré des français mais j’ai aussi rencontré des argentins, italiens, ou encore polonais. Je crois que quand on se sent bien dans un lieu qu’on a réellement choisi, l’intégration est tout de suite plus facile. L’organisation ESN a beaucoup organisé de soirées/activités et j’y suis tout simplement allée !  Il faut oser et sincèrement je ne le regrette pas ! 

Dites-nous ce que l’Espagne a de plus que la France !

Le temps ! Ici, on commence le travail et le repas plus tard (14 heures), la sieste est primordiale pour les espagnols. On dîne bien plus tard le soir également (22 heures). Le rythme de vie est différent. La mentalité également. Les espagnols sont moins pressés, se plaignent moins (difficile de faire pire que les français aussi). C’est bien plus “chill”, voire trop. Le soleil, surtout dans nos deux villes, est davantage omniprésent. Les températures sont déjà très douces en février (entre 15 et 23 degrés) et ça dure jusqu’au mois de novembre. Pour notre plus grand plaisir…

Le comté, le morbier, la cancoillotte… Je sais que vous salivez à la simple vue de ces mots. Qu’est-ce qui vous manque le plus en France ?

Disons l’assiduité du travail. En Espagne, l’esprit est un peu plus (trop) à la cool concernant les travaux en groupe. Il faut s’imposer et ne pas se laisser emmener dans cette ambiance chill. Quand on sort d’un DUT où le travail et la rigueur sont importants et qu’on se retrouve avec des personnes qui n’ont pas forcément la même énergie, c’est un peu plus difficile. Mais ce qui nous manque surtout, c’est Gilles Detot… 

Pour les futurs étudiants en DUCIS, quels conseils donneriez-vous ?

Comme on a dit précédemment, pour les cours, imposez-vous et ne vous laissez pas emmener dans cette ambiance espagnole plus “chill”. Anticipez les travaux à faire en plus des papiers administratifs pour le départ. N’hésitez pas à contacter les coordinateurs sur place ou en France à la moindre question – voire nous -, surtout avant ou au début. Mais, en tant qu’étudiant Erasmus, découvrez aussi le maximum d’endroits que proposent l’Espagne et la région. Profitez des activités de l’association Erasmus, des plages et du soleil que notre bonne Franche-Comté n’a pas ou trop peu, sans oublier de préparer votre avenir ! 

Et en vrai, les soirées DUCIS, elles sont comment ?

Théo : Murcia est une très grande ville étudiante, les soirées sont omniprésentes. Les espagnols ne sont pas trop “soirées appart” donc le voisinage est beaucoup moins indulgent qu’en France. Mais, comme les températures sont encore clémentes le soir, tout le monde est dehors ou dans les bars. Pour les discothèques, disons que le reggaeton est à l’Espagne ce que DJ Bogdan est au Teasing. Toutefois, il y en a pour tous les goûts, et on a même un bar Erasmus ! On évitera de parler du prix des fameux “chupitos” (je vous laisse chercher la traduction) et de la pinte dans la multitude de bars que compte la ville… 

Eva : Big up au bar du Parabarap qui reste et restera ma deuxième casa ! 50 centimes le chupitos, je ne vais pas en dire plus. On va dire que le soir ça bouge beaucoup. Les espagnols ont pour habitude de faire la fête dans un bar puis se déplacer dans un autre. C’est agréable puisque les prix sont très attractifs, les gens sont souriants et l’énergie “loca” est présente aussi !  Le reggaeton est effectivement propre à l’Espagne. Si vous leur parlez de chanson française, ils vous sortiront du “Djadja” ou “ramenez la coupe à la maison”. J’ai tout de même mon enceinte chez moi pour remettre à l’honneur les bons sons de Diam’s! 

Est-ce que vous avez une petite anecdote qui vous est arrivé pendant ce voyage ?

Théo : C’était 10 jours après notre arrivée. On n’avait pas encore commencé les cours et je n’avais toujours pas trouvé de logement donc je logeais provisoirement chez Julie et Siloé. On avait rencontré d’autres français et des Erasmus. Et lors d’une soirée en boîte de nuit, je discute avec des étudiants et je leur fais part de mes réelles difficultés à trouver un appartement. Et là, comme par hasard, on me répond “attends, je connais un gars qui cherche un dernier coloc pour leur appart !”. Je discute avec ce dernier qui accepte pour que je visite son appartement, Ensuite, tout s’est fait naturellement et c’était bouclé. Donc oui, j’ai trouvé mon appartement à 3h du matin en boîte de nuit. Pour vous loger, oubliez le bon coin, allez au Teasing.

Eva : Pour ma part, je vais vous raconter brièvement mon premier goûter en Espagne. A l’occasion de notre dernier cours d’histoire de la publicité, nous avons bu de la liqueur de vin à 8h00 du matin. Je tiens à préciser que c’était la prof qui avait apporté l’alcool. J’étais avec une amie française, et c’est là qu’on a réalisé que les “goûters” espagnols étaient assez éloignés de ceux en France… 

Toujours pas de regrets de nous avoir choisi comme vos successeurs ?

Question piège… C’est toujours difficile de laisser sa place à d’autres personnes, mais nous ne regrettons absolument pas de vous avoir confié le fameux blog Infocom. Nous avons lu vos articles et ils sont à la hauteur de nos attentes.  Vous êtes en forme, et ne manquez pas d’énergie pour diversifier la lecture ou divertir les lecteurs. Le duo Antonin/Clarisse sonnait pour nous comme une évidence, alors, on a osé. Aujourd’hui, on peut dire que nous sommes fiers de vos deux plumes. Une question nous trotte maintenant dans la tête, avez-vous fait une collab avec McFly et Carlito? 

Pour finir, plutôt team ICB ou team DUCIS ? (Attention Mme Spagnul regarde)

Team ICB en DUCIS. Et où que l’on soit à l’avenir ! On ajoutera aussi que la team DUCIS appartient au livre d’ICB. C’est cette même formation qui nous permet de réaliser cette expérience unique. C’est une sorte de continuité, alors difficile de choisir puisque les deux team s’appartiennent.  Quand on parlait d’ICB ici, ils pensaient que c’était une école, alors que ce n’est “qu’un” DUT… donc on ne peut être que très fier d’en faire partie.

Nous remercions Eva et Théo d’avoir pris sur leur temps si précieux (oui, oui, le temps est précieux lorsqu’on pourrait être sur la plage avec son meilleur mojito) pour répondre à nos questions. Malheureusement pour vous deux, nous n’avons annulé le feat avec McFly et Carlito, la calvitie frappant à la porte d’Antonin, nous ne voulions pas faire de l’ombre au chauve le plus célèbre d’internet. Vous nous manquez, et vous manquez à ICB ! À bientôt et profitez bien de la fin de votre année espagnole !

Publié par Antonin Falomir dans La parole aux anciens, Tous les articles
Les incontournables du Super Bowl !

Les incontournables du Super Bowl !

Pour cette 54ème édition opposant les Chiefs de Kansas City et les 49ers de San Francisco, les publicitaires ont relevé le défi en créant des publicités pour le moins surprenantes. 5,6 millions de dollars. Voici le prix pour 30 secondes de publicité lors du Super Bowl. Néanmoins très attendu des marques, il est l’événement le plus regardé au monde et donc l’occasion parfaite pour les grandes entreprises de se démarquer de ses concurrents. Originalité, casting XXL ou encore concept insolite, ces publicités font partie intégrante du show. Il est donc temps de retrouver notre sélection spécial Super Bowl 2020 !

Mountain Dew

Bryan Cranston, célèbre pour son rôle de Walter White dans Breaking et celui d’Al, le père déjanté de Malcom est vraiment capable de tout jouer. Dans un remake de Shining pour promouvoir la nouvelle boisson sans sucre de Mountain Dew, Bryan Cranston nous rappel le terrible Jack Nicholson, le tout, avec une pointe d’humour.

Alexa

C’était mieux avant ? Pas sûr avec la nouvelle campagne d’Alexa. Pour le Super Bowl, l’assistant vocal d’Amazon nous rappel que la vie n’était pas toujours facile sans son intelligence artificielle.

Cheetos

« U can’t touch this! » Mc Hammer, rappeur du début des années 90′, reprend son tube planétaire pour une publicité pour le moins originale. Aussi salissant que savoureux, Cheetos nous fait voir la vie en orange.

Jeep un jour sans fin

Un retour aux sources pour Bill Murray. L’acteur, célèbre notamment pour son rôle dans « un jour sans fin » revient accompagné de sa marmotte pour revivre cette journée extraordinaire grâce à Jeep.

SodaStream

Direction Mars pour SodaStream. L’entreprise d’appareils de gazéification découvre enfin de l’eau sur la planète orange. Une découverte capitale ? SodaStream sait comment gérer la situation.

Pepsi

Tacle à la gorge de Pepsi envers Coca. Sur le rythme de Paint It Black des Rollings Stones revisité pour l’occasion par Missy Elliott. Il est temps de passer du rouge au noir.

Pringles

Rick et Morty est devenue l’une des séries de référence depuis quelques années. Pringles, pour promouvoir sa nouvelle gamme de chips aux saveurs variées, empilés les unes sur les autres, s’amusent avec ce monde déjanté et bloque les personnages dans une publicité. C’est l’heure de « l’ADception ».

Audi

Maisie Williams alias Arya Stark dans Game of Throne troque sa fameuse aiguille pour le volant d’Audi. Le nouveau modèle de la marque qui se veut 100% électrique se moque des voitures polluantes, coincées dans les bouchons, le tout sur un fond musical qui risque de vous rentrer dans la tête…

Walmart

Walmart, marque célèbre de super marché aux États-Unis vient de tout simplement de casser sa tirelire en achetant et en rassemblant les licences de la pop’ culture. C’est l’heure du jeu : on vous met au défi de retrouver l’ensemble des personnages présents sur le parking du Drive de Walmart.

Doritos

Si je vous dis « Old Town Road » ? Oui, vous avez déjà la chanson en tête. Lil Nas X met au défi Sam Elliot (célèbre acteur de films de Western) dans un battle de dance pour un sachet de Doritos. Intro à la « Bon, la Brute et le Truand », le duel est lancé.

Publié par Clarisse Aboulin dans Actualité 2.0, Tous les articles
Micro Couloir #1

Micro Couloir #1

Découvrez les coulisses d’Info-Com dans ce premier Micro Couloir ! Merci aux étudiants de première année pour leur participation ! On se retrouve très vite pour un deuxième épisode.

Publié par Antonin Falomir dans Au coeur d'ICB
Nouveau à l’IUT ? On répond à toutes tes questions ! [FAQ]

Nouveau à l’IUT ? On répond à toutes tes questions ! [FAQ]

Est-il obligatoire d’avoir un ordinateur en infocom ?

Cette question est revenue à moulte reprises, et il est donc temps de vous répondre un authentique et très clair : NON. En effet, l’ordinateur est loin d’être obligatoire mais il est reste néanmoins fortement conseillé. Vous serez amenés lors de vos deux ans -voire trois pour certain(e)s- à utiliser la suite Adobe, votre meilleur ami pour la vie. Photoshop, Indesign, Premier Pro, mais encore Illustrator vous accompagnera pour le meilleur, comme pour le pire. De notre point de vue de rédacteur, nous pensons que l’ordinateur est un choix judicieux. Il vous permettra de noter vos cours plus rapidement que sur papier, mais il restera interdit par certains professeurs.

Pour les futurs accros de la PAO, on vous a même trouvé la configuration idéale pour réaliser vos projets sans trop de soucis. C’est le moment pour les non-geeks de ne comprendre qu’un mot sur deux mais courage les amis, c’est le sésame pour la réussite et c’est ici que ça ce passe ! Et parce qu’on tient à ce que votre S1 soit parfait, voici comment avoir Microsoft Office sans avoir besoin de le craquer.

Comment va se dérouler le S1 ?

Craintes, peur, anxiété. Ces mots résument parfaitement votre état d’esprit face à la MONTAGNE de travail qui vous attend. Quoi ? Vous allez me dire que vous êtes détendu, relax, prêt à affronter ce S1 dans la sérénité ? Que nenni, attendez quelques semaines et vous verrez. Mais pas d’inquiétudes, vos rédacteurs vont vous donner quelques conseils afin d’être prêt au moment de l’octogone sans règle.

  • Organisez-vous. Travaux de groupe, dossiers, oraux… Des moments de bonheur aussi intenses que fatiguant qui vont venir rythmer votre S1. Il est important de savoir organiser son travail et bien choisir ses groupes de travaux. Et si vous avez des doutes, n’hésitez pas à demander des conseils à vos parrains/marraines.
  • Être assidu. Checkez régulièrement vos mails ! En effet, toutes les informations vous seront transmises via votre boîte mail étudiante, et parfois des réponses rapides vous seront exigées. Si vous êtes absents et que vous ne voulez surtout pas vous attirer de problèmes, n’oubliez pas de bien fournir un justificatif au secrétariat sous 48h. On serait bien trop triste que vous nous quittiez pour si peu.
  • Être informé. Il est important de connaître l’actualité. Infocom, c’est avant tout œuvrer pour le monde qui nous entoure. Vous serez amené à travailler sur l’actualité -numérique, par exemple- où votre culture générale sera votre meilleur allié. En tant que futurs communicants hors pairs, il vous est indispensable de connaître ses sites spécialisés. Ne t’inquiète pas, les anciens rédacteurs de la Team 2.0 t’ont déjà tout expliqué ici. Pour les plus gros flemmards, il existe de nombreuses applications d’actus comme Le Monde, Le Figaro ou encore France Info.
  • Soyez acteurs de votre formation. Il est toujours plus agréable de commencer une année en participant et en s’impliquant à l’IUT. Pour ce faire, vous aurez MOULTE occasions de prouver votre bravoure à ICB ! Bénévolat, être membre du conseil de département, ou tout simplement en apportant ta joie et ta bonne humeur dans les couloirs d’infocom.
  • Et surtout, profitez de cette 1ère année. Parce que ce n’est RIEN comparé au S3.

Je viens d’arriver à Besançon et je ne connais personne, que faire ?

N’aie crainte mon ami, les deuxièmes années savent comment intégrer les nouveaux venus. Vous verrez qu’en infocom, nous sommes une grande famille, et très vite vous allez rencontrer de supers personnes qui vous suivront jusqu’au bout de votre vie. Mais pour rencontrer davantage de personnes, et ainsi créer de vrais liens, quoi de mieux que d’apprendre à se connaître autour d’un verre. Nous avons pour habitude de fréquenter le bar La Fontaine qui se trouve 4 rue Boucheries, place Révolution. Il ne vous sera pas rare de croiser des compatriotes infocomiens. Bien entendu, on s’y retrouve qu’une fois nos devoirs effectués, car les études avant tout (en aucun cas cette phrase n’à été écrite sous la contrainte de Mme Spagnul)*.

Le reste du temps, vous apprendrez à connaître les étudiants les uns après les autres grâce aux nombreux projets de groupes, des challenges qui seront organisés lors de votre deuxième année, mais encore grâce à vos nombreux amphis, que, bien entendu, vous ne louperez jamais même un vendredi matin à 8h.

Pour conclure, on peut dire d’expérience que l’une des meilleures solutions pour rencontrer vos amis de demain reste le week-end d’intégration (WEI) qui est proposé par la Korpo. Cette année, il aura lieu le week-end du 20 septembre.

*Aidez nous svp 

Un dernier conseil ? 

Réussir vos deux années d’IUT c’est aussi se cultiver quotidiennement. Le musée du temps, le musée des beaux-arts mais encore l’incontournable Citadelle.  Il y a des cinémas, même si on sait tous qu’il est difficile pour nos pauvres bourses d’étudiants d’aller régulièrement profiter d’une séance. Pourtant, il est indispensable d’être au point sur tous les plans. Grâce à la carte Avantage Jeunes (seulement 8€) vous pourrez profiter de réductions et d’avantages sur un large panel d’activités.

La ville de Besançon vous propose également de nombreuses animations, comme le Festival Détonation, du 26 au 28 septembre à La Rodia ou encore le concert de Bienvenue aux Étudiants jeudi 19 septembre (BAE) ! Vous pouvez retrouver toutes les informations de l’événement sur sa page Facebook.

En bref, amusez-vous, profitez de vos années d’IUT, sans trop d’excès et épanouissez-vous dans ces années d’études supérieures. Se sentir chez soi en Infocom est indispensable et les résultats suivront d’eux-mêmes. En attendant, courage et puisse le sort vous être favorable.

Publié par Antonin Falomir dans Au coeur d'ICB, Tous les articles

Valérie Busseuil : communication et créativité

Les interviews d’anciens continuent avec Valérie Busseuil à l’honneur ! Issue de la promo 1986, option publicité, elle est désormais Directrice de la Communication de la Cité du design de l’École supérieure d’art et design de Saint-Etienne, ainsi que de la Biennale Internationale Design de Saint-Etienne.

On vous laisse découvrir son parcours mais aussi ses souvenirs du département !

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Publié par Team 2.0 dans La parole aux professionnels

Victor Feillant : un parcours sans faille !

Cette année l’université fête les 50 ans de l’IUT et pour célébrer cette occasion chaque mois mettra à l’honneur un département.  C’est Info-Com qui ouvre le bal, puisque durant tout le mois d’Octobre notre département sera sous les projecteurs !

Vous pourrez retrouver chaque semaine des interviews d’anciens étudiants. Nous avons remonté le temps et sommes allés à la rencontre de ceux et celles qui ont eu la chance de vivre l’expérience ICB. Cela vous donnera sûrement envie de vous faire, vous aussi des souvenirs en Info-Com ! Nous commençons par un ancien qui était en option publicité, promotion 2014 : Victor Feillant.

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Publié par Team 2.0 dans La parole aux professionnels